Musique Miley Cyrus n'arrive pas à se débarrasser d'un procès très gênant

CoverMedia

15.2.2019 - 13:34

L'actrice et chanteuse américaine Miley Cyrus.
L'actrice et chanteuse américaine Miley Cyrus.
Source: Covermedia

300 millions de dollars, c'est la somme que réclame un artiste jamaïcain à Miley Cyrus, pour plagiat, sur son titre «We Can't Stop». D'après «The Blast», un juge vient refuser la requête de la chanteuse, qui voulait que la plainte soit annulée.

Miley Cyrus n'a pas réussi à faire annuler un procès qui pourrait bien l'embarrasser. La chanteuse est en effet attaquée par le compositeur jamaïcain Michael May, qui affirme que le tube de la popstar «We Can't Stop» serait un plagiat d'un de ses morceaux, écrit en 1988, «We Run Things». Dans le dossier de sa plainte, il cite notamment la phrase de Miley Cyrus dans sa chanson, «We run things, things don't run we», qui ressemble effectivement à celle qu'il a écrit 25 ans plus tôt «We run things, things no run we».

Dommages et intérêts

Miley Cyrus a toujours nié avoir emprunté la phrase à l'artiste et s'était défendue en affirmant que la phrase n'était pas assez originale pour mériter d'être protégée par le copyright et que les deux œuvres ne sont pas du tout similaires. Elle avait par ailleurs demandé que la plainte soit déboutée.

Michael May, 49 ans, réclame que Miley Cyrus cesse de vendre ce morceau et estime devoir recevoir 300 millions de dollars de dommages et intérêts. Ce mercredi (13 février 2019), un juge a donc décidé que la plainte était bel et bien valide et qu'il n'y avait aucune raison de débouter l'artiste jamaïcain, d'après «The Blast». «Des questions subsistent» sur les comparaisons entre les deux morceaux, peut-on lire dans les documents de la cour, obtenus par la publication.

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