Actu people Natalie Portman obtient une injonction d'éloignement permanente contre son harceleur

Un homme se faisant appeler John Wick a reçu l'ordre de rester éloigné de l'actrice Natalie Portman et de sa famille pendant cinq ans. Selon The Blast, l'individu ne pourra plus approcher la star, ni ses proches, à moins de 91 mètres.

Natalie Portman a obtenu une injonction d'éloignement d'une durée de cinq ans contre son harceleur. La star de Black Swan avait initialement obtenu une ordonnance temporaire à l'encontre de l'individu, qui n'a pas été identifié publiquement, en février (19), quelques jours après s'être introduit dans son lotissement huppé et fermé à Los Angeles, le 31 janvier.

Selon un rapport de police sur l'incident, l'homme se serait présenté à l'entrée principale de la maison de la star et aurait sonné à la porte à plusieurs reprises, sans dire un mot, avant que la police n'arrive sur les lieux pour enquêter. Lorsqu'il a été confronté, le suspect a affirmé qu'il s'appelait John Wick, le nom de l'assassin interprété par Keanu Reeves dans le film du même nom de 2015, mais les agents ont trouvé un permis de conduire du Colorado en sa possession, qui leur a révélé sa véritable identité, et ils l'ont arrêté pour évaluer son état psychologique.

L'avocat de Natalie Portman est revenu au tribunal mardi (12 mars 19), où sa demande de rendre l'ordonnance restrictive permanente a été acceptée, selon The Blast. Selon les termes de cette nouvelle injonction, l’homme doit rester à au moins 100 yards (environ 91 mètres) de l'actrice, de son mari le chorégraphe Benjamin Millepied, et de leurs deux jeunes enfants, Amalia et Aleph.

On ignore si l'individu est toujours pris en charge dans un établissement psychiatrique, mais des policiers l'avaient initialement placé sous la surveillance d'un médecin après avoir affirmé qu'il avait parlé à plusieurs reprise par télépathie à l'actrice et qu'il avait voyagé du Colorado à Los Angeles pour la rencontrer. Il n'a pas non plus répondu aux enquêteurs lorsqu'ils l'ont appelé par son véritable nom, et n'a donné que des réponses « limitées et après un temps de latence » lorsqu'ils l'ont appelé « John ».

La police avait précédemment obtenu une ordonnance lui interdisant de posséder des armes à feu ou des munitions.