Actu people Nicki Minaj : son ancien styliste de nouveau poursuivi en justice

L'ancien styliste de Nicki Minaj, Maher Jridi, a été visé par une nouvelle plainte. Selon The Blast, il aurait omis de payer des créateurs ayant collaboré sur des costumes utilisés dans certains des clips de la star.

L'ancien styliste de Nicki Minaj est de nouveau poursuivi en justice. Selon des documents juridiques obtenus par The Blast, Maher Jridi et les dirigeants de Wilhemina Models sont poursuivis par les stylistes et consultants Sam Woolf et Martha Chery. Cette dernière affirme avoir été embauchée pour habiller la rappeuse dans son clip Swa Lah en février 2017 et s'était vue promettre un salaire de 500 dllars par jour, en plus du remboursement de ses frais.

Elle affirme que Maher Jridi l'a ensuite chargée de travailler sur trois autres clips, notamment Make Love et You Da Baddest. Elle a également travaillé avec la chanteuse pendant la Fashion Week de Paris et pour le clip de No Frauds, tourné au Royaume-Uni.

Martha Chery affirme qu'elle n'a reçu ni les 18.000 dollars qui lui sont dus pour ses 36,5 jours de travail, ni les 1.400 dollars de frais pour lesquels elle a demandé à être remboursée. Maher Jridi a entamé une action en justice contre la star du hip-hop en octobre, affirmant qu'il était incapable de payer des factures totalisant près de 74.000 dollars venant de ses fournisseurs car elle n'avait pas restitué les pièces de designer qu'il avait louées pour elle. Il lui a demandé de le rembourser afin qu'il puisse payer ses fournisseurs, mais Nicki Minaj a récemment riposté avec son propre procès, arguant que le styliste français lui devait de l’argent, car elle lui aurait versé 12.000 dollars de trop pour ses services.

Dans ses documents juridiques, Nicki Minaj a affirmé qu'il avait reconnu le paiement excédentaire et avait promis de restituer l'argent, mais qu'il n'avait jamais honoré son engagement.

Maher Jridi a nié ces allégations et a depuis demandé au juge chargé de superviser le litige de classer cette affaire et de laisser sa plainte originelle suivre son cours.