Actu people Paris Jackson explique ce qui l'a poussée à se scarifier

Paris Jackson est dépressive depuis l'adolescence. Dans le deuxième épisode de sa série Unfiltered, sur Facebook, la star a révélé comment ses problèmes psychologiques avaient démarré.

Paris Jackson a commencé à se scarifier et à se faire souffrir alors qu'elle était adolescente, quand son cousin s'est moqué de son poids après la mort de son père en 2009. La fille de Michael Jackson, qui a combattu l'anxiété et la dépression pendant longtemps, s'est souvenue du début de ses problèmes psychologiques dans le deuxième épisode de sa série sur Facebook Watch, Unfiltered: Paris Jackson and Gabriel Glenn.

Lors d'une discussion avec son petit ami, la jeune femme de 22 ans se souvient qu'elle est devenue de plus en plus consciente de son corps alors qu'elle a emménagé chez sa grand-mère après le décès du Roi de la Pop. Une grande-mère beaucoup moins à cheval que leur père sur leur régime, qui les a laissés manger ce qu'ils voulaient à tout moment. « J'ai pris beaucoup de poids et manger est devenu une addiction. Et un cousin m'a dit que j'étais grosse un jour, donc j'ai fait ''Ok, j'en peux plus'' et c'est comme ça que j'ai commencé à me faire mal », explique-t-elle.

« Je me coupais ou je me brûlais. Je ne pensais pas en mourir parce que je gardais toujours le contrôle du rasoir et je savais à quelle profondeur il pouvait aller. Il y avait une partie de tout ça qui était liée à la dopamine. La dopamine s'appelle de la dope pour une bonne raison : ça fait du bien. Les trucs comme la nourriture, le sexe, les drogues, la musique, le sport... Tout ça peut créer de la dopamine. Mais me faire du mal en créait aussi, me faire des tatouages aussi. C'était une distraction de la souffrance émotionnelle, je transférais ça en souffrance physique par besoin de contrôle », a ajouté la star.

Son mal-être était tel qu'à plusieurs reprises, Paris Jackson a tenté de se suicider. « J'ai essayé de me tuer plusieurs fois. Je n'en pouvais plus », a-t-elle avoué.

Forcée d'entrer dans un centre thérapeutique de l'Utah, Paris Jackson a réglé quelques problèmes, grâce à la médication, mais selon elle, elle en est « ressortie avec plus de problèmes ». Aujourd'hui, elle refuse le traitement. « Ça embrumait mon troisième œil. Je ne pouvais plus rire comme avant. On ne peut pas anesthésier le mauvais sans anesthésier le bon aussi (…) La souffrance vaut mieux qu'être anesthésiée, parce qu'au moins, on ressent quelque chose », a justifié Paris Jackson.