People Shia LaBeouf justifie sa dispute contre un patron de bar par la liberté de parole

CoverMedia

1.12.2017 - 14:25

42nd Toronto International Film Festival (TIFF) - 'Borg/McEnroe' Premiere

Featuring: Shia LaBeouf
Where: Toronto, Canada
When: 07 Sep 2017
Credit: Euan Cherry/WENN.com
42nd Toronto International Film Festival (TIFF) - 'Borg/McEnroe' Premiere Featuring: Shia LaBeouf Where: Toronto, Canada When: 07 Sep 2017 Credit: Euan Cherry/WENN.com
Covermedia

(Cover) - FR Showbiz - Dans une vidéo postée en ligne en avril dernier, on avait pu voir Shia LaBeouf crier sur David Bernstein, le patron du bar de Los Angeles Jerry's Famous Deli, en le traitant de « put*** de raciste ». A présent, alors que l'acteur est poursuivi pour agression et diffamation à hauteur de 5 millions de dollars, ce dernier se défend par l'intermédiaire de son avocat Brian Wolf auprès de la cour de Californie en arguant que sa dispute est protégée par le premier amendement de la constitution américaine qui garantie la liberté de parole.

Dans un plaidoyer qu'il a envoyé à la cour, il indique que cette action en justice est presque une acte « d’extorsion », ajoutant « qu'il est reconnu par la loi que les insultes, peu importe qu'elles soient vulgaires ou odieuses, ne sont pas diffamatoires ». Pour son avocat ce procès est avant tout un parfait exemple de ce qu'une star doit affronter à cause de sa célébrité. «  Son statut de célébrité a transformé ce qui devrait être une simple dispute privée... en une affaire publique », indique-t-il.

Enfin, il précise que le fait de taper du poing sur la table, comme a pu le faire Shia LaBeouf, est un acte qui est lui aussi protégé par la liberté de parole et que ce geste ne peut être considéré comme une agression, à l'inverse de la menace du tenancier de bar qui a brandi une bouteille de Grey Goose devant la star. Le juge va devoir décider si l'affaire doit se poursuivre ou si cette dernière doit être classée sans suite.

Cover Media

Retour à la page d'accueil