Cinéma«Je n’ai jamais voulu que mon corps devienne un sujet de discussion»
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8.3.2019
Brie Larson dans «Captain Marvel»
Dans «Captain Marvel», Brie Larson montre comment les femmes sauvent le monde, depuis le 7 mars dans les salles de cinéma.
Photo: Walt Disney Studios Motion Pictures Germany
Une super-héroïne au sourire radieux: «Quand je suis sélectionnée pour un rôle, je suppose alors que l’équipe de tournage me considère comme une experte du personnage», affirme Brie Larson, expliquant pourquoi elle fait désormais autorité dans le monde pour le personnage de Captain Marvel.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
L’agitation autour de son rôle semble mettre Brie Larson mal à l’aise: Captain Marvel est la première héroïne de Marvel à obtenir son propre film.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
«Un film ne peut être qu’une petite partie de cette discussion sur le féminisme et l’inclusion qui concerne toute la société», soutient Brie Larson qui, au cours de l’interview, préfère parler du plaisir qu’elle a eu sur le plateau de tournage.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
Même depuis qu’elle a remporté un Oscar pour «Room» (2016), Brie Larson affirme choisir «les rôles [qu’elle] trouve appropriés sur le moment». «Je peux tourner le film et livrer une expérience artistique qui n’appartient qu’à moi», précise-t-elle.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
Brie Larson s’est forgé ses propres super-pouvoirs au cours de plusieurs mois d’entraînement. Elle a effectué de nombreuses cascades elle-même sur le tournage de «Captain Marvel».
Photo: Walt Disney Studios Motion Pictures Germany
Ce que Brie Larson aime dans son rôle? «Carol Danvers n’a aucune envie de perdre son temps. Elle s’attaque aux problèmes et veut les résoudre rapidement.»
Photo: Walt Disney Studios Motion Pictures Germany
Brie Larson dans «Captain Marvel»
Dans «Captain Marvel», Brie Larson montre comment les femmes sauvent le monde, depuis le 7 mars dans les salles de cinéma.
Photo: Walt Disney Studios Motion Pictures Germany
Une super-héroïne au sourire radieux: «Quand je suis sélectionnée pour un rôle, je suppose alors que l’équipe de tournage me considère comme une experte du personnage», affirme Brie Larson, expliquant pourquoi elle fait désormais autorité dans le monde pour le personnage de Captain Marvel.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
L’agitation autour de son rôle semble mettre Brie Larson mal à l’aise: Captain Marvel est la première héroïne de Marvel à obtenir son propre film.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
«Un film ne peut être qu’une petite partie de cette discussion sur le féminisme et l’inclusion qui concerne toute la société», soutient Brie Larson qui, au cours de l’interview, préfère parler du plaisir qu’elle a eu sur le plateau de tournage.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
Même depuis qu’elle a remporté un Oscar pour «Room» (2016), Brie Larson affirme choisir «les rôles [qu’elle] trouve appropriés sur le moment». «Je peux tourner le film et livrer une expérience artistique qui n’appartient qu’à moi», précise-t-elle.
Photo: Suhaimi Abdullah/Getty Images
Brie Larson s’est forgé ses propres super-pouvoirs au cours de plusieurs mois d’entraînement. Elle a effectué de nombreuses cascades elle-même sur le tournage de «Captain Marvel».
Photo: Walt Disney Studios Motion Pictures Germany
Ce que Brie Larson aime dans son rôle? «Carol Danvers n’a aucune envie de perdre son temps. Elle s’attaque aux problèmes et veut les résoudre rapidement.»
Photo: Walt Disney Studios Motion Pictures Germany
Brie Larson (29 ans) incarne Captain Marvel, la première super-héroïne de Marvel à obtenir son propre film. Pourtant, l’actrice ne veut pas attacher trop d’importance à la dimension historique du film. Ses besoins humains ordinaires sont plus importants à ses yeux.
Brie Larson n’a que faire d’écrire une page de l’histoire du cinéma. Dans «Captain Marvel» (sortie en salles le 7 mars), l’actrice oscarisée («Room», 2016) de 29 ans joue le rôle-titre et incarne ainsi la première super-héroïne de Marvel à obtenir son propre film. Tout naturellement, elle répond à toutes les questions sur le sujet au cours de l’interview avec une grande courtoisie: interlocutrice très attentionnée, Brie Larson semble néanmoins surprise par l’agitation suscitée par son rôle. Pourtant, elle a juste fait son travail, un travail qu’elle aime, confie-t-elle. Pourquoi donc toute cette agitation autour de Captain Marvel, ou Carol Danvers de son nom civil? L’actrice née à Sacramento (Californie) préfère parler de rencontres surréalistes avec d’autres super-héros, de son penchant pour les cheeseburgers et de ses nouvelles aptitudes physiques.
Est-il vrai que vous pouvez désormais tirer un camion à mains nues?
Pas tout à fait. Mais je peux tout de même pousser une jeep sur une colline. Pas plus d’une minute, cependant, mais quand même!
Mais j’ai aussi suivi un entraînement physique de plusieurs mois pour cela. Une heure et demie chaque jour pendant une demi-année. C’était assez épuisant, mais ça a changé ma conscience corporelle.
Dans quelle mesure?
Je n’ai jamais voulu que mon corps devienne un sujet de discussion. Je préférerais n’être qu’une entité de conscience vivant dans un bocal. Quand on a un corps de femme, celui-ci fait toujours l’objet de discussions: quelle forme il doit avoir, comment l’utiliser au mieux. A ce moment, le corps devient automatiquement une prison. C’est pourquoi j’ai passé la majeure partie de ma vie à aiguiser mon esprit et à ne pas m’occuper du corps. Cela m’était égal. Grâce à cette préparation physique difficile pour «Captain Marvel», je vois désormais mon corps complètement différemment; l’entraînement m’a permis de développer une nouvelle relation avec mon corps. Maintenant, il m’appartient et je le vois comme un outil très, très utile avec lequel on peut faire des choses géniales. Soulever des objets lourds par exemple.
Vous en avez fait suffisamment dans le film, en effet, d’autant plus que vous avez effectué de nombreuses cascades vous-même…
J’ai beaucoup aimé ces scènes physiques rudes, même si elles m’ont aussi valu de nombreuses bosses. Sinon, tout était dans ma tête, le concret était comme une libération pour moi.
Vous incarnez la première super-héroïne de Marvel à obtenir son propre film. Quelle importance accordez-vous à cela?
A titre personnel, cela n’a aucune importance. J’aime beaucoup le personnage de Captain Marvel. Mais la dimension historique que le film peut avoir ne m’appartient pas.
«Je souhaiterais que certaines choses changent plus rapidement.»
Ne pensez-vous pas qu’il devrait y avoir plus d’héroïnes de films d’action au cinéma?
Je pense qu’il devrait y avoir plus de femmes dans tous les domaines dans le monde, en particulier aux fonctions haut placées. Je ne vois pas Captain Marvel comme un fanal. Le féminisme et l’inclusion font toujours l’objet d’un débat, la perception de ces questions change continuellement. C’est important. Un film ne peut être qu’une petite partie de cette discussion qui concerne toute la société. Il ne faut pas non plus oublier que les films prennent beaucoup de temps: une longue période s’écoule entre l’idée de départ et la sortie en salles. Je suis certes heureuse que cette discussion ait lieu et qu’elle soit approfondie, car les choses changent ainsi. Mais je souhaiterais aussi que certaines choses changent plus rapidement.
Captain Marvel introduit des perspectives explicitement féminines: dans le film, elle ne veut pas participer à une guerre, mais y mettre un terme.
Je vois moins cela comme un sursaut de féminisme. C’est simplement dû au personnage: Carol n’a aucune envie de perdre son temps. Elle s’attaque aux problèmes et veut les résoudre rapidement. En outre, je ne peux pas parler au nom de toutes les femmes du monde. Il ne m’appartient pas de le faire. Je pense aussi qu’il est faux de dire: «Tous les hommes sont comme ci, toutes les femmes sont comme ça.» Il y a beaucoup de nuances entre le noir et le blanc.
Combien de temps prend une telle production Marvel?
Si l’on compte tout, des neuf mois de préparation aux 75 jours de tournage, suivis de la synchronisation et des nouvelles prises, il y a environ un an et demi. Cela fait beaucoup de temps maintenant que j’y réfléchis.
Reste-t-il du temps pour d’autres projets? Après tout, vous tournez vos propres films, vous faites de la musique…
Eh bien, maintenant c’est fini et je peux faire ce que je veux.
Après votre Oscar pour «Room», est-il devenu plus difficile de sélectionner les bons rôles?
En réalité, non. Mais je ne choisis pas non plus selon les attentes: comment tel film peut-il être reçu par le public ou la critique? Ce n’est pas comme ça que ça marche, ce serait une approche complètement fausse. En effet, comment devrais-je savoir ce que les spectateurs voudront voir dans deux ans, quel genre de films sera demandé? Je ne peux même pas prédire ce que je mangerai demain au déjeuner. Je choisis les rôles que je trouve appropriés sur le moment: je peux tourner le film et livrer une expérience artistique qui n’appartient qu’à moi. Mais il est clair que j’ai plus d’options et que je reçois plus de scripts.
Avec un cheeseburger dans un musée d’art
Dans quelle mesure avez-vous pu influencer le personnage de Captain Marvel?
Quand je suis sélectionnée pour un rôle, je suppose alors que l’équipe de tournage me considère comme une experte du personnage: j’en suis donc responsable. Pendant le tournage, j’étais ainsi la principale experte mondiale de Captain Marvel.
Et maintenant, peut-être qu’avec ce personnage féminin fort, vous devenez une sorte de modèle.
C’est possible, mais ce n’est pas nécessairement le cas. Je peux vivre avec les deux. Dans tous les cas, je n’y pense pas En effet, on ne peut pas être un modèle si l’on entreprend d’être un modèle. Par exemple, je ne sais absolument pas ce qu’est réellement la force. C’est pour moi un concept très dynamique dans lequel la puissance physique brute n’est pas toujours cruciale. La vulnérabilité peut aussi être une force. A mes yeux, il est important de ne pas déterminer de l’extérieur ce à quoi la force doit ressembler. Chacun doit pouvoir le décider par lui-même. Un point c’est tout.
Etiez-vous excitée à l’idée d’intégrer l’univers cinématographique de Marvel, dix ans après le premier film?
En premier lieu, c’était surréaliste à mes yeux. J’ai pu me rendre à une fête d’anniversaire où tous les super-héros étaient rassemblés sous un chapiteau et buvaient du champagne ensemble. A ce moment-là, je me demandais déjà comment j’étais entrée là. Mais j’ai tout de même pu discuter avec beaucoup de personnes qui avaient franchi cette porte de l’univers Marvel avant moi.
De quoi avez-vous donc bavardé? Iron Man et Captain America ont-ils pu vous donner de bons conseils?
Pour être honnête, je n’ai pas posé de questions trop difficiles. Ce qui m’intéressait le plus, c’était de savoir comment aller aux toilettes en costume (rires). Sérieusement, cela a beaucoup trotté dans ma tête. Je bois beaucoup d’eau. Si ça vous intéresse, la plupart des super-héros Marvel ont besoin d’une trentaine de minutes et de l’aide d’une poignée de personnes pour cela.
Vous êtes-vous préparée au fait qu’un rôle de super-héros Marvel apporte toujours une dose supplémentaire de gloire?
Je l’espère bien, même si je ne sais pas à quoi m’attendre. Quoi qu’il en soit, je ferai tout mon possible pour continuer de vivre une vie honnête qui ait un sens. Avec un cheeseburger et en allant visiter un musée d’art, ça devrait le faire.
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Le top 20 des plus grands blockbusters de tous les temps
Le top 20 des plus grands blockbusters de tous les temps
Rien ne peut arrêter la marche triomphale de «Black Panther». Composée (presque) exclusivement d’actrices et d’acteurs noirs, l’adaptation cinématographique de la bande dessinée du même nom domine le box-office depuis plusieurs semaines. Aux Etats-Unis, l’épopée afro-futuriste, avec Chadwick Boseman dans le rôle du super-héros, a déjà battu les «Avengers». Mais où se situe le film dans le top 20 des meilleurs blockbusters de tous les temps?
Photo: 2018 Disney / Marvel
«Transformers: l’âge de l’extinction» a permis à Mark Wahlberg et Nicola Peltz de se hisser dans le top 20 en 2014. Le quatrième opus de la série a rapporté 1,104 milliard de dollars à Paramount Pictures. 20e place.
Photo: 2014 Paramount Pictures / Hasbro / Andrew Cooper
19e place: «Skyfall» (2012). Une des deux productions britanniques figurant parmi les 20 films les plus réussis de tous les temps sur le plan commercial. La troisième mission de Daniel Craig en tant qu’agent 007 a généré 1,108 milliard de dollars de chiffre d’affaires à travers le monde.
Photo: Fox
18e place: «Le Seigneur des anneaux: le retour du roi» (2003). La marche de Frodo (Elijah Wood) à travers la Terre du Milieu a rapporté une petite fortune. Le dernier volet de la trilogie adaptée des romans de Tolkien a généré 1,119 milliard de dollars de chiffre d’affaires.
Photo: 2003 New Line Productions
17e place: «Transformers 3» (2011). Le film le plus réussi de tous les «Transformers» est le troisième. Il a rapporté 1,123 milliard de dollars. La très sexy Rosie Huntington-Whiteley y serait-elle pour quelque chose?
Photo: 2011 Paramount Pictures / Hasbro
16e place: «Captain America: Civil War» (2016). Héros faillible, Captain America (Chris Evans) doit faire face à de grands défis, qu’il relève magistralement. Ce film signé Marvel a récolté 1,153 milliard de dollars.
Photo: Marvel 2016 / Disney
15e place: «Les Minions» (2015). Acolytes de Gru dans «Moi, moche et méchant», ils ont éclipsé (presque) tout le monde dans leurs «propres» aventures. Avec 1,159 milliard de dollars de recettes, le film «Les Minions» est le deuxième plus grand succès commercial de tous les temps dans la catégorie films d’animation.
Photo: Universal Pictures / Illumination Entertainment
14e place: «Iron Man 3» (2013). Robert Downey Jr. a beau être pas mal amoché, le troisième volet d’«Iron Man» n’en est pas moins devenu un méga blockbuster. Les recettes se chiffrent à 1,214 milliard de dollars.
Photo: Concorde
«Fast & Furious 8» (2017): à fond la caisse à la 13e place! A ce jour, le dernier opus de Fast & Furious» a rapporté 1,236 milliard de dollars. Avec un tel chiffre, il n’est toutefois que le deuxième plus grand succès de la série.
Photo: Universal
12e place: «Black Panther» (2018). Avec des recettes se chiffrant à 630,9 millions de dollars, le film «Black Panther», considéré comme l’adaptation cinématographique de bande dessinée la plus réussie, a déjà détrôné les «Avengers» aux Etats-Unis. Dans le box-office international, la troupe de super-héros tient toujours le haut du pavé. Mais il est peu probable que «Black Panther» se contente de se reposer sur 1,237 milliard de dollars.
Photo: 2018 Disney / Marvel
«La Belle et la Bête» (2017): l’adaptation cinématographique en chair et en os du conte de Grimm s’est révélée être une véritable poule aux œufs d’or. La démonstration de danse d’Emma Watson et de Dan Stevens a rapporté 1,263 milliard de dollars. Est-ce suffisant pour prétendre à la 11e place pendant longtemps?
Photo: 2016 Disney
«La Reine des neiges» (2013): les recettes s’élevant à 1,276 milliard de dollars ont réchauffé le cœur des producteurs de Disney. Aucun autre film d’animation n’a connu un tel succès commercial. 10e place!
Photo: Disney
9e place: «Star Wars: Les Derniers Jedi» (2017). L’Empire fait recette: Daisy Ridley et ses collèges de «Star Wars» ont permis à la production de récolter 1,332 milliard de dollars en 2017.
Photo: 2017 Lucasfilm Ltd. / Disney
8e film, 8e place: «Harry Potter et les reliques de la mort, 2e partie» (2011). Rupert Grint (à gauche), Emma Watson et Daniel Radcliffe ont toutes les raisons de se réjouir. La saga «Harry Potter» a connu un succès incroyable au cinéma. Le dernier volet est celui qui a généré le plus de chiffre d’affaires, avec 1,341 milliard de dollars de recettes.
Photo: Getty Images
«Avengers: l’ère d’Ultron» (2015): partout où ils apparaissent, il y a de l’action: armés de marteaux et de boucliers, Captain America (Chris Evans, à gauche) et Thor (Chris Hemsworth) combattent les méchants. Le résultat: 1,405 milliard de dollars de recettes engrangées au cinéma à travers le monde et une belle 7e place au classement.
Photo: Disney / Marvel / Jay Maidment
«Fast & Furious 7» (2015) arrive au 6e rang: la mort accidentelle de Paul Walker pendant le tournage donne un côté tragique au septième opus de la saga des fous du volant. Il est devenu le plus grand succès commercial de la série avec un résultat d’1,516 milliard de dollars au box-office.
Photo: Universal
5e place: «Avengers» (2012). Des sauveteurs de renommée internationale: la première apparition conjointe des «Avengers» à l’écran (de gauche à droite: Jeremy Renner, Chris Evans et Scarlett Johansson) a permis de récolter 1,518 milliard de dollars.
4e place: «Jurassic World» (2015). Toujours plus gros, toujours plus féroces, toujours plus de dents, et encore plus de chiffre d’affaires que son célèbre prédécesseur «Jurassic Park». Les méchants dinosaures ont fait gagner 1,671 milliard de dollars aux studios Universal.
Photo: Universal
3e place: «Star Wars: Le Réveil de la Force» (2016). 2,068 milliards de dollars: Daisy Ridley et John Boyega sont les héros de l’aventure «Star Wars» la plus réussie de tous les temps sur le plan commercial. Si l’on tient compte de «l’inflation», la situation est différente. Dans cette perspective, la première «Guerre des étoiles», sortie en 1977, arrive en tête de liste.
Photo: 2015 Lucasfilm Ltd. & TM / Disney
«Titanic» (1997): Avec Leonardo DiCaprio, Kate Winslet et un paquebot transatlantique en perdition, la Twentieth Century Fox a engrangé d’énormes recettes, soit 2,187 milliards de dollars. Un chiffre qui a permis au film de James Cameron de rester pendant un bon moment à la première place. Le réalisateur à succès s’est lui-même coupé l’herbe sous le pied douze ans plus tard avec...
Photo: Twentieth Century Fox
«Avatar» (2009): un succès probablement dû à la curiosité envers la technologie 3D, toute nouvelle à l’époque. La prouesse technique de James Cameron, pionnière en son genre, a rapporté 2,788 milliards de dollars. Sam Worthington et Zoe Saldana peuvent se vanter d’avoir joué dans le film qui a connu le plus grand succès commercial de tous les temps. Même si on les reconnaît à peine...
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