Ce dimanche soir, «Mise au point» révèle les résultats d’études médicales suisses sur le coronavirus. Alors qu’ils semblaient épargnés, les jeunes touchés par le virus pourraient garder des séquelles. Le magazine de la RTS 1 a rencontré plusieurs anciens malades.
C’est un virus dont on ne connaît finalement pas grand-chose. Depuis son apparition massive en début d’année en Europe, le coronavirus inquiète les scientifiques qui, étude après étude, se contredisent. Et alors que les contaminations ne cessent de grimper dans la Confédération, cette maladie suscite toujours beaucoup d’interrogations.
Plusieurs études helvétiques ont donné lieu à des résultats inquiétants: un tiers des malades, mêmes les plus jeunes, pourraient conserver des séquelles de leur contamination. Dans l’armée suisse, par exemple, une jeune recrue sur cinq a encore des problèmes physiques deux mois après l’infection, plus particulièrement des problèmes respiratoires. «Mise au point» est parti à la rencontre de ces personnes qui doivent désormais vivre avec des séquelles dont on ne sait pas si elles disparaîtront un jour. Un numéro qui montre comment le coronavirus a également décontenancé le monde scientifique.