L'univers de James Bond, ce sont des destinations exotiques, de superbes voitures de sport — mais surtout de magnifiques James Bond girls, qui succombent toutes au charme de l'espion gentleman. Cette James Bond girl, en particulier, n'a rien perdu de son sex-appeal: Diana Rigg a récemment fêté ses 80 ans…
En 1969, Diana Rigg a joué aux côtés de George Lazenby dans «Au service secret de Sa Majesté». À l'époque, l'actrice avait déjà fait chavirer le cœur de nombreux hommes dans la peau d'Emma Peel, dans la série «Chapeau melon et bottes de cuir». Mais ceux qui pensent que l'actrice a déjà pris sa retraite se trompent lourdement.
Diana Rigg est toujours active devant la caméra. Beaucoup la connaissent pour son rôle dans la série à succès «Game Of Thrones». Elle y a incarné Olenna Tyrell, prête à tout pour mener sa famille au pouvoir. Mais en tant que James Bond girl, elle est loin d'être la seule à avoir fait les yeux doux à l'agent secret.
La qualification de «James Bond girl» est bien trop gentille pour elle: on peut dire que la machiavélique May Day a fait trembler l'agent 007. À la fois assoiffée d'amour et dangereuse, elle est l'adversaire de James Bond dans «Dangereusement vôtre». Pour beaucoup, Grace Jones est la pire James Bond girl de tous les temps. Cependant, elle fait également partie de celles dont on se souvient.
Aucune autre Allemande ne s'est jamais glissée dans la peau d'une James Bond girl: quoi qu'il en soit, les producteurs ne sont pas passés à côté de Karin Dor, l'actrice fétiche d'Edgar Wallace. Dans «On ne vit que deux fois», elle incarne la jolie secrétaire Helga Brandt, qui se révélera pas la suite être un membre de l'organisation criminelle SPECTRE («Numéro 11»). Karin Dor est décédée en novembre 2017. Elle avait 79 ans.
Sylvia Trench est l'une des rares James Bond girls à avoir eu le privilège d'apparaître dans deux films. Elle a été interprétée par l'actrice britannique Eunice Gayson, qui aurait en réalité dû endosser le rôle de Moneypenny. Elle utilisait la formule «Trench, Sylvia Trench» pour se présenter. Alors qu'initialement, il était prévu qu'elle devienne une sorte de compagne permanente pour James Bond, l'idée a été abandonnée au bout de deux films. L'actrice est décédée le 8 juin 2018. Elle avait 90 ans.
Pour «Quantum of Solace», la deuxième apparition de Daniel Craig, souvent critiquée, dans la peau de l'agent secret, les producteurs avaient déniché une des James Bond girls les plus séduisantes de la saga. Mais surprise: l'agent 007 n'a pas eu d'aventure avec l'espionne bolivienne assoiffée de vengeance Camille, jouée par l'actrice française d'origine ukrainienne Olga Kurylenko.
Les auteurs ont une nouvelle fois fait preuve de créativité dans le choix de son nom: Holly Goodhead travaille en tant que physicienne pour le compte de la crapule Hugo Drax, mais est en réalité une agent secret. À la fin du film, elle survit et finit par s'abandonner dans les bras de James Bond (Roger Moore) en apesanteur.
«Jamais plus jamais» est le dernier film de Sean Connery en tant que 007. En guise de cadeau d'adieu, il a pu donner la réplique à une célèbre James Bond girl: c'est la superstar Kim Basinger qui a incarné Domino Petachi. Domino est la compagne de la crapule Largo — James Bond utilise la belle pour arriver jusqu'à lui. À la fin, la jolie blonde change de camp et se retrouve dans une piscine avec 007.
Une brève apparition devenue culte: au début du film, Jill Masterson aide à escroquer la crapule Auric Goldfinger aux cartes. Après avoir été démasquée par James Bond et fait un petit passage par le lit de l'agent, elle subit la vengeance de Goldfinger: son patron fait recouvrir son corps de peinture dorée, ce qui entraîne sa mort par asphyxie. La belle a été interprétée par la Britannique Shirley Eaton.
Peu de femmes ont vraiment compté pour l'agent secret britannique James Bond: le Dr Madeleine Swann (Léa Seydoux), qui apparaît dans le film «Spectre», fait partie de ces privilégiées. C'est à elle que revient la délicate tâche d'expliquer au bourreau des cœurs 007 (Daniel Craig) ce que sont les véritables sentiments.
Dans «Bons baisers de Russie», James Bond (Sean Connery) s'engage corps et âme dans la consolidation des relations russo-américaines. Car il se consacre pleinement à sa camarade Tatiana Romanova, même en dehors de leur mission: ils doivent récupérer une machine de déchiffrement russe volée. À la fin, la jolie Russe, éperdument amoureuse de l'agent 007, lui sauve la vie. Pour l'instant, il s'agit du rôle le plus populaire de l'Italienne Daniela Bianchi.
Elle est jolie comme un cœur, mais quelque peu maladroite: dans «L'Homme au pistolet d'or», l'employée des services secrets Mary Goodnight n'est pas d'une grande aide pour James Bond. Au contraire. Heureusement, la jolie agente se rattrape sous les draps. C'est Britt Ekland, l'ex-femme de Peters Sellers, qui a incarné cette James Bond girl au nom particulièrement bien choisi.
Une relation bilatérale du plus bel effet: dans «L'Espion qui m'aimait», pour le bien de l'humanité, James Bond (Roger Moore) et sa collègue russe Anya Amasova entament une liaison professionnelle dans laquelle ils se plongent avec passion le soir venu. C'est l'actrice américaine Barbara Bach, la future épouse de l'ancien batteur des Beatles Ringo Starr, qui a incarné la belle espionne soviétique.
Une seule James Bond girl a eu l'honneur de figurer dans le titre du film: Octopussy, incarnée par le mannequin suédois Maud Adams. Octopussy est une directrice de cirque particulièrement entreprenante dont le véritable métier est le trafic d'œuvres d'art. Dans le film, elle s'allie avec James Bond (Roger Moore) pour combattre la crapule Kamal Khan. À la fin, les deux personnages roucoulent sur un yacht en Inde.
En réalité, c'est Ornella Muti qui était pressentie pour ce rôle. Mais elle a refusé. C'est donc Carole Bouquet qui a assumé cette tâche. Dans «Rien que pour vos yeux», elle incarne la jeune Melina Havelock, un personnage particulier à bien des égards: elle se range d'emblée du côté de James Bond et souhaite venger la mort de ses parents. Au cours du film, elle éveille chez l'agent secret non seulement des sentiments érotiques, mais également un instinct protecteur et paternel.
Voilà ce qui arrive quand on couche avec le mauvais garçon... Lors de sa première nuit d'amour avec James Bond (Roger Moore), Solitaire perd non seulement sa virginité, mais également ses dons de voyance. Cette beauté mystérieuse a été incarnée par Jane Seymour, une des actrices les plus populaires à avoir endossé le rôle d'une James Bond girl dans le film «Vivre et laisser mourir».
Une scène particulièrement érotique: dans le rôle de l'espionne américaine Jinx, Halle Berry a non seulement fait tourner la tête de James Bond (Pierce Brosnan), mais également de tous les téléspectateurs. Son apparition sur la plage en bikini était bien évidemment un hommage à la scène jouée par Ursula Andress dans «James Bond 007 contre Dr No» 40 ans plus tôt.
Teresa Di Vicenzo, interprétée par Diana Rigg, est la seule femme avec qui James Bond (ici, George Lazenby) a jamais été marié. Ils se rencontrent alors que la belle cherche à se suicider. Après l'avoir empêchée de commettre le pire, l'agent 007 tombe amoureux d'elle et les deux tourtereaux planifient même leur avenir ensemble. Cependant, Teresa finira par être abattue par Irma Bunt, une des sbires de la crapule Ernst Stavro Blofeld. Plusieurs années plus tard, James Bond se recueillera sur sa tombe dans «Rien que pour vos yeux»…
La première à avoir exploité le faible de James Bond pour le sexe féminin dans son intérêt n'est autre que Sophie Marceau, alias la très calculatrice Elektra King dans «Le monde ne suffit pas»: l'agent secret (Pierce Brosnan), épris de la belle, ne se rend pas compte qu'elle est en fait en couple avec son rival. Et on peut le comprendre…
Dans «Goldfinger», où la James Bond girl n'est autre que la pilote Pussy Galore, jouée par Honor Blackman, James Bond (Sean Connery) coopère pour la première fois d'égal à égal avec une femme. Elle met du temps avant de succomber au charme de l'agent et l'aide finalement à déjouer le plan perfide de Goldfinger. Pussy Galore fait partie des femmes à avoir eu l'honneur de passer la fin d'un film avec l'agent. Et James Bond lui témoigne alors un intérêt particulièrement marqué.
Un amour qui a tout changé: dans «Casino Royale», James Bond succombe au charme de la ténébreuse Vesper Lynd. Cependant, alors qu'on la fait chanter, elle est contrainte d'abandonner son grand amour. Avant même qu'il puisse s'exiler avec elle et démarrer une vie sans missions, Vesper se suicide, rongée par le désespoir et la culpabilité. C'est l'actrice Eva Green qui l'a incarnée.
En 1962, dans «James Bond 007 contre Dr No», Ursula Andress n'a pas fait que rendre ses lettres de noblesse au bikini. En tant que première James Bond girl de la saga, elle reste l'incarnation parfaite de la James Bond girl. Honey Ryder est une ramasseuse de coquillages naïve, fragile, mais également finaude qui ne manque pas d'atouts.
Les meilleures James Bond girls de tous les temps
L'univers de James Bond, ce sont des destinations exotiques, de superbes voitures de sport — mais surtout de magnifiques James Bond girls, qui succombent toutes au charme de l'espion gentleman. Cette James Bond girl, en particulier, n'a rien perdu de son sex-appeal: Diana Rigg a récemment fêté ses 80 ans…
En 1969, Diana Rigg a joué aux côtés de George Lazenby dans «Au service secret de Sa Majesté». À l'époque, l'actrice avait déjà fait chavirer le cœur de nombreux hommes dans la peau d'Emma Peel, dans la série «Chapeau melon et bottes de cuir». Mais ceux qui pensent que l'actrice a déjà pris sa retraite se trompent lourdement.
Diana Rigg est toujours active devant la caméra. Beaucoup la connaissent pour son rôle dans la série à succès «Game Of Thrones». Elle y a incarné Olenna Tyrell, prête à tout pour mener sa famille au pouvoir. Mais en tant que James Bond girl, elle est loin d'être la seule à avoir fait les yeux doux à l'agent secret.
La qualification de «James Bond girl» est bien trop gentille pour elle: on peut dire que la machiavélique May Day a fait trembler l'agent 007. À la fois assoiffée d'amour et dangereuse, elle est l'adversaire de James Bond dans «Dangereusement vôtre». Pour beaucoup, Grace Jones est la pire James Bond girl de tous les temps. Cependant, elle fait également partie de celles dont on se souvient.
Aucune autre Allemande ne s'est jamais glissée dans la peau d'une James Bond girl: quoi qu'il en soit, les producteurs ne sont pas passés à côté de Karin Dor, l'actrice fétiche d'Edgar Wallace. Dans «On ne vit que deux fois», elle incarne la jolie secrétaire Helga Brandt, qui se révélera pas la suite être un membre de l'organisation criminelle SPECTRE («Numéro 11»). Karin Dor est décédée en novembre 2017. Elle avait 79 ans.
Sylvia Trench est l'une des rares James Bond girls à avoir eu le privilège d'apparaître dans deux films. Elle a été interprétée par l'actrice britannique Eunice Gayson, qui aurait en réalité dû endosser le rôle de Moneypenny. Elle utilisait la formule «Trench, Sylvia Trench» pour se présenter. Alors qu'initialement, il était prévu qu'elle devienne une sorte de compagne permanente pour James Bond, l'idée a été abandonnée au bout de deux films. L'actrice est décédée le 8 juin 2018. Elle avait 90 ans.
Pour «Quantum of Solace», la deuxième apparition de Daniel Craig, souvent critiquée, dans la peau de l'agent secret, les producteurs avaient déniché une des James Bond girls les plus séduisantes de la saga. Mais surprise: l'agent 007 n'a pas eu d'aventure avec l'espionne bolivienne assoiffée de vengeance Camille, jouée par l'actrice française d'origine ukrainienne Olga Kurylenko.
Les auteurs ont une nouvelle fois fait preuve de créativité dans le choix de son nom: Holly Goodhead travaille en tant que physicienne pour le compte de la crapule Hugo Drax, mais est en réalité une agent secret. À la fin du film, elle survit et finit par s'abandonner dans les bras de James Bond (Roger Moore) en apesanteur.
«Jamais plus jamais» est le dernier film de Sean Connery en tant que 007. En guise de cadeau d'adieu, il a pu donner la réplique à une célèbre James Bond girl: c'est la superstar Kim Basinger qui a incarné Domino Petachi. Domino est la compagne de la crapule Largo — James Bond utilise la belle pour arriver jusqu'à lui. À la fin, la jolie blonde change de camp et se retrouve dans une piscine avec 007.
Une brève apparition devenue culte: au début du film, Jill Masterson aide à escroquer la crapule Auric Goldfinger aux cartes. Après avoir été démasquée par James Bond et fait un petit passage par le lit de l'agent, elle subit la vengeance de Goldfinger: son patron fait recouvrir son corps de peinture dorée, ce qui entraîne sa mort par asphyxie. La belle a été interprétée par la Britannique Shirley Eaton.
Peu de femmes ont vraiment compté pour l'agent secret britannique James Bond: le Dr Madeleine Swann (Léa Seydoux), qui apparaît dans le film «Spectre», fait partie de ces privilégiées. C'est à elle que revient la délicate tâche d'expliquer au bourreau des cœurs 007 (Daniel Craig) ce que sont les véritables sentiments.
Dans «Bons baisers de Russie», James Bond (Sean Connery) s'engage corps et âme dans la consolidation des relations russo-américaines. Car il se consacre pleinement à sa camarade Tatiana Romanova, même en dehors de leur mission: ils doivent récupérer une machine de déchiffrement russe volée. À la fin, la jolie Russe, éperdument amoureuse de l'agent 007, lui sauve la vie. Pour l'instant, il s'agit du rôle le plus populaire de l'Italienne Daniela Bianchi.
Elle est jolie comme un cœur, mais quelque peu maladroite: dans «L'Homme au pistolet d'or», l'employée des services secrets Mary Goodnight n'est pas d'une grande aide pour James Bond. Au contraire. Heureusement, la jolie agente se rattrape sous les draps. C'est Britt Ekland, l'ex-femme de Peters Sellers, qui a incarné cette James Bond girl au nom particulièrement bien choisi.
Une relation bilatérale du plus bel effet: dans «L'Espion qui m'aimait», pour le bien de l'humanité, James Bond (Roger Moore) et sa collègue russe Anya Amasova entament une liaison professionnelle dans laquelle ils se plongent avec passion le soir venu. C'est l'actrice américaine Barbara Bach, la future épouse de l'ancien batteur des Beatles Ringo Starr, qui a incarné la belle espionne soviétique.
Une seule James Bond girl a eu l'honneur de figurer dans le titre du film: Octopussy, incarnée par le mannequin suédois Maud Adams. Octopussy est une directrice de cirque particulièrement entreprenante dont le véritable métier est le trafic d'œuvres d'art. Dans le film, elle s'allie avec James Bond (Roger Moore) pour combattre la crapule Kamal Khan. À la fin, les deux personnages roucoulent sur un yacht en Inde.
En réalité, c'est Ornella Muti qui était pressentie pour ce rôle. Mais elle a refusé. C'est donc Carole Bouquet qui a assumé cette tâche. Dans «Rien que pour vos yeux», elle incarne la jeune Melina Havelock, un personnage particulier à bien des égards: elle se range d'emblée du côté de James Bond et souhaite venger la mort de ses parents. Au cours du film, elle éveille chez l'agent secret non seulement des sentiments érotiques, mais également un instinct protecteur et paternel.
Voilà ce qui arrive quand on couche avec le mauvais garçon... Lors de sa première nuit d'amour avec James Bond (Roger Moore), Solitaire perd non seulement sa virginité, mais également ses dons de voyance. Cette beauté mystérieuse a été incarnée par Jane Seymour, une des actrices les plus populaires à avoir endossé le rôle d'une James Bond girl dans le film «Vivre et laisser mourir».
Une scène particulièrement érotique: dans le rôle de l'espionne américaine Jinx, Halle Berry a non seulement fait tourner la tête de James Bond (Pierce Brosnan), mais également de tous les téléspectateurs. Son apparition sur la plage en bikini était bien évidemment un hommage à la scène jouée par Ursula Andress dans «James Bond 007 contre Dr No» 40 ans plus tôt.
Teresa Di Vicenzo, interprétée par Diana Rigg, est la seule femme avec qui James Bond (ici, George Lazenby) a jamais été marié. Ils se rencontrent alors que la belle cherche à se suicider. Après l'avoir empêchée de commettre le pire, l'agent 007 tombe amoureux d'elle et les deux tourtereaux planifient même leur avenir ensemble. Cependant, Teresa finira par être abattue par Irma Bunt, une des sbires de la crapule Ernst Stavro Blofeld. Plusieurs années plus tard, James Bond se recueillera sur sa tombe dans «Rien que pour vos yeux»…
La première à avoir exploité le faible de James Bond pour le sexe féminin dans son intérêt n'est autre que Sophie Marceau, alias la très calculatrice Elektra King dans «Le monde ne suffit pas»: l'agent secret (Pierce Brosnan), épris de la belle, ne se rend pas compte qu'elle est en fait en couple avec son rival. Et on peut le comprendre…
Dans «Goldfinger», où la James Bond girl n'est autre que la pilote Pussy Galore, jouée par Honor Blackman, James Bond (Sean Connery) coopère pour la première fois d'égal à égal avec une femme. Elle met du temps avant de succomber au charme de l'agent et l'aide finalement à déjouer le plan perfide de Goldfinger. Pussy Galore fait partie des femmes à avoir eu l'honneur de passer la fin d'un film avec l'agent. Et James Bond lui témoigne alors un intérêt particulièrement marqué.
Un amour qui a tout changé: dans «Casino Royale», James Bond succombe au charme de la ténébreuse Vesper Lynd. Cependant, alors qu'on la fait chanter, elle est contrainte d'abandonner son grand amour. Avant même qu'il puisse s'exiler avec elle et démarrer une vie sans missions, Vesper se suicide, rongée par le désespoir et la culpabilité. C'est l'actrice Eva Green qui l'a incarnée.
En 1962, dans «James Bond 007 contre Dr No», Ursula Andress n'a pas fait que rendre ses lettres de noblesse au bikini. En tant que première James Bond girl de la saga, elle reste l'incarnation parfaite de la James Bond girl. Honey Ryder est une ramasseuse de coquillages naïve, fragile, mais également finaude qui ne manque pas d'atouts.
Ces femmes ont le permis d'aimer: de Pussy Galore à Vesper Lynd — voici les 20 meilleures James Bond girls de tous les temps.
Elles se prénomment Pussy Galore, Mary Goodnight ou encore Vesper Lynd: les James Bond girls sont un peu la cerise sur le gâteau des films de la saga 007. Dans notre galerie, nous avons rassemblé les 20 plus belles compagnes de jeu de l'agent secret: récemment, Diana Rigg, alias Teresa Di Vicenzo dans «Au service secret de Sa Majesté», a fêté ses 80 ans (consultez également notre article à ce sujet).
Daniel Craig
Bon anniversaire!, Mr Bond: Daniel Craig fête ses 50 ans ce 2 mars.
Pour Daniel Craig, le rôle de l’agent 007 n’a pas que de bons côtés.
Daniel Craig (en compagnie de Barbara Broccoli, la productrice des derniers James Bond, au centre, et de l'actrice Annette Bening) trouve qu’en tant qu’interprète de James Bond, il doit trop se préoccuper de son apparence.
Cet homme, vraiment? En 2005, lorsqu’on avait annoncé que Daniel Craig serait le nouveau James Bond, les réactions de la presse, en particulier au Royaume-Uni, avaient été catastrophiques.
Daniel Craig est resté sept ans avec l’actrice allemande Heike Makatsch.
En 1997, Daniel Craig et Heike Makatsch ont tourné ensemble le film «Obsession». Leur relation a pris fin en 2001.
De 2005 à 2010, Daniel Craig a vécu en couple avec la productrice Satsuki Mitchell. Ils étaient même fiancés.
En 2011, Daniel Craig a épousé l’actrice oscarisée Rachel Weisz. Cela faisait déjà plusieurs années qu’ils étaient amis.
Daniel Craig (ici avec le directeur du festival Geoffrey Gilmore) s’est fait connaître en 2005, grâce au thriller «Layer Cake», qu’il a présenté au festival du film de Sundance.
En 2006, lors de la première de «Casino Royale», sa première aventure en tant que James Bond, Daniel Craig a pu serrer la main de la reine Elizabeth II.
En 2007, Daniel Craig a été invité au Festival du film de Cannes pour son rôle dans le film «À la croisée des mondes: La Boussole d'or».
En 2011, Daniel Craig a présenté le western de science-fiction «Cowboys et envahisseurs» au Festival international du film de Locarno.
Daniel Craig a joué avec Rooney Mara dans le remake américain de l’adaptation au cinéma du livre de Stieg Larsson «Millénium: Les hommes qui n'aimaient pas les femmes».
Nommé ambassadeur de l’ONU pour l'élimination des mines et des engins explosifs, Daniel Craig, ici à Chypre, parcourt régulièrement le monde pour le compte des Nations unies.
Les relations de Daniel Craig avec la presse ne sont pas toujours au beau fixe.
C’est plus facile avec ses fans: patient, l’acteur prend régulièrement la pose pour des selfies.
Daniel Craig (à droite) a pris sa décision: ce sera son dernier James Bond. Christoph Waltz, qui a incarné Blofeld, l’adversaire de James Bond dans «Spectre», n’est pas le seul à le regretter.
Entre deux aventures de l‘agent 007, Daniel Craig prend le temps de tourner des films dans lesquels il peut faire de nouvelles expériences capillaires, comme ici, dans «Logan Lucky».
En tant que fervent supporter du FC Liverpool, Daniel se rend à Anfield Road dès qu’il le peut.
Que sont devenus les héros des films d'action des années 80?
Que sont devenus les héros des films d'action des années 80?
Stallone, Arnie, Seagal — ils ont tous régné en maîtres sur le cinéma d'action des années 80. Mais que sont devenus ces grands costauds aujourd'hui? Parcourez notre galerie pour le découvrir.
«Échec et Mort», «Piège en haute mer», «Terrain miné» — les films avec Steven Seagal (ici dans «Attack Force»), qui a percé au cinéma en 1988, dans le rôle de «Nico», ont toujours débordé d'action. C'est avec le visage figé et une arme au poing que ce bloc de granit s'est imposé à Hollywood.
Le saviez-vous? Steven Seagal est bouddhiste et a été ordonné prêtre du mouvement japonais Ōmoto. Il est également végétarien, policier, bluesman et multiple champion d'arts martiaux. Il a vécu 15 ans au Japon et a obtenu la citoyenneté russe en 2016. À Hollywood en revanche, il a été mis sur une voie de garage dès la fin des années 90.
Aujourd'hui, Steven Seagal ne joue plus que dans des films de second rang qui ne sortent que rarement au cinéma. Sa dernière grande apparition remonte à 2010. C'était dans «Machete». S'il n'est plus aussi musclé qu'à l'époque, il n'en demeure pas moins un vrai dur.
Dernièrement, c'est son enthousiasme pour Donald Trump qui a créé la controverse. Juste après l'élection du nouveau président des États-Unis, il l'a félicité pour sa «victoire écrasante».
On ne peut aborder le cinéma d'action des années 80 sans parler de Bruce Willis et de «Piège de cristal». De 1988 à 2013, il a fait régner la loi dans la peau du policier new-yorkais John McClane et a sauvé la vie de bon nombre d'innocents — légendaire! En tout, Bruce Willis a endossé cinq fois ce rôle culte.
Cependant, on ne peut pas réduire Bruce Willis au seul personnage de John McClane. L'acteur aujourd'hui âgé de 63 ans, qui est toujours une véritable star à Hollywood, a également joué dans des productions bien différentes, comme «Le Sixième Sens», «Incassable» et «Mon voisin le tueur». Ces dernières années cependant, il n'a plus connu de grands succès — sauf dans la comédie d'espionnage «R.E.D.».
Encore une icône seule contre tous: avec la saga «Rambo», Sylvester Stallone a eu une influence déterminante sur les films d'action des années 80. En tout, Sly, qui a également contribué au mythe de Rocky Balboa, a incarné quatre fois (de 1982 à 2008) le légendaire vétéran de guerre. Et il sera bientôt de retour dans un cinquième opus.
À Hollywood, l'acteur de 72 ans est toujours très demandé. En novembre, il remontera sur le ring de boxe dans «Creed 2». Dernièrement, il a joué un chouette second rôle dans «Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2» et a donné la réplique à Arnold Schwarzenegger, qui a longtemps été le plus gros concurrent de Sly, dans «Évasion»…
Trente-six ans après la sortie de «Conan le Barbare», Arnold Schwarzenegger impressionne toujours autant dans son premier grand rôle. Le chêne styrien n'a pourtant intégré les hautes sphères d'Hollywood que deux ans après la sortie de ce film.
Il venait du futur pour tuer: «Terminator» (1984). Aucun autre rôle n'est autant associé à Arnie que celui de l'impitoyable machine à tuer T-800.
Après un petit passage par la politique et une élection au poste de gouverneur de Californie, Terminator a multiplié les apparitions devant la caméra ces dernières années, dévoilant des qualités insoupçonnées. Dans «Maggie», Arnold Schwarzenegger, qui incarne le père d'une jeune fille en passe de se transformer en zombie, a joué le rôle le plus humain et le plus sensible de sa carrière. En outre, Arnie est considéré comme un des plus grands détracteurs de Donald Trump.
Harrison Ford n'a jamais été un héros de films d'action au sens classique du terme, mais a incontestablement marqué le genre de son empreinte. Les aventures qu'il a vécues dans les trois premiers opus de la saga «Indiana Jones» ont conquis le cœur des fans d'action. L'archéologie se dépoussière enfin!
En tant que membre du clan très fermé des héros de films d'action des années 80, Harrison Ford, aujourd'hui âgé de 76 ans, fait encore partie des plus grandes stars d'Hollywood. En 2015, il a à nouveau incarné Han Solo dans «Star Wars: Le Réveil de la Force». En 2017, on a pu le voir dans «Blade Runner 2049». Et en 2021, il devrait à nouveau interpréter Indy dans un nouvel opus de la saga «Indiana Jones».
Michael Dudikoff (à gauche), en revanche, a presque totalement sombré dans l'oubli aujourd'hui. Dans les années 80, il a notamment joué dans «American Warrior II: le chasseur», «Platoon Leader» et «La Rivière de la mort». Toutefois, c'est dans la saga «American Fighter» (photo) qu'il a rencontré le plus de succès.
Michael Dudikoff a incarné le ninja Joe Armstrong à quatre reprises. En 2002, il s'est complètement retiré du monde du cinéma pendant dix ans. Depuis, il n'est…
… plus apparu que dans de petits seconds rôles — comme dans «Stranded» (photo) ou dans la production trash «Navy Seals vs. Zombies» (2015).
Ce rôle était fait pour lui: qui de mieux pour incarner Musclor que Dolph Lundgren? Le film «Les Maîtres de l'Univers» a ouvert de nombreuses portes au Suédois, qui avait déjà fait des apparitions dans «Rocky IV» et «Dangereusement vôtre» auparavant. Par la suite, il a notamment décroché des rôles principaux dans «The Punisher» et «Universal Soldier».
Rare sont les films ayant Dolph Lundgren pour acteur principal à encore sortir au cinéma aujourd'hui. L'acteur de 59 ans profite toutefois de ses seconds rôles pour montrer qu'il est toujours en forme. Ainsi, on pourra notamment le voir dans «Aquaman» (décembre 2018) et «Creed 2» (2019). Dolph Lundgren n'a également rien perdu de son sens de l'humour, comme il l'a notamment prouvé en 2016, dans «Un flic à la maternelle 2».
C'est également dans les années 80 que Kurt Russel s'est imposé au cinéma. D'ailleurs, bon nombre de ses fans continuent encore à le vénérer aujourd'hui, en particulier pour son rôle de Snake Plissken dans «New York 1997».
Depuis le changement de millénaire, on n'avait plus beaucoup entendu parler de Kurt Russel, qui a passé énormément de temps dans ses vignobles. Récemment, l'acteur de 67 ans a toutefois fait son petit come-back dans des productions à gros budget comme «Fast & Furious 7», «Les Huit Salopards» et «Deepwater» (photo). En outre, Kurt Russell…
… a également joué dans le blockbuster Marvel «Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2». Il y incarne le père de Star-Lord — et le proclame dans un style Dark Vador des plus charmants: «Je suis ton père, Peter.» Bientôt, on pourra également le voir dans «Once Upon a Time in Hollywood» (2019), le nouveau film de Quentin Tarantino.
Il a démarré comme videur et a fini par devenir la figure de proue du film d'arts martiaux: on ne peut pas aborder le cinéma des années 80 sans parler de Jean-Claude Van Damme. Que ce soit dans «Le Tigre rouge», «Cyborg», «Full Contact», «Street Fighter» ou encore «Timecop», l'acteur belge, aujourd'hui âgé de 56 ans, a toujours baigné dans l'action. Il est notamment connu pour ses grands écarts parfaits et ses coups de pied circulaires.
Aujourd'hui, Jean-Claude Van Damme tourne encore régulièrement dans des films de gros durs, même si ces derniers sont loin de retenir l'attention. Parmi les derniers projets de JCVD, on peut notamment citer une série Amazon, dans laquelle l'acteur se moque de lui-même: Jean-Claude Van Damme est «Jean-Claude Van Johnson».
«Chuck Norris est si viril que même ses poils de torse ont des poils de torse.» Chuck Norris, lui aussi spécialiste des coups de pied circulaires, est aujourd'hui devenu un personnage culte. Sur Internet, les célèbres «Chuck Norris Facts» sont aussi populaires que les vidéos de chats et les réseaux sociaux. Sur la photo: Chuck Norris dans «Œil pour œil», un de ses films les plus poilus et les plus populaires.
Après avoir fait son retour avec la série «Walker, Texas Ranger» à la fin des années 90, Chuck Norris a largement disparu des écrans. Depuis 2000, l'acteur de 77 ans n'a tourné que huit films. Dernièrement, on a pu le voir dans «Expendables 2».
Ce que Snake Plissken est à Kurt Russell et Terminator à Arnold Schwarzenegger, Max Rockatansky l'est à Mel Gibson: les films visionnaires et dystopiques de la saga «Mad Max» ont fait de Mel Gibson une véritable légende. D'ailleurs, ces films sont encore largement diffusés aujourd'hui.
Jusque tard dans les années 90, Mel Gibson est resté un acteur très demandé à Hollywood. «Braveheart» (1995), par exemple, a remporté un énorme succès. Par la suite, il s'est davantage concentré sur son activité de réalisateur («La Passion du Christ», «Apocalypto») et s'est fait plutôt rare devant la caméra. Mais cela n'a pas empêché Mel Gibson de faire la une des journaux avec ses propos offensants.
Après avoir multiplié les frasques, Mel Gibson se consacre à nouveau à la réalisation — avec succès. En 2016, l'acteur de 62 ans n'a récolté que des louanges pour son rôle dans «Blood Father». La même année, il a même été nominé aux Oscars pour la réalisation du film «Tu ne tueras point».
Le dinosaure des films d'action Jackie Chan (64 ans), manifestement inusable, est actif depuis les années 60. Cependant, c'est précisément parce qu'il a longtemps fonctionné comme une machine que le champion d'arts martiaux a également marqué les années 80 de son empreinte. Sur la photo: Jackie Chan arborait une coiffure plutôt chic dans «La Danse du lion».
Même après plus de 50 ans dans le cinéma, Jackie Chan semble ne rien avoir perdu de son goût pour l'action et les sports de combat. Dernièrement, il a même fait équipe avec Johnny Knoxville (à gauche) dans «Skiptrace» (2016). Respect! Jackie Chan devrait également jouer dans «Rush Hour 4» et «Shanghai Dawn».
Des allures de réunion d'anciens élèves: ces dernières années, afin de se remémorer la belle époque et probablement aussi de célébrer leur carrière, plusieurs héros de films d'action des années 80 se sont à nouveau réunis pour s'adonner à leur activité préférée: la baston. Depuis 2010, il y a déjà eu trois films autour des «Expendables». Y en aura-t-il un quatrième? Tout semble indiquer que oui.
Retour de retraite: alors que Sylvester Stallone, instigateur, scénariste, réalisateur et acteur principal de la saga, ne voulait pas entendre parler d'«Expendables 4», tout devrait maintenant aller très vite. Le tournage du nouveau film d'action devrait démarrer à l'été 2018.
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