«Vitalina Varela» du réalisateur portugais Pedro Costa a reçu le Léopard d'or.
Vitalina Varela, véritable nom de l'actrice tenant le rôle principal, raconte l'arrivée à Lisbonne d'une Cap Verdienne ayant perdu son mari. Mme Varela a reçu le prix de la meilleure actrice.
Le jury international présidé par la cinéaste française Catherine Breillat a décerné un son prix spécial à «Pa-go» du réalisateur sud-coréen Jung-bum Park.
Le Français Damien Manivel remporte le prix de la mise en scène pour «Les enfants d'Isadora».
La 72e édition du Festival de Locarno a attiré 157'500 spectateurs, soit 1,2% de plus qu'en 2018.
Le prix d'interprétation masculine est remis à Regis Myrupu .
Une mention spéciale est décernée pour «Hiruk-Pikuk si al-kisah», du réalisateur indonésien Yosep Anggi Noen.
Et une autre mention spéciale est décernée pour «Maternal» de la réalisatrice italienne Maura Delpero.
«Camille» du réalisateur français Boris Lojkine remporte le prix du public.
«Je me sens très heureuse et satisfaite de ma première édition», a déclaré Lili Hinstin, qui a succédé à Carlo Chatrian, parti à la Berlinale.
Satisfaction à Locarno au terme du festival
«Vitalina Varela» du réalisateur portugais Pedro Costa a reçu le Léopard d'or.
Vitalina Varela, véritable nom de l'actrice tenant le rôle principal, raconte l'arrivée à Lisbonne d'une Cap Verdienne ayant perdu son mari. Mme Varela a reçu le prix de la meilleure actrice.
Le jury international présidé par la cinéaste française Catherine Breillat a décerné un son prix spécial à «Pa-go» du réalisateur sud-coréen Jung-bum Park.
Le Français Damien Manivel remporte le prix de la mise en scène pour «Les enfants d'Isadora».
La 72e édition du Festival de Locarno a attiré 157'500 spectateurs, soit 1,2% de plus qu'en 2018.
Le prix d'interprétation masculine est remis à Regis Myrupu .
Une mention spéciale est décernée pour «Hiruk-Pikuk si al-kisah», du réalisateur indonésien Yosep Anggi Noen.
Et une autre mention spéciale est décernée pour «Maternal» de la réalisatrice italienne Maura Delpero.
«Camille» du réalisateur français Boris Lojkine remporte le prix du public.
«Je me sens très heureuse et satisfaite de ma première édition», a déclaré Lili Hinstin, qui a succédé à Carlo Chatrian, parti à la Berlinale.
Le Festival de Locarno, le premier dirigé par Lili Hinstin, s'est achevé dimanche. «Vitalina Varela» du réalisateur portugais Pedro Costa a reçu le Léopard d'or. Cette 72e édition a attiré 157'500 spectateurs, soit 1,2% de plus qu'en 2018.
L'édition a dépassé les attentes des organisateurs, indique le festival dimanche dans un communiqué. «Je me sens très heureuse et satisfaite de ma première édition», a ajouté Mme Hinstin. La Française, âgée de 42 ans, a succédé à Carlo Chatrian, parti à la Berlinale.
Le jury international présidé par la cinéaste française Catherine Breillat a décerné son prix spécial à «Pa-go» du réalisateur sud-coréen Jung-bum Park. Le Français Damien Manivel remporte le prix de la mise en scène pour «Les enfants d'Isadora», tandis que le prix d'interprétation masculine est remis à Regis Myrupu dans «A Febre» (La fièvre).
Une mention spéciale est décernée pour «Hiruk-Pikuk si al-kisah», du réalisateur indonésien Yosep Anggi Noen et pour «Maternal» de l'Italienne Maura Delpero.
Public conquis par «Camille»
«Camille» du réalisateur français Boris Lojkine remporte le prix du public. Le film narre l'histoire d'une jeune photojournaliste idéaliste qui part en Centrafrique couvrir la guerre civile qui couve.
Le film lauréat du Léopard d'or «Vitalina Varela», nom véritable de l'actrice tenant le rôle principal, raconte l'arrivée à Lisbonne d'une Cap Verdienne ayant perdu son mari. Celle-ci est restée dans son archipel tandis que son mari était parti chercher du travail en Europe. Elle vit 25 années seule, avant de se retrouver à Lisbonne, dans la maison délabrée construite par son mari et qui est désormais la sienne.
Favori
«Vitalina Varela» faisait partie des favoris. Le film, lent, a été tourné presque exclusivement dans l'obscurité. Mme Varela a reçu le prix de la meilleure actrice. Pedro Costa n'est pas un inconnu à Locarno. Le réalisateur âgé de 60 ans a remporté en 2014 un Léopard d'argent dans la catégorie meilleure mise en scène pour «Cavalo Dinheiro».
Le drame «Pa-go» (La hauteur de la vague) retrace l'histoire de la jeune Yea-eun, qui, apeurée par la mer qui a emporté ses parents, reste sur une île où elle est maltraitée par les habitants de village.
«Les enfants d'Isadora» revient sur l'histoire de la danseuse américaine Isadora Duncan. Après la mort d'un de ses enfants en 1913, elle a composé un solo d'adieu. Un siècle plus tard, quatre femmes font la rencontre de cette danse bouleversante.
Alunissage fictif
Dans «Hiruk-Pikuk si al-kisah» (La science des fictions), Siman découvre des étrangers en train de filmer un alunissage fictif en Indonésie. Il est capturé et se fait couper la langue. En cette année qui marque le 50e anniversaire de la mission Apollo 11, Yosep Anggi Noen revient sur ce moment marquant et imagine qu'il a été mis en scène en Indonésie.
La fiction de Maura Delpero raconte elle l'histoire de Lu et Fati, deux futures mères adolescentes hébergées par un ordre religieux à Buenos Aires. Sœur Paola y arrive pour prononcer ses vœux. Mais la maternité imminente de ces filles la met dans une situation difficile.
La seule production suisse qui participait au concours international n'a rien gagné: «O Fim do Mundo» (La fin du monde), du réalisateur romand Basil Da Cunha, relate l'histoire d'un gang de jeunes dans le bidonville de Reboleira, à Lisbonne. Le quartier est menacé de démolition.
Film suisse sur la Piazza Grande
«Les années fertiles sont terminées» était l'unique film suisse projeté sur la Piazza Grande. Le premier long-métrage de Natascha Beller a cependant été diffusé à minuit, une heure où les rangées de la Piazza Grande sont en général bien éclaircies. Il raconte de façon amusante le désir obsessif d'avoir un enfant d'une femme trentenaire. Le festival a dénombré 59'500 spectateurs sur la Piazza Grande et 98'000 dans les salles.
Le Moving Ahead Award a été décerné vendredi au film «The Giverny document», de l'artiste américain Ja'Tovia M. Gary. Cette section du festival explore les frontières cinématographiques allant des nouvelles formes narratives aux innovations dans le langage cinématographique.
Enfin, le jury de la semaine de la critique a distingué le film documentaire hongrois «A létezés eufóriája» (L'euphorie de l'être») de Réka Szabó. Le metteur en scène et chorégraphe montre la réalisation d'une danse avec une survivante de l'Holocauste.
Le festival a également rendu homme à Freddy Buache. En mémoire du pionnier de la Cinémathèque suisse, décédé en mai dernier, le festival a projeté la lettre audiovisuelle de Jean-Luc Godard «Lettre à Freddy Buache» de 1982. Pendant près d'un demi-siècle, le Vaudois a dirigé la Cinémathèque suisse avant d'assumer la co-direction du Festival de Locarno de 1967 à 1970.
La Suisse en images
L’inauguration des nouveaux tracés d’escalade du barrage réservoir de Sambuco, près de Fusio, au bout du Val Lavizzara, prend de la hauteur. Quatre tracés d’escalade sportive sont désormais à disposition.
Ce veau n’a pas vraiment envie de participer activement à la traditionnelle foire au bétail de Schwellbrunn.
A Saint-Maurice (canton du Valais), dans le cadre de travaux de construction, des archéologues ont mis au jour un cimetière datant du Moyen Âge central dans lequel jusqu’à 250 personnes ont été enterrées.
Une femme observe de près les masses de glace du glacier d’Aletsch, près de Märjela. Le glacier le plus imposant des Alpes est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO – mais peut-être plus pour longtemps. A la fin du siècle, il ne devrait rester que quelques résidus de glace du glacier de plus de 80 km² en raison du réchauffement de la planète, d’après une simulation récemment effectuée par des scientifiques de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETH Zürich).
Seuls les professionnels sauront probablement si ces bovins tirent leur épingle du jeu à la foire au bétail de Schwytz.
Sur la route cantonale T332 près de Hemishofen, un forain a perdu le contrôle de son train routier. Une installation sanitaire qui faisait partie du convoi a heurté un poteau de signalisation. La structure a été arrachée lors de la collision et s’est effondrée sur la chaussée. Aucun blessé n’est à déplorer.
Demande humoristique: des écriteaux posés devant des tasses sur la place de la gare de Berne montrent ce que souhaite une mendiante canadienne: des nouvelles chaussettes, une Ferrari et de la nourriture.
Sur l’autoroute A7 près de Frauenfeld, une automobiliste de 26 ans est entrée en collision avec une remorque de signalisation. Blessée, elle a dû être transportée à l’hôpital en ambulance. La police cantonale de Thurgovie est à la recherche de témoins.
Vue détaillée du postérieur de Maxi, un éléphant d’Asie du zoo de Zurich. L’animal célèbre ces jours-ci son 50e anniversaire – la date exacte n’est pas connue –, ce qui en fait le plus ancien «employé» du zoo.
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Un homme prend le soleil sur un immense land art de l'artiste franco-suisse Saype dans le parc de la Grange à Genève. Cette peinture biodégradable de 165 mètres de long sur 30 mètres de large, faite de pigments de charbon de bois, de craie, d'eau et de protéines de lait, a été réalisée sur une surface totale de 5'000 mètres carrés. L'installation artistique fait partie du projet «Beyond Walls» et vise à promouvoir les valeurs humaines telles que l'unité, la convivialité et l'ouverture sur le monde.
Un vététiste profite de la vue sur la vallée du Rhin.
Hans Stöckli (à droite), Conseiller aux Etats PS du canton de Berne et président de la Conférence nationale suisse des ligues de la santé (GELIKO), marque les esprits en déposant l’initiative «Oui à la protection des enfants et des jeunes contre la publicité pour le tabac» en compagnie d’autres initiateurs à Berne.
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Mardi, l'eau de la Limmat a viré au vert fluo, après une action de militants écologistes.
Cet automobiliste de 40 ans a tourné trop tôt: il a quitté la route et s’est retrouvé sur la voie de tramway à Bâle. La course du véhicule a été arrêtée au bout d’environ 70 mètres par un bloc de béton, a rapporté la police cantonale de Bâle-Ville. L’automobiliste, dont le taux l’alcoolémie a ensuite été mesuré à 0,78 mg d’alcool par litre d’air expiré, s’est vu retirer son permis de conduire sur place par la police.
A la Gelmerhütte dans la région du Grimsel, la vue sur les étoiles est particulièrement dégagée durant la nuit.
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Sur l’autoroute A2 en direction du nord, un chauffeur de semi-remorque a terminé sa course par-dessus la glissière centrale de sécurité à hauteur de Rothenburg. La police estime que le véhicule a rencontré une défaillance technique. Aucun blessé n’est à déplorer.
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