La petite localité italienne de Cocullo, dans les Abruzzes, célèbre le 1er mai 2019 la tradition ancestrale des «serpari», une procession pour laquelle la statue du saint patron est recouverte de serpents vivants
La petite localité italienne de Cocullo, dans les Abruzzes, célèbre le 1er mai 2019 la tradition ancestrale des «serpari», une procession pour laquelle la statue du saint patron est recouverte de serpents vivants
La petite localité italienne de Cocullo, dans les Abruzzes, célèbre le 1er mai 2019 la tradition ancestrale des «serpari», une procession pour laquelle la statue du saint patron est recouverte de serpents vivants
A Cocullo, dans les Abruzzes, les serpents sont rois le temps d'une procession
La petite localité italienne de Cocullo, dans les Abruzzes, célèbre le 1er mai 2019 la tradition ancestrale des «serpari», une procession pour laquelle la statue du saint patron est recouverte de serpents vivants
La petite localité italienne de Cocullo, dans les Abruzzes, célèbre le 1er mai 2019 la tradition ancestrale des «serpari», une procession pour laquelle la statue du saint patron est recouverte de serpents vivants
La petite localité italienne de Cocullo, dans les Abruzzes, célèbre le 1er mai 2019 la tradition ancestrale des «serpari», une procession pour laquelle la statue du saint patron est recouverte de serpents vivants
La petite localité italienne de Cocullo, perchée dans les montagnes des Abruzzes (centre), a célébré mercredi comme tous les premier mai la tradition ancestrale des «serpari», une procession pour laquelle la statue du saint patron est recouverte de serpents vivants.
Les «serpari» (chasseurs de serpents) dans les semaines précédant la fête partent capturer les reptiles (non venimeux) tout juste sortis de leur léthargie hivernale et les tiennent cachés dans une boîte jusqu'au grand jour.
Cette année, les curieux se sont levés à l'aube, certains venant de loin, pour assister avec les villageois à l'étrange rite, mêlant traditions païennes et foi catholique.
L’excitation a atteint son comble vers midi, quand la statue de Saint Dominique de Foligno, recouverte de couleuvres, a été portée en procession à travers les ruelles du village, se frayant un chemin dans une foule de touristes admiratifs.
Lors de la procession, les cris de frayeur de certains badauds se mêlent aux mélodies de la fanfare, des accordéons et des chants traditionnels.
Selon les récits, Saint Dominique, un moine bénédictin, serait venu à Cocullo au début du XIe siècle pour guérir les habitants des morsures de serpents et de chiens enragés, une légende à l'origine de cette tradition.
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