La première collecte de sapins de Noël réalisée en ville de Fribourg avec des chevaux de trait s'est déroulée avec succès lundi. Le ramassage a concerné les quartiers de l'Auge et de la Neuveville, situés en basse ville.
Le premier retour est «très positif», a expliqué à Keystone-ATS Yves Tercier, responsable des chevaux de trait et contremaître à Fribourg, qui décrit le procédé comme étant dans l'air du temps. La calèche, placée entre le cheval et la remorque, dispose d'une assistance électrique pour «soulager la bête».
En l'état, il n'est pas exclu de voir de l'opération, si elle est reconduite, s'étendre à d'autres domaines. Le ramassage, effectué dans le froid matinal de janvier, malgré quelques rayons de soleil, a mobilisé trois employés de la voirie communale.
A titre d'essai
L'opération, inédite et instituée à titre d'essai pour l'heure par la Ville de Fribourg, a fait l'objet d'une présentation par les autorités communales mardi dernier. Elle fait suite à un postulat du Conseil général, qui demandait d'étudier la possibilité d’utiliser les chevaux de trait au sein des services de la voirie.
L'exécutif communal a décidé d'utiliser ce «moyen de transport insolite» pour le ramassage des sapins de Noël durant le mois de janvier. Des collectes interviendront ainsi encore avec des attelages les lundis 20 et 27 janvier. Chaque lundi, un camion desservira par ailleurs d'autres quartiers.
L'opération de ramassage des sapins de Noël, menée en basse ville de Fribourg, a constitué un succès aux yeux des employés.
L'attelage, avec son cheval, est constitué, outre la remorque de chargement, d'une calèche à assistance électrique, histoire de «soulager la bête».
Le convoi au moment de son retour à la base de la voirie, sous le pont de la Poya à Fribourg.
Sapins de Noël ramassés avec des chevaux
L'opération de ramassage des sapins de Noël, menée en basse ville de Fribourg, a constitué un succès aux yeux des employés.
L'attelage, avec son cheval, est constitué, outre la remorque de chargement, d'une calèche à assistance électrique, histoire de «soulager la bête».
Le convoi au moment de son retour à la base de la voirie, sous le pont de la Poya à Fribourg.
Retour à la page d'accueil