Le 5 mai, un petit groupe de naturistes a pu visiter le musée d'art parisien du Palais de Tokyo.
Lundi, le magazine naturiste «La Vie au Soleil» a qualifié cette visite de «réussite» sur sa page Facebook.
Les tickets pour cet événement hors du commun se sont tous vendus en l'espace de deux jours.
En tout, 161 naturistes ont pu accéder au musée.
L'actuelle saison du Palais de Tokyo s'intitule «Discorde, Fille de la Nuit».
Manifestement, le port de chaussures était autorisé.
Ces amateurs d'art dans le plus simple appareil ont pu accéder au musée deux heures avant les heures d'ouverture habituelles et ont profité d'une visite guidée spéciale.
L'Association des naturistes de Paris a laissé exploser sa joie sur Twitter: «C'est le début d'une nouvelle ère pour le naturisme».
Les naturistes ont ensuite été conviés à un cocktail privé sur le toit du musée, avec vue sur la tour Eiffel.
Cependant, une fois l'événement terminé, il leur a fallu remettre leurs vêtements.
Visite naturiste d'un musée parisien
Le 5 mai, un petit groupe de naturistes a pu visiter le musée d'art parisien du Palais de Tokyo.
Lundi, le magazine naturiste «La Vie au Soleil» a qualifié cette visite de «réussite» sur sa page Facebook.
Les tickets pour cet événement hors du commun se sont tous vendus en l'espace de deux jours.
En tout, 161 naturistes ont pu accéder au musée.
L'actuelle saison du Palais de Tokyo s'intitule «Discorde, Fille de la Nuit».
Manifestement, le port de chaussures était autorisé.
Ces amateurs d'art dans le plus simple appareil ont pu accéder au musée deux heures avant les heures d'ouverture habituelles et ont profité d'une visite guidée spéciale.
L'Association des naturistes de Paris a laissé exploser sa joie sur Twitter: «C'est le début d'une nouvelle ère pour le naturisme».
Les naturistes ont ensuite été conviés à un cocktail privé sur le toit du musée, avec vue sur la tour Eiffel.
Cependant, une fois l'événement terminé, il leur a fallu remettre leurs vêtements.
Naturisme au musée: 161 personnes entièrement nues ont visité, le 5 mai, le musée d'art contemporain parisien du Palais de Tokyo. Lundi, le magazine naturiste «La Vie au Soleil» a qualifié cette visite de «réussite» sur sa page Facebook.
L'Association des naturistes de Paris a laissé exploser sa joie sur Twitter: «C'est le début d'une nouvelle ère pour le naturisme». Le 5 mai, des amateurs d'art dans le plus simple appareil ont pu accéder au musée deux heures avant les heures d'ouverture habituelles et ont profité d'une visite guidée spéciale. Les naturistes ont ensuite été conviés à un cocktail privé sur le toit du musée, avec vue sur la tour Eiffel.
L'actuelle saison du Palais de Tokyo s'intitule «Discorde, Fille de la Nuit». Sur place, on peut notamment admirer des installations de l'artiste franco-algérien Neïl Beloufa.
Les tickets pour cet événement hors du commun se sont tous vendus en l'espace de deux jours. Dans la capitale française, la scène naturiste est particulièrement florissante: l'année dernière, un coin réservé aux naturistes a même été aménagé dans un parc situé à l'est de la ville. Ces adeptes de la liberté corporelle disposent même déjà de leur propre restaurant.
«Sony World Photography Awards»-Les meilleures photos
«Sony World Photography Awards»-Les meilleures photos
Andrius Burba, Lituanie: «A Horse from Underneath». Pour arriver à un tel résultat, le photographe n’a pas ménagé ses efforts. Il a creusé un trou dans lequel il pouvait s’asseoir et a assemblé trois panneaux en verre particulièrement solides de façon à obtenir une plaque de verre de 3 cm d’épaisseur, capable de supporter un cheval d’environ 800 kg. Catégorie: Open, Enhanced.
Klaus Lenzen, Allemagne: «Every Breath You Take». Des triathlètes dans le port des médias à Düsseldorf. Catégorie: Open, Enhanced.
Jassen Todorov, Etats-Unis: «The Labyrinth». Vue parfaite avec un éclairage parfait sur la ville espagnole de Cadix. La photo a été prise depuis un avion. Catégorie: Open, Architecture.
Omer Faidi, Turquie: «Lunch Break». Alors que Faidi était sur le balcon de son bureau pendant sa pause de midi, son regard est tombé sur ces ouvriers dans un état d’épuisement total. Catégorie: Open, Street Photography.
Richard Frishman, Etats-Unis: «Sunday Buffet at Jerry Mikeska's BBQ». A la recherche d’un endroit sympa pour manger à Columbus, au Texas, le photographe s’est retrouvé dans ce «charmant» restaurant. Catégorie Open, Still Life.
John White, Royaume-Uni: «Chut!». A New York, une maîtresse essaie d’apprendre les bonnes manières à son chien. Catégorie: Open, Street Photography.
Manish Mamtani, Inde: «Patterns of Glacial River». Alors qu’il traversait un pont en Islande, le photographe a découvert un motif intéressant à la surface de l’eau – il s’est arrêté et a envoyé son drone dans les airs pour prendre cette photo. Catégorie: Open, Travel.
Olena Leliuk, Ukraine: «Easiness». Ici, profitant d’un bel éclairage, la photographe s’est mise au travail ... Catégorie: Open, Motion.
Petar Sabol, Croatie: «Beeaters Mating.jpg». Concentration maximale et application: des guêpiers s’accouplent en Croatie. Catégorie: Open, Wildlife.
James Monnington, Royaume-Uni: «Cenote II». Plongée dans un cenote dans le Yucatan, au Mexique. Catégorie: Open, Landscape and Nature.
Paranyu Pithayarungsarit, Thaïlande: «The Great wall of Namib». Une dune de sable gigantesque dans le désert africain du Namib, considéré comme le plus vieux désert au monde. Catégorie: Open, Landscape and Nature.
Manuel Armenis, Allemagne: «Old Friends». Malgré son âge et sa fragilité, la vieille dame la plus sympathique du quartier, flanquée de son chien, sème la bonne humeur autour d’elle. Catégorie: Open, Street Photography.
Andreas Pohl, Allemagne: «The Man and the Mysterious Tower». Cet étrange bâtiment n’est pas situé dans la toundra sibérienne, mais dans le quartier de Berlin-Adlershof. Il s’agit d’une soufflerie verticale construite entre 1934 et 1936. Catégorie: Open, Architecture.
Wenjie Qiao, Etats-Unis: «Solar Eclipse Sequence». L’éclipse solaire du 21 août 2017, vue depuis les Painted Hills dans l’Oregon. Catégorie: Open, Enhanced.
Tom Way, Royaume-Uni: «Thirst». Peau épaisse contre croûte épaisse: dans le parc national d’Amboseli, au Kenya, un éléphant piétine la terre asséchée. Catégorie: Open, Wildlife.
Mikkel Beiter, Danemark: «Shapes of Lofoten». Le mont Olstinden sur les îles Lofoten et la petite maison au premier plan ont comme des airs de famille. Catégorie: Open, Travel.
Zhaoting Wu, Chine: «East of the East(Ⅰ)». Tokyo après le passage du typhon. Catégorie: Open, Architecture.
Yonathan Kellerman, Canada: «Silver, Bronze and Despair». Il ne faut pas se fier aux apparences. Lors des Championnats du monde d’athlétisme handisport, la gagnante (au milieu) semble particulièrement triste à cause d’une blessure. La médaillée d’argent (à gauche) essaie de l’aider. Seule la médaillée de bronze (à droite) est vraiment heureuse. Catégorie: Open, Motion.
Qingshan Zhao, Chine: «装空调». Remplacement d’un climatiseur à Shijiazhuang, en Chine: un travail éprouvant réservé à ceux qui ont les nerfs solides. Open, Architecture.
Michael Haisermann, Allemagne: «Lava explosion». A Hawaï, la lave se déverse dans l’eau en sifflant. Le photographe Haisermann a pris la photo depuis un bateau en aluminium. Catégorie: Open, Landscape and Nature.
Jonas Börnicke, Allemagne: «Slow Sunset». Le coucher de soleil est encore plus beau sur la plage australienne de Cable Beach lorsque des chameaux s’invitent sur la photo. Catégorie: Open, Travel.
Milan Radisics, Hongrie: «People swirling on ice court». L‘activité bat son plein sur la plus ancienne patinoire de Budapest dans le parc Városliget. Catégorie: Open, Motion.
Valentina Morrone, Italie: «Black and White». Nature morte version humaine dans le cadre d’une séance de body-painting à Aathal, dans le canton de Zurich. Catégorie: Open, Portraiture.
Marco Gaiotti, Italie: «Sumatran orangutan». Sur l’île de Sumatra, un orang-outan s’est donné en spectacle pour le plus grand plaisir du photographe: habituellement timide, l’animal est descendu de l’arbre, s’est assis pour prendre la pause et s’est laissé photographier. Catégorie: Open, Enhanced.
Sphiwo Hlatshwayo, Afrique du Sud: «Redivine». Le photographe a rencontré son modèle lors d’un événement et il était tellement emballé par ses taches de rousseur qu’il a fait venir la jeune femme dans son studio pour donner un meilleur éclairage à la photo. Catégorie: Open, Portraiture.
Yen Sin Wong, Malaisie: «Flying Fishing Nets.jpg». Un pêcheur chinois travaille au coucher du soleil. Catégorie: Open, Travel.
Alex Bitiutskih, Russie: «Forest». Pour cette photo, le photographe a laissé libre cours à sa créativité sur le thème de l’espace. Catégorie: Open, Enhanced.
Nikolay Gorbunov, Russie: «On the Glacier». Des touristes sur le glacier Perito Moreno en Argentine. Catégorie: Open, Landscape and Nature.
Livia Lazar, Roumanie: «Stormy Night». A Porthcawl, en Grande-Bretagne, la tempête «Ophelia» fait jaillir l’eau dans les airs. Catégorie: Open, Landscape and Nature.
Thanasorn Janekankit, Thaïlande: «004.jpg». Dans le sud de la Thaïlande, une touriste renvoie son chien sur la plage. Catégorie: Open, Street Photography.
Première ascension de l’Everest sans oxygène artificiel: c’était il y a 40 ans
Première ascension de l’Everest sans oxygène artificiel: c’était il y a 40 ans
Il y a 40 ans, Reinhold Messner partait à l’assaut de la plus haute montagne au monde sans oxygène.
Les médecins ont pris Reinhold Messner et Peter Habeler pour des fous, parce qu’ils voulaient escalader l'Everest sans oxygène.
«Mes détracteurs disaient que mon cerveau allait en pâtir», s’amuse Reinhold Messner, aujourd’hui âgé de 73 ans, faisant allusion aux mises en garde de l’époque.
Auparavant, Messner et Habeler avaient vaincu en un temps record la face nord de l’Eiger.
Le 8 mai 1978 vers 13h00, Messner et Habeler atteignaient le sommet de l’Everest – avec une seule idée en tête, redescendre.
Le 22 mai 1978, Regine Habeler et Uschi Messner sont venues accueillir leurs époux respectifs à Munich.
Aujourd’hui, l’Everest n’attire plus vraiment Reinhold Messner: «Bien sûr, je pourrais encore escalader l’Everest en empruntant la voie préparée à cet effet avec de l’oxygène et des médecins qui s’occupent de moi. Mais ce serait pénible».
«Les gens sont tous à la recherche du point de fuite de leurs vanités personnelles, et l’Everest est la meilleure façon de le trouver. Je ne fais pas exception à la règle», affirme Reinhold Messner.
Retour à la page d'accueil