En décembre 2016, Donald Trump avait attaqué le fabricant via Twitter: «Boeing construit un 747 Air Force One flambant neuf pour les futurs présidents, mais les coûts explosent, plus de quatre milliards de dollars. Annulez la commande!» (Archives)
En réalité, le ministère américain de la Défense avait l’intention de confier la construction de deux nouveaux appareils Air Force One au concurrent d’Airbus. Les nouveaux jumbo-jets de type 747-8 devaient prendre la relève des 747 vieillissants (sur la photo). C’est à leur bord que les présidents américains parcourent le monde depuis le début des années 90.
La commande des deux Boeing de type 747-8 (sur la photo) avait donc été mise en suspens. Chez Boeing, on ne savait pas comment Donald Trump en était arrivé à ce calcul.
Le président américain Barack Obama avait encore deux Boeing 747-200B modifiés à sa disposition. Parcourez les pages suivantes pour découvrir d‘anciens appareils Air Force One.
Dans les années 1940, alors que le transport de passagers par avion prenait son envol, le président américain Franklin D. Roosevelt s’était lui aussi doté d'un moyen de transport adapté. En 1943, il avait d’abord utilisé un hydravion Boeing 314 (désignation militaire: C-98) pour se rendre à la conférence de Casablanca. Du fait de la menace que représentaient les sous-marins allemands, les bateaux étaient loin d’être le moyen de transport le plus sûr durant la Deuxième Guerre mondiale.
Dès 1944, le président avait commencé à se déplacer à bord d‘un C-87A Liberator Express, baptisé «Guess where Two». Ces appareils étaient des bombardiers B-24 modifiés. Cependant, alors qu‘un autre C-87A s’était écrasé pour des raisons inexpliquées, ce type d’appareil avait rapidement été abandonné, et le «Guess where Two» s’était retrouvé cloué au sol.
En 1944, c’est un C-54 Skymaster, baptisé «Sacred Cow» (vache sacrée), qui avait été modifié pour servir d’avion présidentiel. Cet appareil était notamment équipé d’une chambre, de systèmes de télécommunications et d’un élévateur pour le fauteuil roulant de Roosevelt.
Après le décès de Roosevelt, au printemps 1945, et la nomination de Harry S. Truman à la présidence des États-Unis, c'est un C-118 Liftmaster qui avait été modifié pour les voyages présidentiels. Ce dernier avait été baptisé «Independence», du nom de la ville qui avait vu naître Truman, Independence, dans le Missouri. C’est le premier avion présidentiel à avoir également été remanié de l’extérieur: un pygargue à tête blanche stylisé, l’animal héraldique des États-Unis, avait été peint sur son fuselage. En 1960, John F. Kennedy avait lui aussi opté pour un Liftmaster, mais dans une version plus actuelle (VC-118A), afin de disposer d’un appareil mieux adapté aux aérodromes de petite taille, sur lesquels il lui était impossible d’atterrir avec son VC-137.
Sous Dwight D. Eisenhower, l’US Air Force avait fait l’acquisition de deux avions supplémentaires pour le transport présidentiel. Il s’agissait de deux machines de type Lockheed Constellation. Ces derniers avaient été baptisés «Columbine II» et «Columbine III», du nom de la fleur officielle de l’État du Colorado, la colombine.
C’est le 9 mai 1959 que les trois premiers Boeing 707 de type VC-137A ont été mis en service. Ces derniers étaient équipés de turboréacteurs J57 et étaient à l’origine basés au sein de la 1254th Air Transport Wing. Par la suite, ces appareils furent équipés de nouveaux turbofans plus performants, de type TF33, convertis en avions de type VC-137B et transférés au sein de la 89th Airlift Wing. Tous ces avions étaient destinés au transport de personnalités en général et n’étaient pas uniquement réservés au président.
C’est en 1962 qu’a été construit le premier Boeing 707-320B de type VC-137C, spécialement transformé pour les besoins du président, suivi en 1972 d’un autre VC-137C pour le remplacer. Les deux appareils n’étaient eux non plus pas exclusivement destinés au transport du président, mais servaient également aux déplacements de hauts membres du cabinet, de sénateurs et de membres du Congrès. Le 22 novembre 1963, le président Kennedy avait utilisé le VC-137C n° 26000 pour se rendre à Dallas, où il a été victime d’un attentat et tué par deux balles.
Tous les présidents ont transformé leurs appareils en fonction de leurs goûts. Ici, le VC-137C avec sa nouvelle peinture.
Depuis les années 80, le président des États-Unis utilise un Boeing 747-200B, car il est très spacieux et possède une grande autonomie de vol (cliché pris en 2004, durant le mandat de George W. Bush). Le premier appareil utilisé dans ce but a effectué son premier vol d’essai le 16 mai 1987. Il a ensuite été spécialement réaménagé: l’intérieur comprend des quartiers privés pour la famille du président, des aires de détente et de travail pour les autres membres du gouvernement, le personnel de sécurité, le personnel du président et les représentants de presse; à cela viennent s’ajouter deux cuisines et les équipements nécessaires en cas d’urgences médicales, table d’opération incluse. Outre les 23 membres d’équipage, l’avion peut accueillir jusqu’à 70 passagers.
Bien sûr, il y a déjà eu de petits incidents, comme le 28 janvier 1998, à Savoy, Illinois: ce jour-là, l‘«Air Force One», qui transportait le président Bill Clinton, avait quitté la piste et s’était retrouvé avec la roue avant droite enfoncée dans la boue.
Les appareils disposent des installations de communication les plus modernes, des installations qui peuvent être utilisées depuis le pont supérieur. Le VC-25A est une véritable base opérationnelle militaire qui donne au président un accès complet à l’ensemble des forces armées. Ainsi, le conseiller militaire du président est toujours dans les parages. C’est lui qui transporte la mallette nucléaire (appelée «football» dans le langage populaire) qui permet au président d’ordonner le recours aux armes nucléaires.
L’appareil du président est escorté par toute une flotte d’avions ravitailleurs et d’avions-cargos chargés de transporter les matériaux et véhicules nécessaires ainsi que des collaborateurs du président. Habituellement, l'«Air Force One» n’est pas accompagné d’avions de chasse, même si cela est déjà arrivé, comme suite aux attaques terroristes du 11 septembre 2001. Ce cliché non daté montre un des rares vols de l’appareil au-dessus de New York.
La possibilité de ravitaillement en vol augmente son autonomie. En tout, ses réservoirs contiennent 53'611 gallons américains (202'650 litres) de carburant. On suppose cependant qu’outre le réservoir standard du 747, l'«Air Force One» dispose d’au moins deux autres réservoirs, ce qui permettrait d’augmenter considérablement son autonomie de vol en cas d’urgence. Ainsi, le président pourrait rejoindre le territoire américain depuis n’importe quel point de la planète sans qu’il soit nécessaire de procéder à un ravitaillement intermédiaire.
Afin de garantir la protection du président, l’actuel «Air Force One» dispose d’un équipement militaire dont les détails techniques sont strictement confidentiels. Tout ce qu’on sait, c’est qu’il est équipé de cinq AN/ALQ-204 Matador Infrared Countermeasures (IRCM – un derrière chacun des quatre réacteurs et un centré sur le plan horizontal). Il s’agit d’un système qui émet des rayons infrarouges pulsés pour contrer les missiles surface-air ou air-air contrôlés par infrarouges (recherche de chaleur).
Lorsque le président part en voyage, une énorme mécanique se met en mouvement au moins trois jours à l'avance, afin que tout se passe conformément aux protocoles américains: les berlines et véhicules de soutien blindés des services secrets sont chargés dans les avions-cargos et acheminés vers le lieu de destination à l’avance. L‘«Air Force One» est chargé, le steward personnel du président monte à bord et l’appareil est nettoyé de fond en comble.
Le 9 janvier 2009, l’US Air Force a officiellement commencé à chercher le successeur du VC-25A. Parmi les modèles envisagés, le Boeing 747-8I et l'Airbus A380. Le 28 janvier 2009, EADS North America a cependant annoncé qu’Airbus ne participerait pas à la procédure de sélection. C’est la crainte d’un possible transfert de technologie (comprendre: espionnage industriel) vers d’autres constructeurs aéronautiques américains comme Boeing qui serait responsable du retrait d‘Airbus. Pour des raisons de sécurité, les autorités américaines auraient voulu disposer de tous les détails techniques de l'Airbus A380.
L'avion des présidents: l'«Air Force One» au fil du temps
En décembre 2016, Donald Trump avait attaqué le fabricant via Twitter: «Boeing construit un 747 Air Force One flambant neuf pour les futurs présidents, mais les coûts explosent, plus de quatre milliards de dollars. Annulez la commande!» (Archives)
En réalité, le ministère américain de la Défense avait l’intention de confier la construction de deux nouveaux appareils Air Force One au concurrent d’Airbus. Les nouveaux jumbo-jets de type 747-8 devaient prendre la relève des 747 vieillissants (sur la photo). C’est à leur bord que les présidents américains parcourent le monde depuis le début des années 90.
La commande des deux Boeing de type 747-8 (sur la photo) avait donc été mise en suspens. Chez Boeing, on ne savait pas comment Donald Trump en était arrivé à ce calcul.
Le président américain Barack Obama avait encore deux Boeing 747-200B modifiés à sa disposition. Parcourez les pages suivantes pour découvrir d‘anciens appareils Air Force One.
Dans les années 1940, alors que le transport de passagers par avion prenait son envol, le président américain Franklin D. Roosevelt s’était lui aussi doté d'un moyen de transport adapté. En 1943, il avait d’abord utilisé un hydravion Boeing 314 (désignation militaire: C-98) pour se rendre à la conférence de Casablanca. Du fait de la menace que représentaient les sous-marins allemands, les bateaux étaient loin d’être le moyen de transport le plus sûr durant la Deuxième Guerre mondiale.
Dès 1944, le président avait commencé à se déplacer à bord d‘un C-87A Liberator Express, baptisé «Guess where Two». Ces appareils étaient des bombardiers B-24 modifiés. Cependant, alors qu‘un autre C-87A s’était écrasé pour des raisons inexpliquées, ce type d’appareil avait rapidement été abandonné, et le «Guess where Two» s’était retrouvé cloué au sol.
En 1944, c’est un C-54 Skymaster, baptisé «Sacred Cow» (vache sacrée), qui avait été modifié pour servir d’avion présidentiel. Cet appareil était notamment équipé d’une chambre, de systèmes de télécommunications et d’un élévateur pour le fauteuil roulant de Roosevelt.
Après le décès de Roosevelt, au printemps 1945, et la nomination de Harry S. Truman à la présidence des États-Unis, c'est un C-118 Liftmaster qui avait été modifié pour les voyages présidentiels. Ce dernier avait été baptisé «Independence», du nom de la ville qui avait vu naître Truman, Independence, dans le Missouri. C’est le premier avion présidentiel à avoir également été remanié de l’extérieur: un pygargue à tête blanche stylisé, l’animal héraldique des États-Unis, avait été peint sur son fuselage. En 1960, John F. Kennedy avait lui aussi opté pour un Liftmaster, mais dans une version plus actuelle (VC-118A), afin de disposer d’un appareil mieux adapté aux aérodromes de petite taille, sur lesquels il lui était impossible d’atterrir avec son VC-137.
Sous Dwight D. Eisenhower, l’US Air Force avait fait l’acquisition de deux avions supplémentaires pour le transport présidentiel. Il s’agissait de deux machines de type Lockheed Constellation. Ces derniers avaient été baptisés «Columbine II» et «Columbine III», du nom de la fleur officielle de l’État du Colorado, la colombine.
C’est le 9 mai 1959 que les trois premiers Boeing 707 de type VC-137A ont été mis en service. Ces derniers étaient équipés de turboréacteurs J57 et étaient à l’origine basés au sein de la 1254th Air Transport Wing. Par la suite, ces appareils furent équipés de nouveaux turbofans plus performants, de type TF33, convertis en avions de type VC-137B et transférés au sein de la 89th Airlift Wing. Tous ces avions étaient destinés au transport de personnalités en général et n’étaient pas uniquement réservés au président.
C’est en 1962 qu’a été construit le premier Boeing 707-320B de type VC-137C, spécialement transformé pour les besoins du président, suivi en 1972 d’un autre VC-137C pour le remplacer. Les deux appareils n’étaient eux non plus pas exclusivement destinés au transport du président, mais servaient également aux déplacements de hauts membres du cabinet, de sénateurs et de membres du Congrès. Le 22 novembre 1963, le président Kennedy avait utilisé le VC-137C n° 26000 pour se rendre à Dallas, où il a été victime d’un attentat et tué par deux balles.
Tous les présidents ont transformé leurs appareils en fonction de leurs goûts. Ici, le VC-137C avec sa nouvelle peinture.
Depuis les années 80, le président des États-Unis utilise un Boeing 747-200B, car il est très spacieux et possède une grande autonomie de vol (cliché pris en 2004, durant le mandat de George W. Bush). Le premier appareil utilisé dans ce but a effectué son premier vol d’essai le 16 mai 1987. Il a ensuite été spécialement réaménagé: l’intérieur comprend des quartiers privés pour la famille du président, des aires de détente et de travail pour les autres membres du gouvernement, le personnel de sécurité, le personnel du président et les représentants de presse; à cela viennent s’ajouter deux cuisines et les équipements nécessaires en cas d’urgences médicales, table d’opération incluse. Outre les 23 membres d’équipage, l’avion peut accueillir jusqu’à 70 passagers.
Bien sûr, il y a déjà eu de petits incidents, comme le 28 janvier 1998, à Savoy, Illinois: ce jour-là, l‘«Air Force One», qui transportait le président Bill Clinton, avait quitté la piste et s’était retrouvé avec la roue avant droite enfoncée dans la boue.
Les appareils disposent des installations de communication les plus modernes, des installations qui peuvent être utilisées depuis le pont supérieur. Le VC-25A est une véritable base opérationnelle militaire qui donne au président un accès complet à l’ensemble des forces armées. Ainsi, le conseiller militaire du président est toujours dans les parages. C’est lui qui transporte la mallette nucléaire (appelée «football» dans le langage populaire) qui permet au président d’ordonner le recours aux armes nucléaires.
L’appareil du président est escorté par toute une flotte d’avions ravitailleurs et d’avions-cargos chargés de transporter les matériaux et véhicules nécessaires ainsi que des collaborateurs du président. Habituellement, l'«Air Force One» n’est pas accompagné d’avions de chasse, même si cela est déjà arrivé, comme suite aux attaques terroristes du 11 septembre 2001. Ce cliché non daté montre un des rares vols de l’appareil au-dessus de New York.
La possibilité de ravitaillement en vol augmente son autonomie. En tout, ses réservoirs contiennent 53'611 gallons américains (202'650 litres) de carburant. On suppose cependant qu’outre le réservoir standard du 747, l'«Air Force One» dispose d’au moins deux autres réservoirs, ce qui permettrait d’augmenter considérablement son autonomie de vol en cas d’urgence. Ainsi, le président pourrait rejoindre le territoire américain depuis n’importe quel point de la planète sans qu’il soit nécessaire de procéder à un ravitaillement intermédiaire.
Afin de garantir la protection du président, l’actuel «Air Force One» dispose d’un équipement militaire dont les détails techniques sont strictement confidentiels. Tout ce qu’on sait, c’est qu’il est équipé de cinq AN/ALQ-204 Matador Infrared Countermeasures (IRCM – un derrière chacun des quatre réacteurs et un centré sur le plan horizontal). Il s’agit d’un système qui émet des rayons infrarouges pulsés pour contrer les missiles surface-air ou air-air contrôlés par infrarouges (recherche de chaleur).
Lorsque le président part en voyage, une énorme mécanique se met en mouvement au moins trois jours à l'avance, afin que tout se passe conformément aux protocoles américains: les berlines et véhicules de soutien blindés des services secrets sont chargés dans les avions-cargos et acheminés vers le lieu de destination à l’avance. L‘«Air Force One» est chargé, le steward personnel du président monte à bord et l’appareil est nettoyé de fond en comble.
Le 9 janvier 2009, l’US Air Force a officiellement commencé à chercher le successeur du VC-25A. Parmi les modèles envisagés, le Boeing 747-8I et l'Airbus A380. Le 28 janvier 2009, EADS North America a cependant annoncé qu’Airbus ne participerait pas à la procédure de sélection. C’est la crainte d’un possible transfert de technologie (comprendre: espionnage industriel) vers d’autres constructeurs aéronautiques américains comme Boeing qui serait responsable du retrait d‘Airbus. Pour des raisons de sécurité, les autorités américaines auraient voulu disposer de tous les détails techniques de l'Airbus A380.
Le constructeur aéronautique américain Boeing a annoncé mardi la finalisation du contrat pour la construction des avions présidentiels (Air Force One) de nouvelle génération.
"Boeing est fier de fabriquer le Air Force One de nouvelle génération, mettant à disposition des présidents américains une Maison Blanche volante à un prix concurrentiel pour les contribuables", s'est félicité l'avionneur dans un tweet.
"Le président Trump a négocié un bon accord au nom du peuple américain", a-t-il ajouté sans préciser le montant de l'opération.
Le prix initial de ces deux avions avait été vertement critiqué par Donald Trump à son arrivée à la Maison Blanche et il avait exhorté Boeing, en situation de monopole sur ce contrat, à revoir sa copie.
Deux avions
Après des mois de négociations entre le Pentagone et Boeing, les deux parties avaient finalement annoncé mi-décembre avoir trouvé un accord portant sur une commande de deux Boeing 747-8.
Une source proche du dossier avait indiqué à l'AFP que Boeing avait proposé à l'Armée de l'Air de lui vendre deux 747-8 initialement destinés à la compagnie aérienne russe Transaero, qui a fait faillite depuis, afin de rendre leur prix plus abordable.
Dans sa version civile, ce long-courrier est vendu quelque 390 millions de dollars (366 millions de francs) au prix catalogue mais ce prix reflète rarement la réalité, en raison de rabais consentis souvent très substantiels. A l'inverse, les technologies de défense ajoutées dans sa version militaire pour la Maison Blanche peuvent faire grimper le prix.
L'histoire de l'Air Force One en images
Quelle est l'histoire du célèbre Air Force One? Quels sont les différents types d'avions que les différents présidents des Etats-Unis ont utilisés pour se déplacer? Pour le savoir ils vous suffit de feuilleter la galerie d'images ci-dessous.
L'avion des présidents: l'«Air Force One» au fil du temps
En décembre 2016, Donald Trump avait attaqué le fabricant via Twitter: «Boeing construit un 747 Air Force One flambant neuf pour les futurs présidents, mais les coûts explosent, plus de quatre milliards de dollars. Annulez la commande!» (Archives)
En réalité, le ministère américain de la Défense avait l’intention de confier la construction de deux nouveaux appareils Air Force One au concurrent d’Airbus. Les nouveaux jumbo-jets de type 747-8 devaient prendre la relève des 747 vieillissants (sur la photo). C’est à leur bord que les présidents américains parcourent le monde depuis le début des années 90.
La commande des deux Boeing de type 747-8 (sur la photo) avait donc été mise en suspens. Chez Boeing, on ne savait pas comment Donald Trump en était arrivé à ce calcul.
Le président américain Barack Obama avait encore deux Boeing 747-200B modifiés à sa disposition. Parcourez les pages suivantes pour découvrir d‘anciens appareils Air Force One.
Dans les années 1940, alors que le transport de passagers par avion prenait son envol, le président américain Franklin D. Roosevelt s’était lui aussi doté d'un moyen de transport adapté. En 1943, il avait d’abord utilisé un hydravion Boeing 314 (désignation militaire: C-98) pour se rendre à la conférence de Casablanca. Du fait de la menace que représentaient les sous-marins allemands, les bateaux étaient loin d’être le moyen de transport le plus sûr durant la Deuxième Guerre mondiale.
Dès 1944, le président avait commencé à se déplacer à bord d‘un C-87A Liberator Express, baptisé «Guess where Two». Ces appareils étaient des bombardiers B-24 modifiés. Cependant, alors qu‘un autre C-87A s’était écrasé pour des raisons inexpliquées, ce type d’appareil avait rapidement été abandonné, et le «Guess where Two» s’était retrouvé cloué au sol.
En 1944, c’est un C-54 Skymaster, baptisé «Sacred Cow» (vache sacrée), qui avait été modifié pour servir d’avion présidentiel. Cet appareil était notamment équipé d’une chambre, de systèmes de télécommunications et d’un élévateur pour le fauteuil roulant de Roosevelt.
Après le décès de Roosevelt, au printemps 1945, et la nomination de Harry S. Truman à la présidence des États-Unis, c'est un C-118 Liftmaster qui avait été modifié pour les voyages présidentiels. Ce dernier avait été baptisé «Independence», du nom de la ville qui avait vu naître Truman, Independence, dans le Missouri. C’est le premier avion présidentiel à avoir également été remanié de l’extérieur: un pygargue à tête blanche stylisé, l’animal héraldique des États-Unis, avait été peint sur son fuselage. En 1960, John F. Kennedy avait lui aussi opté pour un Liftmaster, mais dans une version plus actuelle (VC-118A), afin de disposer d’un appareil mieux adapté aux aérodromes de petite taille, sur lesquels il lui était impossible d’atterrir avec son VC-137.
Sous Dwight D. Eisenhower, l’US Air Force avait fait l’acquisition de deux avions supplémentaires pour le transport présidentiel. Il s’agissait de deux machines de type Lockheed Constellation. Ces derniers avaient été baptisés «Columbine II» et «Columbine III», du nom de la fleur officielle de l’État du Colorado, la colombine.
C’est le 9 mai 1959 que les trois premiers Boeing 707 de type VC-137A ont été mis en service. Ces derniers étaient équipés de turboréacteurs J57 et étaient à l’origine basés au sein de la 1254th Air Transport Wing. Par la suite, ces appareils furent équipés de nouveaux turbofans plus performants, de type TF33, convertis en avions de type VC-137B et transférés au sein de la 89th Airlift Wing. Tous ces avions étaient destinés au transport de personnalités en général et n’étaient pas uniquement réservés au président.
C’est en 1962 qu’a été construit le premier Boeing 707-320B de type VC-137C, spécialement transformé pour les besoins du président, suivi en 1972 d’un autre VC-137C pour le remplacer. Les deux appareils n’étaient eux non plus pas exclusivement destinés au transport du président, mais servaient également aux déplacements de hauts membres du cabinet, de sénateurs et de membres du Congrès. Le 22 novembre 1963, le président Kennedy avait utilisé le VC-137C n° 26000 pour se rendre à Dallas, où il a été victime d’un attentat et tué par deux balles.
Tous les présidents ont transformé leurs appareils en fonction de leurs goûts. Ici, le VC-137C avec sa nouvelle peinture.
Depuis les années 80, le président des États-Unis utilise un Boeing 747-200B, car il est très spacieux et possède une grande autonomie de vol (cliché pris en 2004, durant le mandat de George W. Bush). Le premier appareil utilisé dans ce but a effectué son premier vol d’essai le 16 mai 1987. Il a ensuite été spécialement réaménagé: l’intérieur comprend des quartiers privés pour la famille du président, des aires de détente et de travail pour les autres membres du gouvernement, le personnel de sécurité, le personnel du président et les représentants de presse; à cela viennent s’ajouter deux cuisines et les équipements nécessaires en cas d’urgences médicales, table d’opération incluse. Outre les 23 membres d’équipage, l’avion peut accueillir jusqu’à 70 passagers.
Bien sûr, il y a déjà eu de petits incidents, comme le 28 janvier 1998, à Savoy, Illinois: ce jour-là, l‘«Air Force One», qui transportait le président Bill Clinton, avait quitté la piste et s’était retrouvé avec la roue avant droite enfoncée dans la boue.
Les appareils disposent des installations de communication les plus modernes, des installations qui peuvent être utilisées depuis le pont supérieur. Le VC-25A est une véritable base opérationnelle militaire qui donne au président un accès complet à l’ensemble des forces armées. Ainsi, le conseiller militaire du président est toujours dans les parages. C’est lui qui transporte la mallette nucléaire (appelée «football» dans le langage populaire) qui permet au président d’ordonner le recours aux armes nucléaires.
L’appareil du président est escorté par toute une flotte d’avions ravitailleurs et d’avions-cargos chargés de transporter les matériaux et véhicules nécessaires ainsi que des collaborateurs du président. Habituellement, l'«Air Force One» n’est pas accompagné d’avions de chasse, même si cela est déjà arrivé, comme suite aux attaques terroristes du 11 septembre 2001. Ce cliché non daté montre un des rares vols de l’appareil au-dessus de New York.
La possibilité de ravitaillement en vol augmente son autonomie. En tout, ses réservoirs contiennent 53'611 gallons américains (202'650 litres) de carburant. On suppose cependant qu’outre le réservoir standard du 747, l'«Air Force One» dispose d’au moins deux autres réservoirs, ce qui permettrait d’augmenter considérablement son autonomie de vol en cas d’urgence. Ainsi, le président pourrait rejoindre le territoire américain depuis n’importe quel point de la planète sans qu’il soit nécessaire de procéder à un ravitaillement intermédiaire.
Afin de garantir la protection du président, l’actuel «Air Force One» dispose d’un équipement militaire dont les détails techniques sont strictement confidentiels. Tout ce qu’on sait, c’est qu’il est équipé de cinq AN/ALQ-204 Matador Infrared Countermeasures (IRCM – un derrière chacun des quatre réacteurs et un centré sur le plan horizontal). Il s’agit d’un système qui émet des rayons infrarouges pulsés pour contrer les missiles surface-air ou air-air contrôlés par infrarouges (recherche de chaleur).
Lorsque le président part en voyage, une énorme mécanique se met en mouvement au moins trois jours à l'avance, afin que tout se passe conformément aux protocoles américains: les berlines et véhicules de soutien blindés des services secrets sont chargés dans les avions-cargos et acheminés vers le lieu de destination à l’avance. L‘«Air Force One» est chargé, le steward personnel du président monte à bord et l’appareil est nettoyé de fond en comble.
Le 9 janvier 2009, l’US Air Force a officiellement commencé à chercher le successeur du VC-25A. Parmi les modèles envisagés, le Boeing 747-8I et l'Airbus A380. Le 28 janvier 2009, EADS North America a cependant annoncé qu’Airbus ne participerait pas à la procédure de sélection. C’est la crainte d’un possible transfert de technologie (comprendre: espionnage industriel) vers d’autres constructeurs aéronautiques américains comme Boeing qui serait responsable du retrait d‘Airbus. Pour des raisons de sécurité, les autorités américaines auraient voulu disposer de tous les détails techniques de l'Airbus A380.
Des Yéménites aux visages peints assistent à la célébration du Mawlid, qui marque l'anniversaire du prophète Mahomet des musulmans, à Sanaa, au Yémen, le 18 octobre 2021.
Le photographe Gary Buchan a capturé le moment où une loutre a grimpé sur une échelle à Lerwick, dans les îles Shetland, en Écosse.
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Les spectateurs suivent le spectacle lumineux «Rendez vous Bundesplatz», dans lequel des images sont projetées sur la façade du Palais fédéral.
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La militante suédoise pour le climat Greta Thunberg de l'organisation "Fridays for Future" se prépare à une manifestation devant le Parlement suédois Riksdagen à Stockholm, le vendredi 15 octobre.
Une jeune dévote est assise sur une chaise en équilibre avec des lampes à huile allumées dans le cadre de rituels pour célébrer le dixième et dernier jour du festival hindou Dashain à Bhaktapur, au Népal, le vendredi 10 octobre.
Les membres de l'équipe de secours aident les personnes touchées par les inondations après le passage de l'ouragan Pamela, dans la municipalité de Rosamorada, dans l'État de Nayarit, au Mexique, le 14 octobre 2021.
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Un coursier fait demi-tour près d'une avenue inondée lors de fortes pluies à Athènes, Grèce, 14 octobre 2021.
De la mousse coule à la surface de la rivière Tiete à Salto, dans l'État de Sao Paulo, au Brésil, le mercredi 13 octobre 2021. La mousse est principalement causée par le ruissellement domestique non traité de Sao Paulo, la plus grande ville du Brésil, selon Malu Ribeiro, coordinateur du programme d'eau pour l'association environnementale locale SOS Mata Atlântica.
De la mousse coule à la surface de la rivière Tiete à Salto, dans l'État de Sao Paulo, au Brésil, le mercredi 13 octobre 2021. La mousse est le résultat d'un mélange de détergents chimiques et de pollution organique jeté dans la rivière le long de son cours.
Des ouvriers agricoles transportent du souci mexicain sur des bateaux à fond plat dans les canaux de Xochimilco, dans la banlieue de Mexico. Le souci mexicain, connu sous le nom de cempasàºchil, est également appelé la fleur des morts au Mexique et est utilisé dans les célébrations du Jour des Morts, chaque 2 novembre.
Un homme récolte des lys dans les canaux de Xochimilco, à la périphérie de Mexico, le mercredi 13 octobre 2021. Les lys seront utilisés sur des compositions florales pour les célébrations du Jour des Morts.
La photographe Emily Endean a capturé cette belle image d'un cerf couvert de feuillage d'automne alors qu'il tentait d'attirer l'attention des femelles dans le parc Richmond de Londres.
Les astronomes qui avaient découvert un objet étrange et déroutant repéré par le télescope spatial Hubble ont finalement élucidé le mystère. Il s'agit en fait d'une nouvelle galaxie située à 11 milliards d'années-lumière de la Terre. «Nous sommes restés bouche bée», a déclaré l'astronome Timothy Hamilton de l'Université d'État de Shawnee à Portsmouth.
Quelle découverte ! Voici la paire de skis préhistoriques la mieux préservée au monde. Ces skis, vieux de 1300 ans, ont été découverts dans un champ de glace en Norvège. Même les fixations étaient pratiquement intactes.
Quel travail! Un écureuil roux a réussi, en 4 jours, à remplir de noix noires une camionnette. La surprise fut donc grande pour le conducteur habitant le Dakota qui a vidé 42 gallons (200 litres) de noix cachées sous le capot du moteur, dans les panneaux latéraux et même à l'intérieur de l'aile.
Un cosplayeur habillé en Mandalorien de la franchise Star Wars parcourt le New York Comic Con 2021 au Jacob K. Javits Convention Center de New York, New York, USA, 07 octobre 2021.
Une militante accroche un drapeau brésilien sur une corde à linge sur la plage de Copacabana au milieu d'écharpes blanches qui représentent des personnes décédées du COVID-19 à Rio de Janeiro, au Brésil, le vendredi 10 octobre.
La police monte la garde près d'un échafaudage en bambou effondré à Hong Kong à la suite d'une tempête tropicale, Chine, 08 octobre 2021.
Un martin-pêcheur bagué mâle repose sur une branche d'arbre à l'extérieur de Kuala Lumpur, en Malaisie, le vendredi 10 octobre. 8, 2021.
Des musiciens filment leur performance musicale à télécharger sur le site en ligne pour les personnes à l'intérieur d'une bulle en plastique à Séoul, en Corée du Sud, le vendredi 10 octobre. 8, 2021.
Une femme porte deux masques sur le visage dans les rues de Pékin, en Chine, le 8 octobre 2021. Le style, le vrai.
Guy Parmelin présente un porcelet lors de l'ouverture officielle de la 78e Foire suisse de l'agriculture et de l'alimentation OLMA, le jeudi 6 octobre 2021, à Saint-Gall.
Le président de la Confédération s'essaie aussi à la transformation du maïs lors de l'ouverture officielle de la 78e Foire suisse OLMA de Saint-Gall.
Un vendeur népalais décharge des chèvres importées de divers districts sur un marché aux chèvres, le premier jour du festival hindou Dashain à Katmandou, au Népal, le 7 octobre 2021.
L'acteur britannique Daniel Craig s'agenouille au sommet de sa nouvelle étoile sur le Hollywood Walk of Fame tout en tenant une réplique de l'étoile lors d'une cérémonie en son honneur à Los Angeles, Californie, USA, 06 octobre 2021.
Markus Gross, restaurateur en chef, à gauche, et Lucia Valverde, restauratrice Museo Nacional Pardo, Madrid, à droite, examinent le tableau "La Maja vêtue (La maja vestida ) 1800-? 1807 "par le peintre espagnol Francisco de Goya à l'occasion de l'accrochage du tableau, le lundi 4 octobre 2021, à la Fondation Beyeler à Riehen, Bâle.
Le volcan Cumbre Vieja, à La Palma aux Canaries est de nouveau actif depuis le 19 septembre dernier. Un phénomène photographié par l''imageur terrestre opérationnel (OLI) de Landsat 8. Il a capturé une image en couleur naturelle de la lave s'écoulant à travers les communautés d'El Paraiso et de Todoque le 26 septembre 2021.
Le pont de l’Industrie, plus connu des Romains sous le nom de «pont de fer», a été ravagé par les flammes dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 octobre, juste avant le premier tour des municipales. Il s’est partiellement effondré dans le Tibre.
La guitare de Johnny Ramone a été vendue aux enchères pour plus de 900 000 dollars ! L’instrument a été utilisé sur tous les albums des Ramones, et on estime qu’il a été joué lors d’environ 1 985 concerts du groupe entre 1977 et 1996.
Le maquilleur italien Luca Luce utilise une technique de dessin unique pour se transformer en créant des illusions d'optique en 3D. En 2014, il a trouvé une nouvelle approche visionnaire du maquillage, qui combine les compétences artistiques qu'il a affinées depuis son enfance. Il utilise souvent son crâne rasé pour créer des illusions spectaculaires qui défient l'entendement.
Des partisans du parti Trinamool Congress, les doigts enduits de poudre verte, montrent le signe de la victoire alors qu'ils célèbrent la victoire de Mamata Banerjee, ministre en chef du Bengale occidental, dans l'élection partielle de la circonscription de Bhabanipur à Kolkata, en Inde, dimanche 3 octobre 2021.
Une caille migratrice est prise dans un filet par un Palestinien sur la plage de la ville de Gaza, dimanche 3 octobre 2021. Les personnes qui vivent près de la plage installent des filets pour piéger les oiseaux migrateurs en septembre et octobre de chaque année.
Des militants roumains anti-vaccins montrent une énorme tête humaine métaphorique avec des seringues enfoncées dans le cuir chevelu lors d'une manifestation contre les nouvelles mesures ordonnées par le gouvernement roumain lors de la quatrième vague de la pandémie de coronavirus Covid-19, devant le siège du gouvernement à Bucarest, en Roumanie, le 02 octobre 2021.
La directrice du rire, Nicole Tagart, lève le pouce d'un pilote pour indiquer qu'il est prêt à décoller lors de l'Albuquerque International Balloon Fiesta 2021, samedi 2 octobre 2021.
Sonja Crow Lloyd, de Hampden Township, en Pennsylvanie, assiste au rassemblement sur les droits reproductifs sur les marches du Capitole de l'État de Pennsylvanie à Harrisburg, en Pennsylvanie, le samedi 2 octobre 2021.
Cette photo fournie par USGS Volcanoes montre l'éruption dans le cratère Halemaumau du volcan Kilauea, au sommet du volcan, le mercredi 29 septembre 2021. L'un des volcans les plus actifs de la Terre est en éruption sur la Grande île d'Hawaï.
La britannique Kate, la duchesse de Cambridge, à gauche, s'entretient avec l'acteur britannique Daniel Craig à son arrivée pour la première mondiale du nouveau film de la franchise James Bond 'No Time To Die', à Londres, le mardi 28 septembre 2021.
Tout sourire, le prince William d'Angleterre n'en est pas moins resté près de sa belle pour veiller au grain...
Des membres de l'équipe de démonstration aérienne « Red Falcon » de l'Armée populaire de libération de la Chine (APL) de l'Université de l'aviation de l'Air se produisent lors de la 13e Exposition internationale de l'aviation et de l'aérospatiale de Chine.
Un panneau est affiché à l'extérieur d'un garage BP qui a fermé après avoir manqué de carburant, à Arnos Grove à Londres, Grande-Bretagne, le 29 septembre 2021. Une pénurie de chauffeurs de camion et des achats de panique ont entraîné des pénuries de carburant dans les parvis et les stations-service à travers le pays.
Des fidèles musulmans chiites se rassemblent à l'intérieur du sanctuaire sacré de l'imam Abbas lors du festival chiite d'Arbaeen à Karbala, en Irak, le mardi 28 septembre 2021.
Des gens exécutent des poses de yoga sur la plage alors que le soleil se couche à l'horizon, le mardi 28 septembre 2021, à Santa Monica, en Californie.
Les Juifs ultra-orthodoxes dansent avec les rouleaux de la Torah lors des célébrations de Sim'hat Torah à la fin de la fête de Souccot dans le Mur occidental de la vieille ville de Jérusalem, le 28 septembre 2021.
Une employée du musée pose à côté d'une estampe de l'artiste japonais Katsushika Hokusai intitulée «Sous la vague au large de Kanagawa» lors d'un photocall pour l'exposition «Hokusai : The Great Picture Book of Everything» au British Museum de Londres, Grande-Bretagne, le 28 septembre 2021.
La lave d'une éruption volcanique s'écoule sur l'île de La Palma dans les Canaries, en Espagne, le jeudi 23 septembre 2021. Le volcan est entré en éruption dimanche, forçant l'évacuation de milliers de personnes. Selon les experts, l'éruption et ses conséquences sur une île espagnole pourraient durer jusqu'à 84 jours.
Un visiteur traverse l'installation temporaire de l'artiste Suzanne Brennan Firstenberg nommée «In America : Remember» et composée de drapeaux blancs en hommage aux Américains morts du COVID-19, sur le National Mall à Washington, le mercredi 22 septembre 2021.
Des migrants, dont beaucoup viennent d'Haïti, jouent au football dans un camp de réfugiés improvisé à Ciudad Acuña, au Mexique, le mercredi 22 septembre 2021.
Morrisons s'est engagé aujourd'hui à devenir le premier supermarché à retirer les sacs en plastique de toutes les bananes vendues dans ses magasins. Les bananes sont le deuxième produit le plus acheté dans les magasins Morrisons. À partir d'aujourd'hui, de nouvelles bandes de papier commenceront à remplacer les sacs. Ainsi, l'usage de 45 millions de sacs en plastique à usage unique (180 tonnes de plastique) sera évité.
De nouveaux clichés sortis d'un exercice de tir réel de l'armée des parachutistes américains. La 3rd Brigade Combat Team a participé à un exercice de tir réel combiné à Fort Bragg, en Caroline du Nord, samedi 18 septembre. Un porte-parole a commenté : «Le CALFEX sert à aiguiser la préparation tactique dans des situations de tir réel».
Une sculpture de la lune de sept mètres de large sera exposée dans la cathédrale de Durham et dans d'autres lieux du Royaume-Uni cet automne (2021). L'œuvre «Museum of the Moon» a été créée par l'artiste Luke Jerram et présente des images détaillées de la NASA de la surface lunaire à l'échelle 1:500 000. Chaque centimètre de la sculpture représente 5 kilomètres de la surface de la lune.
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