Étranges créatures
Des mondes inexplorés: les grands fonds marins
DPA
28.9.2018

Angelika Brandt, responsable du département de zoologie marine à l'Institut de recherche Senckenberg, se tient devant une vitrine d'exposition avec un bathynome géant (Bathynomus giganteus) préparé entre les mains. Les photos suivantes, sur lesquelles on peut voir des créatures marines fascinantes, ont été prises dans le cadre d'un projet de documentaire mis en place par la WDR et la BBC.
Photo: WDR / BBC NHU

Pas de panique! Il est peu probable que vous rencontriez ces camarades aux dents acérées lors de votre prochaine séance de plongée. Les fangtooths vivent à une profondeur habituellement inaccessible aux équipes de tournage.
Photo: WDR / BBC NHU

Pour le tournage, réalisé en haute mer, les équipes ont passé plus de 1000 heures sous l'eau, à bord de submersibles. Elles ont réussi à capturer des images particulièrement subtiles, mettant en lumière des paysages et des comportements qui nous étaient jusqu'à présent inconnus.
Photo: WDR / BBC NHU

Les réalisateurs ont par exemple croisé la route de labres à tête de mouton. Les mâles de cette espèce sont considérablement plus gros que les femelles. Bluffant: si les femelles atteignent une taille et un âge suffisants, elles peuvent même se transformer en mâles.
Photo: WDR / BBC NHU

Partout ailleurs, ils ne peuvent pas s'encadrer. Cependant, au large de la Nouvelle-Zélande, les grands dauphins et les fausses orques forment des communautés.
Photo: WDR / BBC NHU

Beaucoup de grands dauphins sont connus pour se «frictionner» la peau avec de la muqueuse d'alcyonacés, des coraux semblables à d'épais buissons. Cette substance a un effet comparable à celui des antibiotiques.
Photo: WDR / BBC NHU

La deuxième partie du documentaire est consacrée aux «profondeurs illuminées». Au vu de ces coraux, photographiés à 6000 mètres de profondeur, l'intitulé est plutôt bien choisi.
Photo: WDR / BBC NHU

La pieuvre Dumbo vit dans les profondeurs de l'océan Pacifique, au large de la Californie. Si vous en avez déjà localisé une, vous savez qu'elles sont loin de passer inaperçues.
Photo: WDR / BBC NHU

Les bernard-l'hermite ont des pinces très coupantes. Elles leur servent à détacher la chair des bénitiers géants.
Photo: WDR / BBC NHU

Montée d'adrénaline à bord du sous-marin «Lula». Mais pas de panique: grâce à leur métabolisme, les grands requins peuvent parfois rester toute une année sans manger.
Photo: WDR / BBC NHU

La troisième partie de la série documentaire s'intitule «La fascination des récifs coralliens». Les récifs coralliens abritent un quart de toutes les espèces marines connues. Et ils sont sublimes…
Photo: WDR / BBC NHU

La rascasse volante chasse les petits poissons. Parfaitement camouflée, elle s'approche tout doucement de ses proies – et les aspire dans sa gueule.
Photo: WDR / BBC NHU

Les poissons-clowns font partie des pacifiques créatures qui peuplent les récifs coralliens.
Photo: WDR / BBC NHU

Au moyen de secousses rythmiques, la seiche à grandes mains est capable de plonger sa proie dans une sorte de transe. Pauvres crabes!
Photo: WDR / BBC NHU

Les mérous doivent veiller à ne pas devenir eux-mêmes des proies. Car ils sont très appréciés des requins de récif.
Photo: WDR / BBC NHU

Le ver Bobbit est un parent carnivore du ver de terre. Il tue ses proies au moyen de son venin.
Photo: WDR / BBC NHU

Attention aux conséquences du réchauffement climatique! Il suffit que la température moyenne de l'eau augmente de un à deux degrés pendant quelques semaines pour que les coraux blanchissent et meurent. Ce phénomène s'appelle le blanchissement des coraux.
Photo: WDR / BBC NHU

Venimeuse, la galère portugaise se compose de milliers de polypes. Le quatrième épisode de la série documentaire s'intitule «En haute mer».
Photo: WDR / BBC NHU

Elles sont plus imposantes que celles que l'on peut rencontrer en mer Baltique: les méduses se laissent porter par les courants, mais savent également nager.
Photo: WDR / BBC NHU

En pleine mer, ces poissons ont trouvé refuge et protection sous un morceau de bois flottant.
Photo: WDR / BBC NHU

Des femelles cachalots ont mis en place un système de garde des petits avec leurs congénères. Quel progrès! En voilà une garderie bien organisée.
Photo: WDR / BBC NHU

Le cinquième épisode du documentaire nous emmène dans la «jungle sous-marine». Et celle-ci n'a rien à envier à la jungle terrestre. Sur ce cliché, des feuilles de varech se dévoilent dans toute leur splendeur.
Photo: WDR / BBC NHU

Dans la jungle, c'est chacun pour soi – et pour la liberté! Le Demoiselle Garibaldi tient son nom d'un grand général italien et est connu pour défendre énergiquement son territoire.
Photo: WDR / BBC NHU

Le cinquième épisode du documentaire nous emmène dans la «jungle sous-marine». Et celle-ci n'a rien à envier à la jungle terrestre. Sur ce cliché, des feuilles de varech se dévoilent dans toute leur splendeur.
Photo: WDR / BBC NHU

La caméra ne s'est pas gênée et a également immortalisé plusieurs scènes d'accouplement sous l'eau. Ici, on peut voir deux seiches géantes en plein action.
Photo: WDR / BBC NHU

Ce tas d'araignées de mer flanquerait une peur bleue au plus téméraire des plongeurs. En réalité, lorsqu'elles muent, elles restent vulnérables pendant plusieurs jours.
Photo: WDR / BBC NHU

Les forêts de mangroves sont leur terrain de chasse préféré: les squilles mâles peuvent mesurer jusqu'à 40 centimètres de long.
Photo: WDR / BBC NHU

Photo: WDR / BBC NHU

Ici, un crabe rouge en attente de la marée.
Photo: WDR / BBC NHU

Leurs bras étant recouverts de cellules photosensibles, les étoiles de mer sont les premières à réagir à la lumière du soleil du printemps. C'est pour elle le signe qu'il faut frayer.
Photo: WDR / BBC NHU

Cette plante est aussi belle que redoutable. Les anémones de mer dévorent tout ce qui est à portée de leurs tentacules.
Photo: WDR / BBC NHU

Angelika Brandt, responsable du département de zoologie marine à l'Institut de recherche Senckenberg, se tient devant une vitrine d'exposition avec un bathynome géant (Bathynomus giganteus) préparé entre les mains. Les photos suivantes, sur lesquelles on peut voir des créatures marines fascinantes, ont été prises dans le cadre d'un projet de documentaire mis en place par la WDR et la BBC.
Photo: WDR / BBC NHU

Pas de panique! Il est peu probable que vous rencontriez ces camarades aux dents acérées lors de votre prochaine séance de plongée. Les fangtooths vivent à une profondeur habituellement inaccessible aux équipes de tournage.
Photo: WDR / BBC NHU

Pour le tournage, réalisé en haute mer, les équipes ont passé plus de 1000 heures sous l'eau, à bord de submersibles. Elles ont réussi à capturer des images particulièrement subtiles, mettant en lumière des paysages et des comportements qui nous étaient jusqu'à présent inconnus.
Photo: WDR / BBC NHU

Les réalisateurs ont par exemple croisé la route de labres à tête de mouton. Les mâles de cette espèce sont considérablement plus gros que les femelles. Bluffant: si les femelles atteignent une taille et un âge suffisants, elles peuvent même se transformer en mâles.
Photo: WDR / BBC NHU

Partout ailleurs, ils ne peuvent pas s'encadrer. Cependant, au large de la Nouvelle-Zélande, les grands dauphins et les fausses orques forment des communautés.
Photo: WDR / BBC NHU

Beaucoup de grands dauphins sont connus pour se «frictionner» la peau avec de la muqueuse d'alcyonacés, des coraux semblables à d'épais buissons. Cette substance a un effet comparable à celui des antibiotiques.
Photo: WDR / BBC NHU

La deuxième partie du documentaire est consacrée aux «profondeurs illuminées». Au vu de ces coraux, photographiés à 6000 mètres de profondeur, l'intitulé est plutôt bien choisi.
Photo: WDR / BBC NHU

La pieuvre Dumbo vit dans les profondeurs de l'océan Pacifique, au large de la Californie. Si vous en avez déjà localisé une, vous savez qu'elles sont loin de passer inaperçues.
Photo: WDR / BBC NHU

Les bernard-l'hermite ont des pinces très coupantes. Elles leur servent à détacher la chair des bénitiers géants.
Photo: WDR / BBC NHU

Montée d'adrénaline à bord du sous-marin «Lula». Mais pas de panique: grâce à leur métabolisme, les grands requins peuvent parfois rester toute une année sans manger.
Photo: WDR / BBC NHU

La troisième partie de la série documentaire s'intitule «La fascination des récifs coralliens». Les récifs coralliens abritent un quart de toutes les espèces marines connues. Et ils sont sublimes…
Photo: WDR / BBC NHU

La rascasse volante chasse les petits poissons. Parfaitement camouflée, elle s'approche tout doucement de ses proies – et les aspire dans sa gueule.
Photo: WDR / BBC NHU

Les poissons-clowns font partie des pacifiques créatures qui peuplent les récifs coralliens.
Photo: WDR / BBC NHU

Au moyen de secousses rythmiques, la seiche à grandes mains est capable de plonger sa proie dans une sorte de transe. Pauvres crabes!
Photo: WDR / BBC NHU

Les mérous doivent veiller à ne pas devenir eux-mêmes des proies. Car ils sont très appréciés des requins de récif.
Photo: WDR / BBC NHU

Le ver Bobbit est un parent carnivore du ver de terre. Il tue ses proies au moyen de son venin.
Photo: WDR / BBC NHU

Attention aux conséquences du réchauffement climatique! Il suffit que la température moyenne de l'eau augmente de un à deux degrés pendant quelques semaines pour que les coraux blanchissent et meurent. Ce phénomène s'appelle le blanchissement des coraux.
Photo: WDR / BBC NHU

Venimeuse, la galère portugaise se compose de milliers de polypes. Le quatrième épisode de la série documentaire s'intitule «En haute mer».
Photo: WDR / BBC NHU

Elles sont plus imposantes que celles que l'on peut rencontrer en mer Baltique: les méduses se laissent porter par les courants, mais savent également nager.
Photo: WDR / BBC NHU

En pleine mer, ces poissons ont trouvé refuge et protection sous un morceau de bois flottant.
Photo: WDR / BBC NHU

Des femelles cachalots ont mis en place un système de garde des petits avec leurs congénères. Quel progrès! En voilà une garderie bien organisée.
Photo: WDR / BBC NHU

Le cinquième épisode du documentaire nous emmène dans la «jungle sous-marine». Et celle-ci n'a rien à envier à la jungle terrestre. Sur ce cliché, des feuilles de varech se dévoilent dans toute leur splendeur.
Photo: WDR / BBC NHU

Dans la jungle, c'est chacun pour soi – et pour la liberté! Le Demoiselle Garibaldi tient son nom d'un grand général italien et est connu pour défendre énergiquement son territoire.
Photo: WDR / BBC NHU

Le cinquième épisode du documentaire nous emmène dans la «jungle sous-marine». Et celle-ci n'a rien à envier à la jungle terrestre. Sur ce cliché, des feuilles de varech se dévoilent dans toute leur splendeur.
Photo: WDR / BBC NHU

La caméra ne s'est pas gênée et a également immortalisé plusieurs scènes d'accouplement sous l'eau. Ici, on peut voir deux seiches géantes en plein action.
Photo: WDR / BBC NHU

Ce tas d'araignées de mer flanquerait une peur bleue au plus téméraire des plongeurs. En réalité, lorsqu'elles muent, elles restent vulnérables pendant plusieurs jours.
Photo: WDR / BBC NHU

Les forêts de mangroves sont leur terrain de chasse préféré: les squilles mâles peuvent mesurer jusqu'à 40 centimètres de long.
Photo: WDR / BBC NHU

Photo: WDR / BBC NHU

Ici, un crabe rouge en attente de la marée.
Photo: WDR / BBC NHU

Leurs bras étant recouverts de cellules photosensibles, les étoiles de mer sont les premières à réagir à la lumière du soleil du printemps. C'est pour elle le signe qu'il faut frayer.
Photo: WDR / BBC NHU

Cette plante est aussi belle que redoutable. Les anémones de mer dévorent tout ce qui est à portée de leurs tentacules.
Photo: WDR / BBC NHU
On en sait moins sur les grands fonds des océans que sur la surface de la Lune, a-t-on coutume de dire. Même si cet espace vital reste largement inexploré, cela fait longtemps qu'il n'est plus épargné par les effets de la civilisation humaine.
C'est la curiosité scientifique, et non la soif d'aventure et de voyage, qui pousse Angelika Brandt à prendre la mer, à naviguer entre les icebergs et à s'aventurer dans des zones climatiques particulièrement inhospitalières. À ce jour, la biologiste marine de l'Institut de recherche Senckenberg de Francfort-sur-le-Main a déjà participé à 27 expéditions de recherche polaire et océanographique. «Nous ne pouvons protéger que ce que nous connaissons», soutient-elle.
Dans son secteur d'étude, les grands fonds, il y a énormément de retard à rattraper: «Environ 90 pour cent de toutes les données en notre possession se réfèrent aux fonds situés jusqu'à 50 mètres de profondeur», explique-t-elle. Environ neuf pour cent des données de recherche concernent les fonds situés jusqu'à 200 mètres de profondeur. Cependant, c'est juste après que commencent les grands fonds, qui atteignent jusqu'à 11'000 mètres de profondeur dans la fosse des Mariannes.
Les grands fonds représentent plus de 60 pour cent de la surface terrestre
Avant, les scientifiques pensaient qu'aucune vie n'était possible au plus profond des océans, où l'obscurité est permanente et les rapports de pression extrêmes. Ce n'est qu'au 19e siècle qu'une expédition a permis de réfuter l'affirmation selon laquelle il n'y a plus de vie possible en-dessous de 600 mètres de profondeur. «Il s'agit d'un milieu de vie tout à fait normal pour les organismes ne comportant pas de corps creux remplis de gaz», assure Angelika Brandt.

La tasse de café en polystyrène que les chercheurs ont accrochée à leur équipement lors d'un prélèvement d'échantillons à environ 4500 mètres de profondeur montre les répercussions que peut avoir la pression en haute mer. Les bulles d'air contenues dans le matériau ont implosé et la tasse est remontée à la surface en version miniature, avec deux centimètres et demi de moins.
Les grands fonds représentent plus de 60 pour cent de la surface terrestre – en termes de surface, il s'agit donc du plus grand écosystème terrestre. Mais également du plus inaccessible. C'est pourquoi il reste encore largement inexploré. Pour accéder aux grands fonds, il faut déployer énormément de moyens techniques. «Pour une expédition de six semaines, il faut débourser environ 1,5 million d'euros rien que pour le voyage en bateau», explique Angelika Brandt au sujet des coûts d'un voyage de recherche. Il faut parfois six heures pour ramener un seul échantillon à la surface.
Le bathynome géant peut mesurer jusqu'à 47 centimètres
Cependant, l'exploration de cet environnement est capitale, soutient Angelika Brandt: «Pour identifier les possibles répercussions de nos atteintes à l'écosystème.» Aujourd'hui, par exemple, on retrouve même du microplastique dans les grandes profondeurs. L'objectif de ces découvertes scientifiques est donc de donner à la politique les moyens d'intervenir. «Nos recherches ont pour objectif l'établissement de zones de protection.»
Robert Watson, président de l'organisation scientifique IPBES, la plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité, souligne lui aussi l'importance de protéger les espaces de vie dans les grands fonds et ailleurs dans le monde. «Nous devons étudier dans quelle mesure nous menaçons leur sécurité». Cela vaut également pour les organismes qui, comme les habitants des grands fonds, sont invisibles pour la plupart des gens.
La responsable du département de zoologie marine à l'Institut Senckenberg s'intéresse surtout à un organisme en particulier: le bathynome géant. Contrairement aux autres créatures des grands fonds, généralement très petites, il peut mesurer jusqu'à 47 centimètres. Angelika Brandt jette un coup d'œil à un animal issu des collections de l'Institut Senckenberg. Il est conservé dans un bocal en verre. «Je n'ai jamais eu la chance de pouvoir étudier un bathynome géant», regrette-t-elle. Quoi qu'il en soit, elle a pu étudier de proches parents de l'espèce, bien que plus petits, dans des aquariums.
Les meilleures photos sous-marines de l'année

Avec sa photo «Cycle War», l’Allemand Tobias Friedrich a été sacré à la fois «Underwater Photographer of the Year 2018» et grand vainqueur de la catégorie «Épaves». Son cliché panoramique, composé de plusieurs photos individuelles, montre des motos dans la cale du cargo britannique «Thistlegorm» qui avait sombré durant la Seconde Guerre mondiale.
Photo: Tobias Friedrich/UPY2018

Avec sa photo «Lovebirds», prise au Loch Lomond, en Écosse, Grant Thomas a été sacré à la fois «British Underwater Photographer of the Year» et grand vainqueur de la catégorie «British Waters Wide Angle».
Photo: Grant Thomas/UPY2018

ManBd UiDive, Malaisie, a été sacré photographe sous-marin le plus prometteur. Son cliché «Roar» montre des gastéropodes marins en Indonésie.
Photo: ManBd UiDive/UPY2018

Grâce à sa photo «How many pike?», sur laquelle on peut voir des brochets à Stoney Cove, dans le Leicestershire, Tony Stephenson a été sacré photographe britannique le plus prometteur.
Photo: Tony Stephenson/UPY2018

Avec sa photo d’une baleine à bosse surgissant des flots au large des îles Tonga, Greg Lecoeur, France, est le grand vainqueur de la catégorie «Grand-angle».
Photo: Greg Lecoeur/UPY2018

Catégorie «Grand-angle»: mention spéciale pour Herbert Meyrl, Allemagne, et sa photo de l’accès à un réseau de grottes du Yucatán, au Mexique.
Photo: Herbert Meyrl/UPY2018

Renee Capozzola, États-Unis, a été récompensée dans la catégorie «Grand-angle» pour sa photo d’un groupe de requins bordés au large de la Polynésie française.
Photo: Renee Capozzola/UPY2018

Avec sa photo d’hippocampes au large des Bahamas, Shane Gross, Canada, est le grand vainqueur de la catégorie «Macro».
Photo: Shane Gross/UPY2018

Deuxième dans la catégorie «Macro», Songda Cai, Chine, avec sa photo d’une anguille de mer.
Photo: Songda Cai/UPY2018

Dans la catégorie «Épaves», c’est l’Italien Gianni Pecchiar qui a décroché la deuxième place avec sa photo de l’épave du «Marco Polo» au large de Rijeka, en Croatie.
Photo: Gianni Pecchiar/UPY2018

Tobias Friedrich, Allemagne, s’est également assuré la troisième place dans la catégorie «Épaves» avec un cliché pris à l’intérieur du «Zenobia», au large de Larnaca, Chypre.
Photo: Tobias Friedrich/UPY2018

Pekka Tuuri, Finlande, a été récompensé dans la catégorie «Épaves» avec son cliché d’un Stuka écrasé au large de la Croatie.
Photo: Pekka Tuuri/UPY2018

Avec son cliché «Le pêcheur», l’Italien Filippo Borghi est le grand vainqueur de la catégorie «Comportement animal». Sa photo montre un cormoran en train de pêcher un poisson au large du Japon.
Photo: Filippo Borghi/UPY2018

Catégorie «Portrait»: le cliché gagnant a été pris par Tanya Houppermans, États-Unis. Il montre un requin-taureau au milieu d’un banc de poissons au large de l’État américain de Caroline du Nord.
Photo: Tanya Houppermans/UPY2018

Catégorie «Portrait»: mention spéciale pour Robert Marc Lehmann, Allemagne, et sa photo d’une loutre cendrée, une espèce menacée, dans la jungle philippine.
Photo: Robert Marc Lehmann/UPY2018

Grand vainqueur de la catégorie «Noir et blanc»: Borut Furlan, Slovénie, avec sa photo de crocodiles marins à Cuba.
Photo: Borut Furlan/UPY2018

Première place dans la catégorie «Compact»: Simone Matucci, Nouvelle-Zélande, avec «Dancing with the giants», les baleines à bosse au large de Tonga.
Photo: Simone Matucci/UPY2018

Deuxième place dans la catégorie «Up and Coming» pour Jacob Degee et son cliché d’un énorme requin-marteau au large des Bahamas.
Photo: Jacob Degee/UPY2018

Henley Spiers est le grand vainqueur de la catégorie «Macro dans les eaux britanniques» avec son cliché de deux blennies sur la jetée de la ville côtière de Swanage, dans le sud de l’Angleterre.
Photo: Henley Spiers/UPY2018

Vicky Paynter est la grande gagnante de la catégorie «Compact dans les eaux britanniques» avec sa photo d’un phoque au large des îles Farne, dans le nord de l’Angleterre.
Photo: Vicky Paynter/UPY2018
Volcan: retour sur une éruption spectaculaire aux Tonga

En 2009, un volcan sous-marin était entré en éruption aux Tonga, dans le Pacifique Sud.
Photo: Getty Images

Une éruption spectaculaire capturée en images.
Photo: Getty Images

Lors de l’éruption, le volcan avait craché des cendres et de la fumée jusqu’à 100 mètres d’altitude.
Photo: Getty Images

Le volcan se situe au large de la côte de Nuku’alofa, à environ dix kilomètres de l’île de Tongatapu, la principale île des Tonga.
Photo: Getty Images

Il s’agit d’un des 36 volcans sous-marins de la région.
Photo: Getty Images

Avant l’éruption du volcan, plusieurs séismes avaient été ressentis.
Photo: Getty Images

Spectaculaire: des nuages de gaz et de cendres s’élèvent au-dessus du volcan.

Cette éruption était restée sans danger pour les habitants des Tonga.
Photo: Getty Images