Ce bloc de roche plutôt lourd fonce droit sur la Terre: infographie de comparaison de la taille de l'astéroïde Bennu.
Un graphique intéressant: les lignes bleu clair correspondent aux orbites de corps célestes se rapprochant tellement de l'orbite de la Terre (noir) qu'ils sont potentiellement dangereux
Étude de la navette spatiale «HAMMER»: selon l'approche actuelle, elle sera envoyée dans l'espace par un des lanceurs les plus puissants au monde.
La NASA explore actuellement l'astéroïde Bennu dans le cadre de la mission Osiris Rex.
L'astéroïde devrait être mesuré et cartographié sur une période de sept ans. En outre, la NASA aimerait prélever des échantillons de roche et les ramener sur Terre.
Pour ce faire, la sonde est équipée d'un bras spécial.
Le lancement de la mission Osiris Rex a eu lieu le 8 septembre 2016, à Cap Canaveral.
L'astéroïde Bennu se rapproche
Ce bloc de roche plutôt lourd fonce droit sur la Terre: infographie de comparaison de la taille de l'astéroïde Bennu.
Un graphique intéressant: les lignes bleu clair correspondent aux orbites de corps célestes se rapprochant tellement de l'orbite de la Terre (noir) qu'ils sont potentiellement dangereux
Étude de la navette spatiale «HAMMER»: selon l'approche actuelle, elle sera envoyée dans l'espace par un des lanceurs les plus puissants au monde.
La NASA explore actuellement l'astéroïde Bennu dans le cadre de la mission Osiris Rex.
L'astéroïde devrait être mesuré et cartographié sur une période de sept ans. En outre, la NASA aimerait prélever des échantillons de roche et les ramener sur Terre.
Pour ce faire, la sonde est équipée d'un bras spécial.
Le lancement de la mission Osiris Rex a eu lieu le 8 septembre 2016, à Cap Canaveral.
L'astéroïde Bennu est un bloc de roche plutôt lourd qui pourrait représenter une menace pour notre planète. Les risques qu'il entre en collision avec la Terre sont de 1:2700. Si cette potentielle apocalypse n'est prévue que pour 2135, la NASA et d'autres scientifiques travaillent déjà à l'élaboration d'un plan de défense.
Un diamètre de 500 mètres, un poids de 79 millions de tonnes et une vitesse de 100'000 kilomètres/heure: si Bennu devait entrer en collision avec la Terre, le désastre serait total.
L'impact libérerait une énergie comparable à celle de 80'000 bombes atomiques Hiroshima. Toute vie se trouvant dans un rayon de 50 kilomètres autour du lieu de l'impact serait effacée. Les conséquences pour le climat ne sont pas calculables.
Comme la probabilité d'un impact est plus élevée que jamais, des scientifiques de la NASA travaillent déjà à l'élaboration d'une stratégie de défense en collaboration avec le laboratoire d'essais nucléaires américain Lawrence Livermore National Laboratory.
Un HAMMER spatial
Pour ce faire, ils ont développé, dans le cadre d'une étude conceptuelle, un véritable «HAMMER» spatial (Hammer: marteau en anglais): un «Hypervelocity Asteroid Mitigation Mission for Emergency Response vehicle», un «appareil d’intervention d’urgence dans le cadre d'une mission de défense contre les astéroïdes à grande vitesse».
L'appareil, d'un poids d'environ neuf tonnes, devrait être envoyé sur Bennu au moyen d'un lanceur afin de dévier l'astéroïde de sa trajectoire. Mais les scientifiques travaillent également au développement d'une solution nucléaire.
La mission «Osiris Rex»
La physicienne Kirsten Howley, du Lawrence Livermore National Laboratory, nous explique pourquoi les scientifiques travaillent déjà sur le problème de l'astéroïde Bennu: «Plus nous nous occuperons tôt du problème, plus nous aurons le temps de développer des stratégies de défense.»
Si on commençait à se pencher sur la question dix ans avant l'impact, il faudrait réaliser jusqu'à 50 frappes, un nombre qui diminuerait rapidement en cas de planification à long terme.
Cela fait déjà longtemps que l'astéroïde Bennu est au centre des préoccupations des scientifiques. La NASA a lancé la mission «Osiris Rex» en 2016 et a envoyé une sonde sur l'astéroïde. Cette dernière est conçue pour mesurer et cartographier le colosse. Un bras préhenseur spécial devrait également permettre de prélever des échantillons de roche. Le retour de la sonde sur Terre est prévu pour 2023.
Les premiers hommes en orbite: Frank Borman et James Lovell
Les premiers hommes en orbite: Frank Borman et James Lovell
William A. Anders (au centre), James A. Lovell (à gauche) et Frank Borman sont les premiers hommes à avoir fait le tour de la Lune dans le cadre de la mission Apollo 8.
C'est à bord d'une capsule Gemini semblable à celle-ci que James Lovell et Frank Borman ont passé deux semaines dans l'espace.
Lancement de la mission Apollo 8: la fusée décolle depuis le centre spatial Kennedy. À Noël 1968, Frank Borman, commandant de la navette spatiale Apollo 8, William A. Anders et James A. Lovell ont été les premiers hommes à faire le tour de la Lune.
L'équipage de la mission Apollo 8 peu avant le départ pour l'inconnu (de gauche à droite): James A. Lovell, William A. Anders et Frank Borman.
C'est lors de cette mission que William Anders a pris le célèbre cliché «Lever de Terre».
Frank Borman, ancien astronaute de la NASA et ancien président de la compagnie aérienne américaine Eastern Airlines, fêtera ses 90 ans le 14 mars.
L'ancien astronaute James A. Lovell lors d'une remise de prix en 2010.
Après un amerrissage réussi dans le Pacifique, les astronautes avaient remercié l'équipage de l'USS Yorktown, qui les avait accueillis à bord, comme prévu.
En tout, James Lovell s'est rendu quatre fois dans l'espace. En 1966, lors d'une intervention extérieure effectuée dans le cadre de la mission Gemini 12, il avait photographié son collègue Buzz Aldrin, qui sera le deuxième homme à marcher sur la Lune trois ans plus tard.
James Lovell était également aux commandes lors de la légendaire mission Apollo 13: en 1970, un des réservoirs d'oxygène du vaisseau spatial avait explosé. Les astronautes avaient pu être sauvés grâce à une manœuvre des plus spectaculaires.
Les meilleures photos sous-marines de l'année
Les meilleures photos sous-marines de l'année
Avec sa photo «Cycle War», l’Allemand Tobias Friedrich a été sacré à la fois «Underwater Photographer of the Year 2018» et grand vainqueur de la catégorie «Épaves». Son cliché panoramique, composé de plusieurs photos individuelles, montre des motos dans la cale du cargo britannique «Thistlegorm» qui avait sombré durant la Seconde Guerre mondiale.
Avec sa photo «Lovebirds», prise au Loch Lomond, en Écosse, Grant Thomas a été sacré à la fois «British Underwater Photographer of the Year» et grand vainqueur de la catégorie «British Waters Wide Angle».
ManBd UiDive, Malaisie, a été sacré photographe sous-marin le plus prometteur. Son cliché «Roar» montre des gastéropodes marins en Indonésie.
Grâce à sa photo «How many pike?», sur laquelle on peut voir des brochets à Stoney Cove, dans le Leicestershire, Tony Stephenson a été sacré photographe britannique le plus prometteur.
Avec sa photo d’une baleine à bosse surgissant des flots au large des îles Tonga, Greg Lecoeur, France, est le grand vainqueur de la catégorie «Grand-angle».
Catégorie «Grand-angle»: mention spéciale pour Herbert Meyrl, Allemagne, et sa photo de l’accès à un réseau de grottes du Yucatán, au Mexique.
Renee Capozzola, États-Unis, a été récompensée dans la catégorie «Grand-angle» pour sa photo d’un groupe de requins bordés au large de la Polynésie française.
Avec sa photo d’hippocampes au large des Bahamas, Shane Gross, Canada, est le grand vainqueur de la catégorie «Macro».
Deuxième dans la catégorie «Macro», Songda Cai, Chine, avec sa photo d’une anguille de mer.
Dans la catégorie «Épaves», c’est l’Italien Gianni Pecchiar qui a décroché la deuxième place avec sa photo de l’épave du «Marco Polo» au large de Rijeka, en Croatie.
Tobias Friedrich, Allemagne, s’est également assuré la troisième place dans la catégorie «Épaves» avec un cliché pris à l’intérieur du «Zenobia», au large de Larnaca, Chypre.
Pekka Tuuri, Finlande, a été récompensé dans la catégorie «Épaves» avec son cliché d’un Stuka écrasé au large de la Croatie.
Avec son cliché «Le pêcheur», l’Italien Filippo Borghi est le grand vainqueur de la catégorie «Comportement animal». Sa photo montre un cormoran en train de pêcher un poisson au large du Japon.
Catégorie «Portrait»: le cliché gagnant a été pris par Tanya Houppermans, États-Unis. Il montre un requin-taureau au milieu d’un banc de poissons au large de l’État américain de Caroline du Nord.
Catégorie «Portrait»: mention spéciale pour Robert Marc Lehmann, Allemagne, et sa photo d’une loutre cendrée, une espèce menacée, dans la jungle philippine.
Grand vainqueur de la catégorie «Noir et blanc»: Borut Furlan, Slovénie, avec sa photo de crocodiles marins à Cuba.
Première place dans la catégorie «Compact»: Simone Matucci, Nouvelle-Zélande, avec «Dancing with the giants», les baleines à bosse au large de Tonga.
Deuxième place dans la catégorie «Up and Coming» pour Jacob Degee et son cliché d’un énorme requin-marteau au large des Bahamas.
Henley Spiers est le grand vainqueur de la catégorie «Macro dans les eaux britanniques» avec son cliché de deux blennies sur la jetée de la ville côtière de Swanage, dans le sud de l’Angleterre.
Vicky Paynter est la grande gagnante de la catégorie «Compact dans les eaux britanniques» avec sa photo d’un phoque au large des îles Farne, dans le nord de l’Angleterre.
Retour à la page d'accueil