Actu people Ashley Judd défend le droit à l'avortement, grâce auquel elle n'a pas dû porter l'enfant de l'homme qui l'a violée

Ashley Judd est reconnaissante d’avoir pu profiter d’un « avortement légal et sécurisé » lorsqu’elle est tombée enceinte après avoir été violée. Comme elle l’a déclaré durant le Women in the World Summit qui se déroulait jeudi (11 avril 19) à New York, l’actrice n’aurait pas supporté de partager un enfant avec son agresseur.

Ashley Judd a tenu à parler devant les participants du Women in the World Summit, qui se déroulait jeudi (11 avril 19) à New York, de l’avortement auquel elle a eu recourt après avoir été violée. « Comme tout le monde le sait, je suis très ouverte sur ce sujet, ayant survécu à trois viols, a déclaré l’actrice. Et lors d’un de ces viols, il y a eu conception. Et je suis très reconnaissante d’avoir eu accès à un avortement légal et sécurisé, parce que le violeur, qui vient du Kentucky, comme moi, a des droits de paternité au Kentucky et dans le Tennessee. J’aurais été co-parente avec mon violeur. »

« Alors avoir un accès sûr à l’avortement était très important à titre personnel… Nous ne sommes pas censés réguler ce que nous choisissons de faire avec nos entrailles », a-t-elle conclu. Une déclaration qui vient en résonance avec les appels au changement de la loi américaine en matière d’avortement.

Dans une tonalité moins grave, l’événement a également accueilli Priyanka Chopra qui a détendu l’atmosphère en parlant de sa relation avec Nick Jonas. « Quand j’ai commencé à sortir avec Nick, il m’a tellement surprise… Je l’appelais "bon vieux Jonas", a déclaré l’actrice. Il est tellement à l’ancienne. Très intelligent. Et si bon avec moi parce qu’il me soutient tellement. Je suis une enfant sauvage. Je fais ce que je veux quand je veux et il me soutient toujours. »