En colère Cher: «J'ai toujours pensé que Donald Trump était un imbécile...»

CoverMedia

10.5.2020 - 09:31

Source: Joseph Marzullo/WENN.com

Décidément, Cher ne porte pas Donald Trump dans son cœur! Dans une interview pour «Billboard», elle l'a décrit comme un «imbécile qui a besoin de se faire remarquer».

Cher a toujours pensé que Donald Trump était un crétin qui cherchait à attirer l'attention sur lui, bien avant qu'il ne devienne président des États-Unis. Elle s'est remémorée les fois où elle le trouvait stupide à Aspen, dans le Colorado.



Sur les réseaux sociaux, la légende de la pop est devenue l'une des critiques les plus virulentes du leader américain et de ses politiques, mais elle admet que son aversion pour l'homme d'affaires a commencé bien avant qu'il n'arrive à la Maison-Blanche.

«J'ai commencé à entendre parler de lui lorsque j'habitais à New York, mais j'avais un logement à Aspen et nous allions y skier, a-t-elle raconté à «Billboard». Je l'ai rencontré à plusieurs reprises dans un restaurant appelé Mezzaluna. Il voulait toujours que l'attention soit sur lui. Tout le monde était riche ou célèbre, mais il ne cessait de se lever pour demander du sel ou de la sauce tomate ou pour aller aux toilettes.»

«Si son administration commençait à sauver des vies...»

«Il a fait le tour de ce restaurant trois ou quatre fois. Et je me disais: "Oh mon Dieu, tu te vois? Tu as conscience de ce que tout le monde dans cette salle pense?" C'est comme quand il appelait des magazines en faisant semblant d'être son propre attaché de presse. C'est un escroc qui a eu une émission de télévision.»

Mais la chanteuse américaine affirme que sa haine pour Donald Trump diminuerait s'il stoppait ses attaques envers les médias, s'il commençait à montrer un peu de compassion ou s'il améliorait vraiment sa réponse à la crise des coronavirus: «Même si je n'aime pas Trump, et je n'aime pas du tout ce que je ressens pour lui, si je pensais qu'il se préoccupait vraiment des gens et qu'il trouvait quelque chose pour les aider, je l'en féliciterais, mais si c'était le cas, je pense qu'il n'y serait pour rien, a-t-elle ajouté. Si son administration commençait à sauver des vies, je me calmerais pendant un moment.»



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