Confidences Laura Smet, mariée et bientôt maman?

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12.7.2019

Il y a bientôt deux ans, Laura Smet perdait son père, Johnny Hallyday.
Il y a bientôt deux ans, Laura Smet perdait son père, Johnny Hallyday.
Instagram / Laura_Smet

Un récent drame et une violente brouille familiale… mais aussi un très grand bonheur! Mariée récemment, et deux ans après la mort de son père Johnny Hallyday, Laura Smet amorce une toute nouvelle vie. A l’occasion d’une interview, elle se confie sur son désir de devenir mère bientôt. Elle en profite, au passage, pour tacler Laeticia, avec qui les relations restent très tendues…

Il y a bientôt deux ans, Laura Smet perdait son père, Johnny Hallyday. Commençait alors une guerre autour de l’héritage du chanteur, une bataille juridique et médiatique l’opposant à sa belle-mère Laeticia. Malgré cette ambiance tendue, la jeune femme de 35 ans n’en a pas oublié d’avancer! En couple depuis 2013, Laura a dit «oui» à Raphaël Lancrey-Javal à la mairie du 7e arrondissement de Paris le 1er décembre dernier, avant de se présenter devant l’autel de l’église Notre-Dame des Flots, au Cap Ferret, le 15 juin dernier L’actrice sait où elle veut aller: elle a d’ailleurs confié, dans une interview à «Madame Figaro» publiée ce jeudi 11 juillet, son désir de devenir mère très prochainement…

«Sereine, confiante» et «accompagnée» par Johnny

A 35 ans, Laura Smet vient d’épouser celui qu’elle aime. Une décision importante que l’actrice n’aurait peut-être pas prise dans d’autres conditions: «Le mariage m’aurait terrifiée si ce n’avait pas été mon Raphaël. Mais avec lui, je sais que je ne peux pas mieux tomber», assure-t-elle.

Alors, pour marquer l’occasion, quoi de mieux que de célébrer la noce religieuse le jour de l’anniversaire de son père, qui aurait sans doute tant aimé y assister? Comme un clin d’œil venu d’en-haut, c’est en fait le hasard qui a bien fait les choses: «Je n’avais pas choisi la date, mais on voulait que ce soit au Cap Ferret, où je vais depuis 23 ans (…). J’appelle Benoît Bartherotte – qui est un peu pour moi un père spirituel – et il me dit avec son accent bordelais qu’il n’y a qu’une date disponible dans l’église Notre-Dame-des-Flots: «Le 15 juin!» C’est le jour où est né mon père. Se marier le jour de son anniversaire, sans l’avoir fait exprès? (…) Il s’est passé quelque chose d’assez dingue, comme tous ces signes que je peux avoir de mon père». Son père, Laura le sent toujours présent à ses côtés, à l’épauler, à l’observer dans les différentes étapes de sa vie de femme. «Je suis sereine, confiante, heureuse. Quand on perd son père, c’est dur, mais je suis en train de faire mon deuil, même si c’est difficile. Je le sens tellement là; je me sens accompagnée».

Un projet d’un enfant, mais «pas trop vite»

Laura souhaiterait-elle devenir mère? Si l’actrice de 35 ans a attendu pour envisager la maternité, c’est d’abord par peur de se précipiter, mais aussi pour profiter encore un peu d’une certaine insouciance. «J’ai manqué de confiance en moi dans le passé, mais j’ai beaucoup avancé. Je n’ai pas envie d’aller trop vite, je veux profiter du temps. Je viens d’emménager dans un nouvel appartement avec mon mari et son fils de 11 ans, et je suis bien dans mes baskets. C’est sûr que j’aurai un enfant très vite. Mais, pour l’instant, je tourne «La Garçonne». On verra ce que la vie me réserve. Je lui fais confiance. Comme l’a écrit Charlie Chaplin: «Rien n’est éternel dans ce monde, même pas nos problèmes»,» explique-t-elle encore.

Ce qu’elle souhaite transmettre

Pour l’enfant à venir, être le petit-fils ou la petite fille de Johnny Hallyday sera sans doute une chance, mais aussi une responsabilité. De l’enseignement de son père, icône du rock, et de sa mère actrice (Nathalie Baye), Laura souhaite notamment perpétuer la créativité, la rigueur et la générosité artistiques. «Mon père m’a appris à écouter mon instinct. Il m’a transmis la notion du bien et du mal… la foi. Et puis, il m’a donné la valeur du travail. (…) Il pouvait être extrêmement dur avec lui-même, (…) pour donner le maximum à son public, qu’il a aimé et qui l’a aimé tellement. Tellement… Il a donné sa vie pour son public. Et moi, ce qu’il m’a toujours dit, Et moi, ce qu’il m’a toujours dit, c’est: «Ta vie, tu peux en faire ce que tu veux. Mais c’est à toi de le faire. À personne d’autre», se souvient Laura, pleine de gratitude…

«Je sais qu’il n’aurait pas aimé ce qu’il se passe actuellement»

Une fille pleine de gratitude qui, au lendemain du décès de son père et en pleine construction personnelle, affronte aussi les tourments d’une querelle sur fond d’héritage. La bataille que se livrent en effet Laeticia Hallyday et le clan Smet fait très régulièrement la une des médias. De procès et en petites phrases, une conciliation entre les deux parties semble, pour le moment, impossible. Alors, interrogée sur ce qui lui manque, en l’absence de son père, Laura Smet répond simplement: «J’aimerais vraiment que l’on rende sa place à mon père à celle d’un immense artiste, un chanteur, un interprète comme il y en a eu peu, l’Elvis Presley français».

Un hommage plein de tendresse, auquel elle ajoute, l’air de rien: «Même si son image ne peut pas être ternie – son talent dépasse tout –, je sais qu’il n’aurait pas aimé ce qu’il se passe actuellement. Je le sais. Je suis sa fille, je ressens les choses. C’est tout ce que je peux dire aujourd’hui. Je continuerai à me battre, peut-être pas pour moi mais pour mes enfants, plus tard. Parce que mon père l’aurait voulu», semble-t-elle adresser à Laeticia, sans pour autant la citer.

Laura Smet en images

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