Le Valais fait un pas concret en direction d'une réintroduction de cours obligatoires pour propriétaires de chiens. Suite à un postulat du Grand conseil, le gouvernement cantonal émet une proposition qui sera examinée le 16 novembre par le parlement cantonal (archives).
Sänger und Bassist Günther Sigl (l-r), Saxophonist Otto Staniloi und Gitarrist Barny Murphy beim Jubiläumskonzert in München. Foto: Matthias Balk
Gitarrist Willie Duncan (l) und Gitarrist Barny Murphy beim Jubiläumskonzert in der Olympiahalle in München. Foto: Matthias Balk
Réintroduction de cours canins en bonne voie en Valais
Le Valais fait un pas concret en direction d'une réintroduction de cours obligatoires pour propriétaires de chiens. Suite à un postulat du Grand conseil, le gouvernement cantonal émet une proposition qui sera examinée le 16 novembre par le parlement cantonal (archives).
Sänger und Bassist Günther Sigl (l-r), Saxophonist Otto Staniloi und Gitarrist Barny Murphy beim Jubiläumskonzert in München. Foto: Matthias Balk
Gitarrist Willie Duncan (l) und Gitarrist Barny Murphy beim Jubiläumskonzert in der Olympiahalle in München. Foto: Matthias Balk
Le projet de réintroduction de cours canins obligatoires en Valais est en bonne voie. Le gouvernement cantonal a répondu favorablement à un postulat déposé en mai au Grand conseil. Il veut une solution simple et peu coûteuse.
L'exécutif cantonal propose d'imposer aux propriétaires de chiens le brevet de la Société cynologique suisse (SCS). Cet examen existe déjà et les cours peuvent être suivis dans toute organisation canine établie, écrit le gouvernement dans sa réponse au postulat.
Ce brevet répond aux exigences de sociabilisation des chiens. La réussite de l'examen atteste que le propriétaire est en mesure de contrôler son chien et de le rappeler en toute situation. Cet examen ne devrait se faire qu'une fois dans la vie du détenteur de chien et non pas à chaque nouveau chien.
Les frais d'examen pour l'obtention du brevet sont de l'ordre d'une centaine de francs à charge du propriétaire. Pour l'Etat, la charge serait la création d'un demi-poste pour un travail de contrôle et d'action en cas de non-respect.
Les postulants estimaient que si la situation actuelle était appréciable, c'est grâce aux cours suivis par les propriétaires de chiens. Ils demandaient que l'Etat maintienne son effort pour éviter une dégradation de l'actuelle qualité de cohabitation entre propriétaires de chiens, promeneurs, cyclistes, marcheurs, familles. Le gouvernement présentera sa proposition au Grand conseil lors de sa prochaine session le 16 novembre.
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