Maladies cardiaques Des experts de la santé mettent en garde contre la consommation de sel

Combien faut-il consommer de sel?

On trouve du sel dans chaque foyer, pour la simple et bonne raison qu’il est vital d’en manger.

Photo: Getty images

L’expression «le sel de l’existence» est donc entièrement justifiée.

Photo: Getty Images

Mais une consommation excessive de sel est mauvaise pour la santé. Alors, où se situe la limite?

Photo: Getty images

D’après l’OMS, un adulte devrait consommer moins de 5 grammes de sel par jour.

Photo: Getty Images

En Suisse, la consommation moyenne de sel par personne est nettement plus élevée: les femmes consomment 7,8 grammes de sel par jour et les hommes 10,6 grammes.

Photo: Getty Images

L’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) recommande de manger du sel iodé. Les dentistes conseillent de prendre du sel fluoré.

Photo: Getty Images

Pour diminuer sa consommation de sel, il faut éviter d’ajouter du sel dans un plat une fois que celui-ci a été servi.

Photo: Getty images

On peut aussi remplacer le sel par des herbes fraîches.

Photo: Getty Images

L’ajout d’épices permet de relever le goût d’un plat.

Photo: Getty Images

La cuisson au four ou à la poêle donne un petit goût de grillé à votre plat. Plus besoin de sel.

Photo: Getty images

En mangeant moins de plats cuisinés, vous pouvez diminuer votre consommation quotidienne de sel.

Photo: Getty Images

Ne vous laissez plus tenter par les snacks salés comme les chips ou les mélanges pour l'apéritif, vous diminuerez également votre consommation quotidienne de sel.

Photo: Getty Images

Les viandes saumurées, fumées et séchées sont également très salées.

Photo: Getty Images

Deux bonnes nouvelles: vous pouvez quand même manger un peu de sel, et votre palais s’habituera très vite aux aliments à faible teneur en sel.

Photo: Getty Images

Combien faut-il consommer de sel?

On trouve du sel dans chaque foyer, pour la simple et bonne raison qu’il est vital d’en manger.

Photo: Getty images

L’expression «le sel de l’existence» est donc entièrement justifiée.

Photo: Getty Images

Mais une consommation excessive de sel est mauvaise pour la santé. Alors, où se situe la limite?

Photo: Getty images

D’après l’OMS, un adulte devrait consommer moins de 5 grammes de sel par jour.

Photo: Getty Images

En Suisse, la consommation moyenne de sel par personne est nettement plus élevée: les femmes consomment 7,8 grammes de sel par jour et les hommes 10,6 grammes.

Photo: Getty Images

L’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) recommande de manger du sel iodé. Les dentistes conseillent de prendre du sel fluoré.

Photo: Getty Images

Pour diminuer sa consommation de sel, il faut éviter d’ajouter du sel dans un plat une fois que celui-ci a été servi.

Photo: Getty images

On peut aussi remplacer le sel par des herbes fraîches.

Photo: Getty Images

L’ajout d’épices permet de relever le goût d’un plat.

Photo: Getty Images

La cuisson au four ou à la poêle donne un petit goût de grillé à votre plat. Plus besoin de sel.

Photo: Getty images

En mangeant moins de plats cuisinés, vous pouvez diminuer votre consommation quotidienne de sel.

Photo: Getty Images

Ne vous laissez plus tenter par les snacks salés comme les chips ou les mélanges pour l'apéritif, vous diminuerez également votre consommation quotidienne de sel.

Photo: Getty Images

Les viandes saumurées, fumées et séchées sont également très salées.

Photo: Getty Images

Deux bonnes nouvelles: vous pouvez quand même manger un peu de sel, et votre palais s’habituera très vite aux aliments à faible teneur en sel.

Photo: Getty Images

Les adultes ne devraient pas consommer plus de six grammes de sel ou l’équivalent d’une cuillère à café par jour, et moitié moins pour les enfants. Une étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health tend à montrer que le sel augmente les risques de maladies cardiaques et de cancer de l’estomac.

Des chercheurs de l’Imperial College de Londres et de l’Université de Liverpool ont, pendant 13 ans, mené des recherches sur la population britannique concernant la consommation de sel et ses conséquences sur la santé. Le but était d’aboutir à des directives permettant d’encadrer le niveau de sel incorporé dans les produits de l’industrie agro-alimentaire.

Selon cette étude, depuis que les régulations concernant l’industrie ont été assouplies en 2011, la diminution de la consommation de sel au niveau nationale a stagné. Et ce changement dans les directives serait lié aux 9'900 cas de maladies cardio-vasculaires et aux 1'500 cas de cancers de l’estomac supplémentaires enregistrés entre 2011 et 2017. «Nous mangeons trop de sel. De précédentes recherches ont montré que les trois-quarts du sel que nous consommons sont cachés dans des produits alimentaires transformés, comme le pain, les plats préparés ou les soupes», a déclaré le professeur Martin O’Flaherty, co-auteur de cette étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Augmentation des maladies d'ici 2025

«Nos recherches montrent que nous avons maintenant besoin d’imposer un programme afin d’accélérer la baisse de la consommation de sel. Cela va nécessiter de définir des cibles claires et des pénalités afin de s’assurer que l’industrie agro-alimentaire réduit le niveau de sel dans ses produits. Autrement, les cas de cancers et d’attaques cardiaques pourraient augmenter», ajoute-t-il.

Il est conseillé de ne pas consommer plus de six grammes de sel par jour, soit une cuillère à café, pour les adultes et moitié moins pour les enfants. Pourtant, les adultes britanniques sont nombreux à consommer huit grammes par jour et deux personnes sur trois consomment trop de sel - un sel qui provient pour la plupart du temps de produits transformés. A partir de là, les chercheurs prévoient une hausse des cas de maladies cardiovasculaires estimée à 26'000 cas et 3'800 pour les cancers de l’estomac entre 2019 et 2025.

Un mois sans produire de déchets? Nous avons fait le test!

Voir 14 autres images

Un mois sans produire de déchets? Nous avons fait le test!

Déchets typiques d’un ménage suisse – et si l’on essayait de les ramener à zéro pendant un mois? Hannah Stettler en a fait l’expérience.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

Le mois Zero-Waste commence par une brosse à cheveux en fin de vie...

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

... et une éponge à remplacer au plus vite. C’est frustrant.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

Découverte du magasin Palette à Berne où toutes les denrées alimentaires sont exclusivement proposées en vrac: riz ...

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

... pâtes, légumes, épices...

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

... et même les cosmétiques.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

Le choix de produits liquides, solides ou en poudre est impressionnant.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

Choisir son produit, puis se servir.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

Point essentiel: ne pas oublier de noter sur le récipient ce que l’on vient d’acheter, y compris la date de péremption.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

Au marché, l’on a toujours fait ses achats sans emballage.

Lot d’emballages réutilisables indispensables pour faire ses achats: Hannah Stettler était équipée pour son test zéro déchet.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

Et voici les premiers achats qu’elle a effectués durant son mois expérimental.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

A droite le sac de Hannah Stettler après son mois zéro déchet, à gauche les ordures d’un mois normal.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

En dépit de tous les efforts, certains déchets sont inévitables.

Photo: Swisscom/Hannah Stettler

CoverMedia