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Mode La robe «Travolta» de la princesse Diana trouve finalement preneur
L'iconique robe que la princesse Diana avait portée lors d'une danse avec l'acteur John Travolta à la Maison Blanche a finalement été achetée mardi par une institution britannique, après ne pas avoir trouvé preneur la veille lors d'enchères.
Estimée entre 250'000 et 350'000 livres (297'000 et 416'000 euros), cette longue robe en velours bleu nuit et aux épaules dénudées a été vendue pour 220'000 livres (262'000 euros).
«Le vendeur était ravi, car il espérait qu'elle resterait au Royaume-Uni», a déclaré la maison de vente londonienne Kerry Taylor, qui organisait les enchères, dans un communiqué, sans pour autant préciser l'identité de l’institution britannique qui a acquis le bien.
Lady Di avait porté cette longue robe bleu nuit du couturier anglais Victor Edelstein à l'occasion d'un dîner donné en 1985 par le président américain Ronald Reagan (1981-1989), en l'honneur du prince et de la princesse de Galles.
La robe avait été immortalisée sur des photos où Diana dansait avec John Travolta au rythme de «You Should be Dancing», du film «La Fièvre du samedi soir».
Elle n'avait pas trouvé preneur lundi lors des enchères, n'atteignant pas le prix minimum fixé à 200'000 livres (près de 238'000 euros). Elle a alors été vendue de gré à gré.
En revanche, les prix de deux autres pièces appartenant à Lady Diana aussi vendues ce jour-là se sont envolés. Une robe en velours bleu, dessinée par Katherine Cusack en 1986, a été adjugée à 60'000 livres (frais inclus, 71'000 euros), le double de son estimation maximale.
Une robe plus courte de Catherine Walker, dans un style marin, que la princesse «portait en privé» selon la maison de vente, s'est vendue à 35'000 livres (41'600 euros), bien plus que son estimation de 6'000 livres.
La princesse, son compagnon Dodi Al-Fayed et leur chauffeur Henri Paul sont morts le 31 août 1997 dans un accident de voiture dans un tunnel sous le pont de l'Alma, à Paris.
Les secrets-beauté des têtes couronnées
Une peau impure? Pour les têtes couronnées, la question ne se pose manifestement pas. Face aux boutons qui pointent, la duchesse Meghan a une arme secrète imparable …
Photo: Getty Images
... l’huile d’arbre à thé. Par ailleurs, la jeune femme de 37 ans ne jure que par la lotion corporelle Nivea et la gymnastique faciale.
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Quelques heures à peine après la naissance du petit Louis, la duchesse Kate avait un teint frais à faire pâlir de jalousie. Son secret? Dans ce cas précis, une styliste professionnelle, sinon, des soins quotidiens du visage à base d’huile de rose musquée.
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La Reine aussi a ses cosmétiques préférés: depuis des décennies, elle n’utilise qu’une marque spécifique de vernis à ongles nude, ainsi qu’un rouge à lèvres très spécial.
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Pour éviter un conflit de couleur avec la robe qu’elle portait le jour de son couronnement en 1952, Elizabeth II a créé sa propre couleur de rouge à lèvres.
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Lady Diana préférait mettre l’accent sur ses yeux – même s’il y a eu quelques loupés au départ: «Le plus grand changement que j’ai apporté à son style a été d’abandonner l’eye-liner bleu», se souvient sa styliste Mary Greenwell. «Cela la vieillissait.»
Photo: Keystone
«Diana prenait très au sérieux les petits gestes quotidiens liés à sa beauté», se souvient la styliste. «Elle nettoyait sa peau, mettait de la crème et retouchait son maquillage deux fois par jour».
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La princesse Gracia Patricia de Monaco ne quittait jamais le palais sans sa crème pour les mains. Elle en a révélé la raison un jour à l’expert en beauté, Peter Lamas: «Les mains trahissent l’âge d’une femme bien avant toute autre partie du corps», cite-t-il dans le magazine «Shape».
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Pour sa petite-fille Charlotte Casiraghi, rien ne vaut un bon démaquillant: «Nettoyant et lotion sont pour moi des incontournables», reconnaissait récemment la jeune Monégasque dans le magazine «Vogue».
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