Après son lancement en fanfare en novembre aux Etats-Unis, la plateforme de streaming de Disney débarque mardi en France et dans plusieurs pays européens. Elle veut «apporter un peu de joie» en pleine crise de coronavirus.
Des films de la saga Star Wars, des séries Marvel, «La Reine des neiges», les films Pixar, «Les Simpsons», sans oublier des classiques comme «Blanche-Neige» ou «Cendrillon», le catalogue de Disney+ a de quoi faire pâlir d'envie la concurrence. Dans le secteur disputé du streaming, Disney+ a vite trouvé sa place, avec près de 29 millions d'abonnés quelques mois après son lancement aux Etats-Unis, Canada, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande et Australie.
Mardi, ce sera au tour du Royaume-Uni, de l'Irlande, la France, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, la Suisse et l'Autriche. La Belgique, le Portugal et les pays scandinaves devront quant à eux attendre cet été.
«On sent qu'il y a beaucoup d'attente en Europe et nous sommes très confiants», indique à l'AFP Kevin Mayer, qui supervise le département «Direct-to-consumer & International» (activités internationales, streaming, distribution et marketing des contenus Disney). «Nous espérons que le succès sera aussi grand qu'aux Etats-Unis et que le lancement se passera aussi bien, voire mieux car nous avons pu tester la technologie» poursuit-il, en référence aux ratés techniques du premier jour du service outre-Atlantique en raison de la forte demande.
Seule ombre au tableau, le grand événement de lancement prévu par le groupe a dû être annulé pour respecter les mesures de sécurité liées au coronavirus. Alors que des mesures de confinement ont été prises dans la plupart des pays où Disney+ s'apprête à ouvrir, avec notamment des enfants à occuper à la maison, le dirigeant refuse d'y voir un élément positif pour cette plateforme à visée familiale.
Marc Atallah présente son «Digital Dreams Festival»
Le nouveau festival dédié à la créativité numérique «Digital Dreams Festival» a été présenté lundi par Marc Atallah et son équipe. Co-produit par l’Université de Lausanne (UNIL), l’événement se tiendra du 6 au 8 septembre sur le site de l’université, entre concerts, performances, ateliers ou encore videomapping monumental. «Ce qui fait la particularité de ce festival, c’est qu’il est bâti avec des acteurs complètement différents les uns des autres» a relevé Marc Atallah, directeur du festival. «On a à la fois une dimension artistique, musicale, de méditation, de débat citoyen ou encore d’expérience de réalité virtuelle.»
29.04.2024
Marc Atallah présente son «Digital Dreams Festival»