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Actu people Melissa Benoist raconte les effroyables violences domestiques qu'elle a subies
L'actrice de Supergirl, Melissa Benoist, a subi d'horribles violences domestiques par le passé. Elle les a détaillées dans une vidéo glaçante postée sur la toile.
L'actrice Melissa Benoist a évoqué son expérience de victime de violences conjugales dans une vidéo. Elle révèle avoir subi des mois de violence aux mains d'un ancien partenaire avant de pouvoir mettre fin à cette romance toxique.
Les stars en guerre contre le harcèlement:
Ces actrices s'élèvent contre la violence sexuelle sur le lieu de travail.
Photo: Keystone
Adèle Haenel, 30 ans, est l'une des comédiennes les plus prisées du cinéma français
Photo: Keystone
Adèle Haenel a expliqué avoir été victime lorsqu'elle avait 12 ans d'«attouchements» et de «harcèlement» de la part du réalisateur Christophe Ruggia.
Photo: Keystone
La réalisatrice Mona Achache, ex-compagne de Christophe Ruggia, a témoigné en faveur d'Adèle Haenel: «Il m'avait confié avoir des sentiments amoureux pour Adèle lors de la tournée promotionnelle des "Diables".»
Photo: Keystone
Le parquet de Paris a annoncé le mercredi 6 novembre 2019 avoir ouvert une enquête préliminaire après les déclarations de l'actrice.
Photo: Keystone
Lâctrice Sand Van Roy avait déposé deux plaintes à l'encontre de Luc Besson, réalisateur, en 2018, classées sans suite en février 2019.
Photo: Keystone
L'actrice a déposé une nouvelle plainte, et l'affaire a été rouverte le 2 octobre 2019.
Photo: Keystone
Vanessa Paradis, Julie Gayet, compagne de François Hollande, ou encore l'écrivaine Leïla Slimani se sont mobilisées contre les violences avec #MaintenantOnAgit.
Photo: Keystone
Emma Stone est engagée dans la lutte contre les violences sexuelles sur le lieu de travail. Lors de la cérémonie des Golden Globes début janvier 2018, elle et d’autres collègues appellent les participantes à porter du noir lors de la soirée pour soutenir cette cause. Photos des initiatrices.
Photo: Keystone
Emma Stone et Andrew Garfield à la première française de «The Amazing Spider-Man 2» à Paris.
Photo: Keystone
Emma Stone en cuir noir.
Photo: Keystone
Emma Stone en 2011.
Photo: Keystone
Emma Stone en 2012.
Photo: Keystone
Emma Stone à Berlin en 2013.
Photo: Keystone
Cate Blanchett s'engage pour la même cause.
Photo: Keystone
Cate Blanchett lors d'une première à Londres en 2006.
Photo: Keystone
Elle appelle également les femmes à porter du noir pour la cérémonie des Golden Globes.
Photo: Keystone
En 2013.
Photo: Keystone
Cate Blanchett portait déjà du noir aux Golden Globes 2014.
Photo: Keystone
Natalie Portman est également une des initiatrices du mouvement. Elle a déjà souvent été habillée en noir, comme ici lors des Golden Globes 2006.
Photo: Keystone
Ou en 2013.
Photo: Keystone
Natalie Portman.
Photo: Keystone
Natalie Portman au Festival de Cannes 2015.
Photo: Keystone
Reese Witherspoon s'engage également.
Photo: Keystone
L'actrice se bat pour les droits des femmes.
Photo: Keystone
Elle se bat contre l’exploitation.
Photo: Keystone
Sa collègue Jennifer Aniston défend aussi cette initiative.
Photo: Keystone
En 2013 à Hollywood.
Photo: Keystone
Lors des Golden Globes 2010.
Photo: Keystone
Et à la même occasion en 2004.
Photo: Keystone
La chanteuse Taylor Swift est également très impliquée contre la violence sexuelle envers les femmes.
Photo: Keystone
Elle n’hésite pas à lever la voix.
Photo: Keystone
Taylor Swift lors MTV Video Music Awards 2013.
Photo: Keystone
Taylor Swift sait ce qui peut se passer dans le show-business.
Photo: Keystone
Elle veut mettre un terme à l’exploitation des femmes.
Photo: Keystone
Sarah Jessica Parker soutient aussi l'initiative.
Photo: Keystone
Elle ne veut plus que les femmes se taisent.
Photo: Keystone
Toutes ces femmes sont en guerre contre le harcèlement.
Photo: Keystone
Susan Sarandon est une actice qui ne se laisse pas faire.
Photo: Keystone
Elle s'engage pour les femmes.
Photo: Keystone
Tout comme sa collègue Meryl Streep.
Photo: Keystone
En 2016.
Photo: Keystone
Meryl Streep à l'été 2017. Elle poursuit son engagement pour les droits des femmes.
Photo: Keystone
La star qui est maintenant heureuse en mariage avec Chris Wood, admet qu'elle n'aurait jamais pensé avoir le courage de raconter son histoire. «Je suis une survivante de violences domestiques, quelque chose que je n'aurais jamais pensé dire, et encore moins diffuser sur la toile», entame-t-elle. Si elle refuse de nommer son bourreau, elle le décrit comme une «personne magnanime, qui ne vous donne pas vraiment le choix de ne pas être attirée vers lui». «Il pouvait être charmant, drôle, manipulateur, déviant», ajoute-t-elle.
«Il était plus jeune que moi, mais mature. Pendant quelque temps, je n'étais pas intéressée. J'étais célibataire depuis peu, supportant le changement dans ma vie», décrit-elle. Puis il a commencé à lui plaire, et les abus, d'abord émotionnels, ont commencé. «Le travail était généralement un sujet délicat, se remémore-t-elle. Il ne voulait pas que j'embrasse mon partenaire ou aie des scènes de flirt, ce qui était très dur à éviter. Donc j'ai commencé à refuser des auditions, des boulots, et des amitiés pour ne pas lui faire de mal.»
Puis un jour, il lui a lancé un smoothie au visage. «La vérité crue est que j'ai appris à savoir ce que cela faisait d'être plaquée au sol et giflée à répétition, frappée si fort que j'en avais le souffle coupé, tirée par les cheveux sur le pavé, de recevoir des coups de tête, d'être pincée si fort que ma peau saignait, lancée si fort dans un mur que celui-ci se brisait, étranglée... J'ai appris à m'enfermer dans des pièces, puis à arrêter car la porte était inévitablement enfoncée. J'ai appris à ne pas donner de valeur à mes possessions... et à moi-même», détaille-t-elle dans un récit glaçant.
Le coup de grâce est arrivé lorsque son petit ami lui a lancé un iPhone en plein visage, lui causant des dommages irréparables à la vision. «L'impact a déchiré mon iris, a manqué de rompre mon globe oculaire, lacéré ma peau et brisé mon nez. Mon œil gauche a enflé, ma lèvre gonflait», décrit-elle.
Elle a alors pris la décision de quitter cette relation toxique, même si ce ne fut pas facile. «Je ressentais un sentiment de culpabilité de partir, de blesser quelqu'un que j'avais si longtemps protégé, et ce sentiment de deuil de quitter quelque chose de familier. Heureusement, j'ai fait confiance à d'autres personnes, et je n'ai jamais perdu la clarté de me dire que je ne méritais pas ça», conclut-elle.
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