L'année 2019 restera dans les annales du château de Chillon. Le site touristique a comptabilisé 431'946 entrées, du jamais vu. L'année 2020 verra l'achèvement des travaux d'entretien et d'embellissement extérieurs. Un pavillon cafétéria ouvrira en mai.
Pour la troisième année consécutive, le château a accueilli plus de 400'000 visiteurs. Cette fréquentation en hausse est le fruit d'une gestion plus dynamique et entrepreneuriale initiée en 2002, explique mardi la Fondation du château de Chillon dans un communiqué.
Suisses et Chinois
L'affluence par provenance reste stable: les Suisses (22%) demeurent les principaux visiteurs de la forteresse lémanique. Suivent les Chinois (15%), les Américains (12%), puis la France (6,5%) et la Corée du Sud (4%). Depuis 2019, l'audioguide, disponible en neuf langues, propose également le coréen.
Les visites guidées ont connu un grand succès, en augmentation de 21%. La plus prisée reste celle suivie d'une dégustation des vins du château. Parmi la quarantaine de manifestations organisées durant année, la fête de Noël, avec contes, musique, danse et artisanat d'antan, a attiré 20% de visiteurs de plus qu'en 2018.
Un Café à Pâques
Depuis début 2020, le château a élargi ses horaires de visite. Après trois ans de travaux, le Café Byron ouvrira à Pâques dans un pavillon en face de la forteresse. Dès octobre, une exposition sera consacrée aux «Vies de princesses, Les femmes de la Maison de Savoie».
«The Moment» de Yongqing Bao (Chine), vainqueur ex-æquo de la catégorie «Comportement des mammifères» et lauréat du prix du «Photographe animalier de l’année»: la photo prise au Tibet montre une marmotte surprise après son hibernation par une renarde et ses trois petits.
Photo: Yongqing Bao/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Equal Match» d’Ingo Arndt (Allemagne), vainqueur ex-æquo de la catégorie «Comportement des mammifères»: un puma attaque un guanaco, un animal du genre Lama, dans la région de Torres del Paine en Patagonie, au Chili.
Photo: Ingo Arndt/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Last Gasp» d’Adrian Hirschi (Suisse), lauréat du prix de reconnaissance dans la catégorie «Comportement des mammifères»: un hippopotame mâle attrape un jeune hippopotame au bord du lac Kariba, au Zimbabwe. L’hippopotame tente tout d’abord de noyer le petit, avant d’achever l’infanticide en l’écrasant avec ses mâchoires.
Photo: Adrian Hirschi/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Face of Deception» de Ripan Biswas (Inde), vainqueur de la catégorie «Portrait animal»: une minuscule araignée-crabe imite une fourmi, une espèce faisant partie de ses proies.
Photo: Ripan Biswas/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Pondworld» de Manuel Plaickner (Italie), vainqueur de la catégorie «Comportement des amphibiens et reptiles»: des grenouilles se reproduisent dans un étang du Tyrol du Sud.
Photo: Manuel Plaickner/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Land of the Eagle» d’Audun Rikardsen (Norvège), vainqueur de la catégorie «Comportement des oiseaux»: depuis une cachette bien protégée, le photographe est parvenu à immortaliser le décollage d’un aigle royal.
Photo: Audun Rikardsen/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Garden of Eels» de David Doubilet (Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Vie sous-marine»: colonie d’anguilles de jardin dans un récif de corail au large des Philippines.
Photo: David Doubilet,/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Architectural Army» de Daniel Kronauer (Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Comportement des invertébrés»: une colonie de fourmis s’étend sur 400 mètres au Costa Rica. Ce nid abrite la reine et les larves.
Photo: Daniel Kronauer/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Snow-Plateau Nomads» de Shangzhen Fan (Chine), vainqueur de la catégorie «Animaux dans leur environnement»: sous des températures glaciales, un troupeau d’antilopes du Tibet, une espèce menacée, se fraie un chemin à travers le désert de Kumukuli dans la réserve naturelle nationale d’Altun Shan (Chine).
Photo: Shangzhen Fan/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Tapestry of Life» de Zorica Kovacevic (Serbie/Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Plantes et champignons»: les branches d’un cyprès de Monterey en Californie sont envahies par des algues. La couleur orange est apportée par des pigments appelés caroténoïdes. Les tresses grises sont un mélange d’algues et de champignons.
Photo: Zorica Kovacevic/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Freshwater Forest» de Michel Roggo (Suisse), lauréat du prix de reconnaissance dans la catégorie «Plantes et champignons»: souches fines du genre Myriophyllum dans le lac de Neuchâtel.
Photo: Michel Roggo/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Rat Pack» de Charlie Hamilton James (Royaume-Uni), vainqueur de la catégorie «Faune urbaine»: des rats grouillent à l’entrée d’un égout à New York. Leurs ancêtres sont arrivés aux Etats-Unis avec les Européens.
Photo: Charlie Hamilton James/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Creation» de Luis Vilariño Lopez (Espagne), vainqueur de la catégorie «Environnements terrestres»: de la lave s’échappe du Kilauea (Hawaï) et coule dans l’océan Pacifique.
Photo: Luis Vilariño Lopez/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Snow Exposure» de Max Waugh, (Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Noir et Blanc»: un bison affronte une tempête de neige dans le parc national de Yellowstone, aux Etats-Unis.
Photo: Max Waugh/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Humming Surprise» de Thomas Easterbrook (Royaume-Uni), vainqueur de la catégorie «10 ans et moins»: un moro-sphinx aspire le nectar d’une plante de sauge en France.
Photo: Thomas Easterbrook/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Night Glow» de Cruz Erdmann (Nouvelle-Zélande), vainqueur de la catégorie «11-14 ans»: cliché nocturne d’un calmar de récif.
Photo: Cruz Erdmann/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Early Riser» de Riccardo Marchgiani (Italie), vainqueur de la catégorie «15-17 ans»: un gélada femelle escalade un rocher au lever du soleil avec son petit en Ethiopie.
Photo: Riccardo Marchgiani/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Huddle» de Stefan Christmann (Allemagne), vainqueur de la catégorie «Portfolio»: plus de 5000 manchots empereurs s’amassent dans la baie d’Atka, dans l’Antarctique. Ils doivent couver les œufs à des températures descendant jusqu’à -40 °C.
Photo: Stefan Christmann/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Frozen Moment» de Jérémie Villet (France), lauréat du prix de l’«étoile montante» pour son portfolio: deux mouflons de Dall mâles se disputent un territoire dans le Yukon, au Canada.
Photo: Jérémie Villet/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Another Barred Migrant» d’Alejandro Prieto (Mexique), lauréat du prix du photojournalisme animalier dans la catégorie «Meilleure image individuelle»: dans l’Etat américain de l’Arizona, l’image d’un jaguar, une espèce presque éteinte dans la région, a été projetée sur un tronçon de la barrière frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique. Le mur frontalier proposé par Donald Trump devrait avoir un impact très négatif sur les populations d’animaux sauvages.
Photo: Alejandro Prieto/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Show Time» de Jasper Doest (Pays-Bas), lauréat du prix du photojournalisme animalier dans la catégorie «Meilleur reportage»: le singe Riku s’est produit trois fois par jour pendant 17 ans dans un théâtre de comédie de Tokyo. En 2018, l’animal a finalement été retiré du spectacle.
Photo: Jasper Doest/Wildlife Photographer of the Year 2019
Nouvelle installation de tri des bagages à l'aéroport de Zurich
L'aéroport de Zurich a présenté mardi sa nouvelle installation de tri des bagages. En moyenne, 30'000 bagages passent chaque jour à l'aéroport, et jusqu'à 50'000 les jours de pointe. Le coût de l'installation, qui sera totalement achevée en 2027, est estimé à environ 450 millions de francs, a indiqué mardi l'aéroport de Zurich. Le passage de l'ancienne à la nouvelle installation a eu lieu en novembre 2023. L'ancien système de tri sera définitivement mis hors service cet automne.
18.06.2024
Algérie: l'oasis de Djanet attire de plus en plus de touristes occidentaux
Djanet, oasis du Sahara algérien, attire de plus en plus de touristes étrangers, désireux de se ressourcer et de découvrir un paysage désertique unique au monde.
21.08.2023
Nouvelle offre à la place de la Carte journalière Commune dès 2024
La carte journalière Commune papier actuelle disparaîtra à la fin de l'année et sera remplacée dès l'année prochaine par une «carte journalière dégriffée Commune». Celle-ci sera disponible pour la 1e et la 2e classe, avec ou sans abonnement demi-tarif.
09.02.2023
Nouvelle installation de tri des bagages à l'aéroport de Zurich
Algérie: l'oasis de Djanet attire de plus en plus de touristes occidentaux
Nouvelle offre à la place de la Carte journalière Commune dès 2024