Au revoir les geeks! Sheldon Cooper et ses acolytes feront leurs adieux à leur public en 2019. La série «The Big Bang Theory» devrait se terminer sur un puissant boom créatif.
En attendant, laissons-nous gagner par la nostalgie — et passons en revue tous les faits amusants sur cette série à succès.
Aux États-Unis, la série a démarré en 2007 et fait un tabac depuis lors.
Depuis son mariage avec Leonard, Penny s'appelle Hofstadter — mais qu'en était-il avant? Pour l'instant, son nom de famille n'a jamais été divulgué dans la série. Ou alors s'appelle-t-elle simplement «Penny Penny Penny»? Si tel est le cas, Sheldon est bien le seul à le savoir.
Si seulement elle s'appelait Penny, comme son rôle dans la série «The Big Bang Theory». Cependant, Kaley Cuoco préfère nous compliquer la tâche. Coco... Kuh Oko?... Et zut! Non, la prononciation correcte est: «Keyli Kuokoh».
Howard au clavier, Amy à la harpe, Leonard au violoncelle, Raj à la guitare: les acteurs jouent tous les intermèdes musicaux eux-mêmes — et ont même acquis certaines aptitudes tout spécialement pour la série.
Toutefois, c'est Jim Parsons qui a dû relever le plus gros challenge: il a dû apprendre à jouer du thérémine. Il s'agit d'un instrument électronique très complexe dont les sons sont issus de la manipulation de champs magnétiques. Il figure notamment dans l'indicatif musical de «Star Trek».
Il admire M. Spock pour sa logique et n'hésite pas à se déguiser en M. Data (à gauche) lorsqu'il se rend à des conventions — tous deux sont des héros issus de la série «Star Trek». Cependant, Jim Parsons, l'interprète du roi des geeks Sheldon Cooper, a admis n'avoir jamais vu un seul épisode de «Star Trek». Ni de «Doctor Who». Pardon?
Katey Sagal («Mariés, deux enfants»), alias la mère de Penny, a fait sa toute première apparition dans la série dans le premier épisode de la saison 10. Dans la série américaine «Touche pas à mes filles» (2002-2005), elle avait déjà formé un duo mère-fille avec Kaley Cuoco (à gauche). Mais beaucoup d'autres vieilles connaissances se sont également retrouvées sur le tournage de «The Big Bang Theory…
Ainsi, Johnny Galecki avait déjà donné la réplique à Sara Gilbert (photo) et Laurie Metcalf (la mère de Sheldon) dans «Roseanne», ainsi qu'à Mayim Bialik (Amy) dans la série «Blossom».
En parlant de Laurie Metcalf, qui joue la mère de Sheldon dans «The Big Bang Theory»…
Dans le spin-off «Young Sheldon», sa fille Zoe Perry (photo) incarne à son tour la mère du jeune Sheldon (Iain Armitage).
C'est Jim Parsons qui a eu l'idée du spin-off «Young Sheldon»: l'interprète de Sheldon Cooper, le geek de «The Big Bang Theory», a proposé aux producteurs de la série à succès de tourner un spin-off axée sur l'enfance de ce génie des plus extravagants.
Avec une fortune estimée à 600 millions de dollars, Chuck Lorre est un des hommes les mieux payés de la télévision. D'ailleurs, «The Big Bang Theory» et «Mon Oncle Charlie» sont loin d'être ses seuls succès: il a travaillé en tant que scénariste pour «Roseanne», a créé les séries humoristiques «Cybill» et «Dharma & Greg» — et a même écrit le tube solo «French Kissin' In The USA» pour la chanteuse de Blondie, Debbie Harry.
Quand Sheldon est inquiet ou malade, une seule chose peut lui remonter le moral: la chanson «Soft Kitty». Cette chanson, «Doux chaton» en français, existe vraiment — et date des années 30. Le producteur Bill Prady a découvert cette comptine australienne le jour où sa fille l'a chantée en maternelle.
De nombreuses scènes de la série se déroulent dans la cage d'escalier — et on a souvent l'impression que les acteurs montent de plusieurs étages. En réalité, c'est toujours le même décor, qui doit sans cesse être modifié pour les différentes scènes. Pour tous ceux qui l'auraient oublié: l'ascenseur est en panne depuis que la bande d'amis a voulu y tester un carburant pour fusée.
Au cours des onze dernières années, les stars de la sitcom ont connu une ascension fulgurante et font désormais partie des acteurs de série les mieux payés. Jim Parsons, Johnny Galecki, Kaley Cuoco, Kunal Nayyar et Simon Helberg toucheraient maintenant près d'un million de dollars par épisode – et cette somme serait encore plus élevée si les acteurs ne renonçaient pas à une partie de leur cachet afin que…
... leurs collègues Melissa Rauch et Mayim Bialik puissent bénéficier d'un salaire d'«au moins» 450'000 dollars. Cependant, selon de récentes rumeurs, ces différences de cachets auraient créé des tensions entre les acteurs et c'est la perspective de futures négociations qui aurait entraîné la fin de la série.
Dans «The Big Bang Theory», Bernadette est déjà maman (bientôt de deux enfants). Fin de l'année dernière, Melissa Rauch, qui incarne ce personnage à l'écran, a également donné naissance à un enfant dans la vraie vie: la petite princesse de l'actrice de 38 ans s'appelle Sadie.
Ils ne forment pas un couple qu'à l'écran: les interprètes de Leonard et Penny, Johnny Galecki et Kaley Cuoco, sont tombés amoureux sur le tournage de «The Big Bang Theory» et sont restés ensemble de 2007 à 2009, comme l'a révélé Kaley Cuoco lors d'une interview.
Malgré leur séparation, les deux acteurs s'entendent à merveille — et n'hésitent pas à flirter devant la caméra, si bien qu'on se demande s'ils n'ont pas encore des sentiments l'un pour l'autre.
Kaley Cuoco n'est pas la seule ex de Johnny Galecki à jouer dans la série. L'acteur a également vécu une longue histoire avec Sara Gilbert, qui incarne le Dr Leslie Winkle. Ils ont quitté l'enfance ensemble, devant les caméras de la série «Roseanne» — et sont tombés amoureux l'un de l'autre dans la vraie vie. Sara Gilbert s'est ensuite découvert une attirance pour les femmes et est aujourd'hui mariée à Linda Perry, la chanteuse des 4 Non Blondes.
Alors que Leonard a déjà vu Penny nue à plusieurs reprises, Sheldon a dû la sécher, l'habiller et la conduire à l'hôpital suite à un accident dans la douche. Même Raj a un jour pu profiter du spectacle — après une soirée un peu trop alcoolisée sans conséquences graves. Seul Howard n'a pas encore eu ce privilège…
Á l'exception de Penny et Howard, tous les personnages principaux de la série «The Big Bang Theory» sont titulaires d'un doctorat. Mais la seule actrice à posséder un tel titre est Mayim Bialik, alias Amy Farrah Fowler: elle a obtenu son doctorat en neurosciences à l'Université de Californie. Sa thèse s'intitulait: «Hypothalamic regulation in relation to maladaptive, obsessive-compulsive, affiliative, and satiety behaviors in Prader-Willi syndrome». Ah, quand même…
Dans les yeux! Regardez Leonard dans les yeux! Vous verrez alors que vous ne voyez rien. Pas de verres. La raison est simple: comme Johnny Galecki est beaucoup plus petit que son collègue Jim Parsons, il doit sans cesse lever la tête pour le regarder. Si ses lunettes étaient dotées de verres, l'éclairage utilisé pour le tournage s'y refléterait.
Jeux vidéo, cartes à collectionner, bandes dessinées, séries, films — du fait des passions de nos geeks, la série est truffée de toute sorte d'articles de merchandising. Cependant, certains produits sont parfois placés de manière intentionnelle. L'ordinateur portable de Sheldon, par exemple, est signé Alienware, une célèbre marque de matériel informatique pour gamers,…
... mais les réalisateurs de la série mettent également en lumière des gels désinfectants pour les mains, de l'eau minérale en provenance d'îles lointaines et de nouveaux modèles de consoles, comme la PlayStation 4 ou la Xbox One, ce qui a valu à la série d'être félicitée (certes, de façon très informelle) à plusieurs reprises pour son placement de produit.
Quand Sheldon vient de duper quelqu'un et souhaite exprimer sa joie, il crie «Bazinga!» — la première fois qu'il le fait, c'est dans le dernier épisode de la saison 2. Cette formule, introduite par un auteur de la série qui, armé d'un vieux pamplemousse, adorait jouer des tours à ses collègues sur le plateau de tournage, veut tout simplement dire «Je t'ai eu!».
Même les biologistes ont de l'humour: en 2012, le Brésilien Andre Nemesio de Barros Pereira a rendu hommage au personnage de Sheldon Cooper en baptisant une espèce d'abeille récemment découverte «euglossa bazinga». Ce qui est amusant, c'est que le geek est allergique à ces petites bestioles.
Sheldon, Leo, Hovart, Raj et Natasha? Non, ce ne sont pas des fautes de frappe: il s'agit des personnages d'une copie conforme de la série tournée en Biélorussie et intitulée «The Theorists». La société de production américaine en a eu connaissance alors que la série en était déjà à sa troisième saison et a envisagé d'entamer des poursuites judiciaires. Mais il n'en fut rien: lorsque les acteurs biélorusses, qui ne connaissaient pas l'existence de la série originale, ont appris la chose, ils ont tout laissé tomber.
Si vous avez toujours voulu savoir comment étaient disposés les appartements de Leonard, Sheldon et Penny, vous pouvez dire merci à ces quelques fans particulièrement futés. Ces derniers en ont construit une version 3D. Une seule question demeure: comment Penny, avec son simple salaire de serveuse, a-t-elle pu se permettre de vivre dans un appartement aussi spacieux pendant toutes ces années?
Des toilettes spatiales au chat de Schrödinger: toutes les théories et recherches présentées dans la série sont scientifiquement correctes. Un homme y veille: le professeur de physique et d'astronomie David Saltzberg. Il a confié au «FAZ» en quoi consistait sa mission: «Les auteurs m'envoient la première version du scénario de l'épisode en question. Le script est composé d'espaces vides où il est indiqué: "Ajouter un peu de physique ici, s'il vous plaît."»
Le premier est un bourreau des cœurs et le deuxième un grand timide. Cependant, Leonardo DiCaprio et Sheldon Cooper ont quelque chose en commun, dans la version allemande, tout du moins: la voix de Gerrit Schmidt-Foss.
Plus de 30 stars ont déjà fait une apparition dans «The Big Bang Theory». Parmi elles, on retrouve notamment l'acteur japonais George «Mr. Sulu» Takei («Star Trek»), le directeur de Tesla Elon Musk ou encore l'actrice Carrie Fisher («Star Wars»), aujourd'hui décédée.
«The Big Bang Theory» en images
Au revoir les geeks! Sheldon Cooper et ses acolytes feront leurs adieux à leur public en 2019. La série «The Big Bang Theory» devrait se terminer sur un puissant boom créatif.
En attendant, laissons-nous gagner par la nostalgie — et passons en revue tous les faits amusants sur cette série à succès.
Aux États-Unis, la série a démarré en 2007 et fait un tabac depuis lors.
Depuis son mariage avec Leonard, Penny s'appelle Hofstadter — mais qu'en était-il avant? Pour l'instant, son nom de famille n'a jamais été divulgué dans la série. Ou alors s'appelle-t-elle simplement «Penny Penny Penny»? Si tel est le cas, Sheldon est bien le seul à le savoir.
Si seulement elle s'appelait Penny, comme son rôle dans la série «The Big Bang Theory». Cependant, Kaley Cuoco préfère nous compliquer la tâche. Coco... Kuh Oko?... Et zut! Non, la prononciation correcte est: «Keyli Kuokoh».
Howard au clavier, Amy à la harpe, Leonard au violoncelle, Raj à la guitare: les acteurs jouent tous les intermèdes musicaux eux-mêmes — et ont même acquis certaines aptitudes tout spécialement pour la série.
Toutefois, c'est Jim Parsons qui a dû relever le plus gros challenge: il a dû apprendre à jouer du thérémine. Il s'agit d'un instrument électronique très complexe dont les sons sont issus de la manipulation de champs magnétiques. Il figure notamment dans l'indicatif musical de «Star Trek».
Il admire M. Spock pour sa logique et n'hésite pas à se déguiser en M. Data (à gauche) lorsqu'il se rend à des conventions — tous deux sont des héros issus de la série «Star Trek». Cependant, Jim Parsons, l'interprète du roi des geeks Sheldon Cooper, a admis n'avoir jamais vu un seul épisode de «Star Trek». Ni de «Doctor Who». Pardon?
Katey Sagal («Mariés, deux enfants»), alias la mère de Penny, a fait sa toute première apparition dans la série dans le premier épisode de la saison 10. Dans la série américaine «Touche pas à mes filles» (2002-2005), elle avait déjà formé un duo mère-fille avec Kaley Cuoco (à gauche). Mais beaucoup d'autres vieilles connaissances se sont également retrouvées sur le tournage de «The Big Bang Theory…
Ainsi, Johnny Galecki avait déjà donné la réplique à Sara Gilbert (photo) et Laurie Metcalf (la mère de Sheldon) dans «Roseanne», ainsi qu'à Mayim Bialik (Amy) dans la série «Blossom».
En parlant de Laurie Metcalf, qui joue la mère de Sheldon dans «The Big Bang Theory»…
Dans le spin-off «Young Sheldon», sa fille Zoe Perry (photo) incarne à son tour la mère du jeune Sheldon (Iain Armitage).
C'est Jim Parsons qui a eu l'idée du spin-off «Young Sheldon»: l'interprète de Sheldon Cooper, le geek de «The Big Bang Theory», a proposé aux producteurs de la série à succès de tourner un spin-off axée sur l'enfance de ce génie des plus extravagants.
Avec une fortune estimée à 600 millions de dollars, Chuck Lorre est un des hommes les mieux payés de la télévision. D'ailleurs, «The Big Bang Theory» et «Mon Oncle Charlie» sont loin d'être ses seuls succès: il a travaillé en tant que scénariste pour «Roseanne», a créé les séries humoristiques «Cybill» et «Dharma & Greg» — et a même écrit le tube solo «French Kissin' In The USA» pour la chanteuse de Blondie, Debbie Harry.
Quand Sheldon est inquiet ou malade, une seule chose peut lui remonter le moral: la chanson «Soft Kitty». Cette chanson, «Doux chaton» en français, existe vraiment — et date des années 30. Le producteur Bill Prady a découvert cette comptine australienne le jour où sa fille l'a chantée en maternelle.
De nombreuses scènes de la série se déroulent dans la cage d'escalier — et on a souvent l'impression que les acteurs montent de plusieurs étages. En réalité, c'est toujours le même décor, qui doit sans cesse être modifié pour les différentes scènes. Pour tous ceux qui l'auraient oublié: l'ascenseur est en panne depuis que la bande d'amis a voulu y tester un carburant pour fusée.
Au cours des onze dernières années, les stars de la sitcom ont connu une ascension fulgurante et font désormais partie des acteurs de série les mieux payés. Jim Parsons, Johnny Galecki, Kaley Cuoco, Kunal Nayyar et Simon Helberg toucheraient maintenant près d'un million de dollars par épisode – et cette somme serait encore plus élevée si les acteurs ne renonçaient pas à une partie de leur cachet afin que…
... leurs collègues Melissa Rauch et Mayim Bialik puissent bénéficier d'un salaire d'«au moins» 450'000 dollars. Cependant, selon de récentes rumeurs, ces différences de cachets auraient créé des tensions entre les acteurs et c'est la perspective de futures négociations qui aurait entraîné la fin de la série.
Dans «The Big Bang Theory», Bernadette est déjà maman (bientôt de deux enfants). Fin de l'année dernière, Melissa Rauch, qui incarne ce personnage à l'écran, a également donné naissance à un enfant dans la vraie vie: la petite princesse de l'actrice de 38 ans s'appelle Sadie.
Ils ne forment pas un couple qu'à l'écran: les interprètes de Leonard et Penny, Johnny Galecki et Kaley Cuoco, sont tombés amoureux sur le tournage de «The Big Bang Theory» et sont restés ensemble de 2007 à 2009, comme l'a révélé Kaley Cuoco lors d'une interview.
Malgré leur séparation, les deux acteurs s'entendent à merveille — et n'hésitent pas à flirter devant la caméra, si bien qu'on se demande s'ils n'ont pas encore des sentiments l'un pour l'autre.
Kaley Cuoco n'est pas la seule ex de Johnny Galecki à jouer dans la série. L'acteur a également vécu une longue histoire avec Sara Gilbert, qui incarne le Dr Leslie Winkle. Ils ont quitté l'enfance ensemble, devant les caméras de la série «Roseanne» — et sont tombés amoureux l'un de l'autre dans la vraie vie. Sara Gilbert s'est ensuite découvert une attirance pour les femmes et est aujourd'hui mariée à Linda Perry, la chanteuse des 4 Non Blondes.
Alors que Leonard a déjà vu Penny nue à plusieurs reprises, Sheldon a dû la sécher, l'habiller et la conduire à l'hôpital suite à un accident dans la douche. Même Raj a un jour pu profiter du spectacle — après une soirée un peu trop alcoolisée sans conséquences graves. Seul Howard n'a pas encore eu ce privilège…
Á l'exception de Penny et Howard, tous les personnages principaux de la série «The Big Bang Theory» sont titulaires d'un doctorat. Mais la seule actrice à posséder un tel titre est Mayim Bialik, alias Amy Farrah Fowler: elle a obtenu son doctorat en neurosciences à l'Université de Californie. Sa thèse s'intitulait: «Hypothalamic regulation in relation to maladaptive, obsessive-compulsive, affiliative, and satiety behaviors in Prader-Willi syndrome». Ah, quand même…
Dans les yeux! Regardez Leonard dans les yeux! Vous verrez alors que vous ne voyez rien. Pas de verres. La raison est simple: comme Johnny Galecki est beaucoup plus petit que son collègue Jim Parsons, il doit sans cesse lever la tête pour le regarder. Si ses lunettes étaient dotées de verres, l'éclairage utilisé pour le tournage s'y refléterait.
Jeux vidéo, cartes à collectionner, bandes dessinées, séries, films — du fait des passions de nos geeks, la série est truffée de toute sorte d'articles de merchandising. Cependant, certains produits sont parfois placés de manière intentionnelle. L'ordinateur portable de Sheldon, par exemple, est signé Alienware, une célèbre marque de matériel informatique pour gamers,…
... mais les réalisateurs de la série mettent également en lumière des gels désinfectants pour les mains, de l'eau minérale en provenance d'îles lointaines et de nouveaux modèles de consoles, comme la PlayStation 4 ou la Xbox One, ce qui a valu à la série d'être félicitée (certes, de façon très informelle) à plusieurs reprises pour son placement de produit.
Quand Sheldon vient de duper quelqu'un et souhaite exprimer sa joie, il crie «Bazinga!» — la première fois qu'il le fait, c'est dans le dernier épisode de la saison 2. Cette formule, introduite par un auteur de la série qui, armé d'un vieux pamplemousse, adorait jouer des tours à ses collègues sur le plateau de tournage, veut tout simplement dire «Je t'ai eu!».
Même les biologistes ont de l'humour: en 2012, le Brésilien Andre Nemesio de Barros Pereira a rendu hommage au personnage de Sheldon Cooper en baptisant une espèce d'abeille récemment découverte «euglossa bazinga». Ce qui est amusant, c'est que le geek est allergique à ces petites bestioles.
Sheldon, Leo, Hovart, Raj et Natasha? Non, ce ne sont pas des fautes de frappe: il s'agit des personnages d'une copie conforme de la série tournée en Biélorussie et intitulée «The Theorists». La société de production américaine en a eu connaissance alors que la série en était déjà à sa troisième saison et a envisagé d'entamer des poursuites judiciaires. Mais il n'en fut rien: lorsque les acteurs biélorusses, qui ne connaissaient pas l'existence de la série originale, ont appris la chose, ils ont tout laissé tomber.
Si vous avez toujours voulu savoir comment étaient disposés les appartements de Leonard, Sheldon et Penny, vous pouvez dire merci à ces quelques fans particulièrement futés. Ces derniers en ont construit une version 3D. Une seule question demeure: comment Penny, avec son simple salaire de serveuse, a-t-elle pu se permettre de vivre dans un appartement aussi spacieux pendant toutes ces années?
Des toilettes spatiales au chat de Schrödinger: toutes les théories et recherches présentées dans la série sont scientifiquement correctes. Un homme y veille: le professeur de physique et d'astronomie David Saltzberg. Il a confié au «FAZ» en quoi consistait sa mission: «Les auteurs m'envoient la première version du scénario de l'épisode en question. Le script est composé d'espaces vides où il est indiqué: "Ajouter un peu de physique ici, s'il vous plaît."»
Le premier est un bourreau des cœurs et le deuxième un grand timide. Cependant, Leonardo DiCaprio et Sheldon Cooper ont quelque chose en commun, dans la version allemande, tout du moins: la voix de Gerrit Schmidt-Foss.
Plus de 30 stars ont déjà fait une apparition dans «The Big Bang Theory». Parmi elles, on retrouve notamment l'acteur japonais George «Mr. Sulu» Takei («Star Trek»), le directeur de Tesla Elon Musk ou encore l'actrice Carrie Fisher («Star Wars»), aujourd'hui décédée.
Vous êtes encore sous le choc de l'annonce de la fin de la série? Pour vous réconforter, nous avons compilé quelques faits intéressants et amusants sur la série à succès «The Big Bang Theory».
Chat de Schrödinger, matière noire, théorie des cordes — bon nombre d'épisodes abordent un phénomène scientifique complexe; la formule du succès de «The Big Bang Theory», en revanche, est extrêmement simple: les personnages ne sont pas des héros, ce sont des geeks intelligents dotés de nombreuses manies ainsi que de goûts et de passions bizarres qui sont d'ordinaire considérés comme ringards. Ou plutôt: qui étaient considérés comme ringards.
Car Sheldon (Jim Parsons), Leonard (Johnny Galecki), Howard (Simon Helberg), Rajesh (Kunal Nayyar) et la charmante Penny (Kaley Cuoco), la voisine d'à côté, ont permis à l'univers geek de gagner en crédibilité. La série fait partie des productions les plus populaires au monde et les acteurs se classent parmi les mieux payés de la planète — et pourtant, tout va s'arrêter. Comme l'ont désormais annoncé les concepteurs de la série, «The Big Bang Theory» prendra fin en 2019. Mais il reste encore assez de temps pour passer en revue quelques faits farfelus concernant la sitcom. Parcourez notre galerie pour découvrir les 30 meilleurs.
«Crazy Rich Asians»: le film en images
«Crazy Rich Asians»: le film en images
«Crazy Rich Asians» est une comédie romantique idéale pour l’été.
Rachel (Constance Wu) et Nick (Henry Golding) s’aiment, mais Nick a un secret: il est incroyablement riche.
Rachel (Constance Wu) a des racines asiatiques, mais elle n’a jamais mis les pieds en Extrême-Orient.
Nick (Henry Golding) est l’un des célibataires les plus riches de Singapour.
Eleanor, la mère de Nick (Michelle Yeoh, ici avec Nico Santos), n’apprécie pas vraiment Rachel.
Pour son fils Nick, Eleanor (Michelle Yeoh) souhaite une épouse digne de son rang.
Une scène de «Crazy Rich Asians».
Une scène de «Crazy Rich Asians».
Une scène de «Crazy Rich Asians».
Une scène de «Crazy Rich Asians».
Une scène de «Crazy Rich Asians».
Une scène de «Crazy Rich Asians».
Une scène de «Crazy Rich Asians».
Une scène de «Crazy Rich Asians».
«Crazy Rich Asians» est sorti dans les cinémas suisses le jeudi 30 août.
Les pires méchants des séries télévisées
Les pires méchants des séries télévisées
Elle a fêté ses 85 ans ce 23 mai et le rôle de sa vie, elle l'a décroché dans les années 80, dans la série «Dynastie»: des millions de téléspectateurs à travers le monde ont adoré détester Joan Collins (à droite), qui incarnait à l'époque l'odieuse Alexis Colby. Cependant, elle n'est pas la seule star de série télévisée à avoir conquis le cœur du public malgré ou grâce à sa perfidie. Dans cette galerie, vous découvrirez les 20 plus grands salopards, crapules et intrigants de tous les temps.
20e place: le professeur Moriarty dans «Sherlock». De quoi a besoin un détective de génie comme Sherlock Holmes pour véritablement briller? D'un adversaire à sa hauteur. Dans la série «Sherlock», produite par la BBC et primée à de multiples reprises, c'est Andrew Scott qui remplit cette fonction: il incarne le professeur Moriarty, un cerveau criminel d'envergure, surnommé le «Napoléon du crime» dans le roman d'Arthur Conan Doyle. Une vraie crapule sans aucun scrupule.
19e place: Pablo Escobar dans «Narcos». Il était impitoyable, brutal et plein aux as. Personne ne se frottait délibérément à Pablo Escobar, le baron de la drogue le plus puissant des années 80, à moins d'être convaincu d'avoir plus de poils sur le torse que l'homme qui commanditait des meurtres aussi froidement qu'il distribuait des pots-de-vin ou commandait un café. Wagner Moura a incarné avec brio ce personnage tristement célèbre de l'histoire contemporaine dans la série Netflix «Narcos» pendant deux saisons.
18e place: Victoria Grayson dans «Revenge». Comme le trahit son titre, la série américaine «Revenge» raconte une histoire de vengeance. Une jeune héroïne rentre chez elle, dans les Hamptons, et souhaite se venger des responsables de la mort de son père. Dans son collimateur: la belle matriarche Victoria Grayson. Madeleine Stowe a interprété cette sublime intrigante à la perfection. En 2012, son rôle lui a même valu une nomination aux Golden Globes.
17e place: Tyrell Wellick dans «Mr. Robot». Si la série Amazon «Mr. Robot», qui raconte l'histoire d'un hacker de génie, a reçu un si bon accueil en 2015, c'est également grâce à lui. L'acteur suédois Martin Wallström incarne la crapule Tyrell Wellick, un grand technicien qui a décidé de vendre son âme au diable, avec une malveillance inouïe. Son univers est celui de la consommation excessive, des grands groupes et des promesses de guérison capitalistes. Un nihiliste obscur de la trempe des méchants d'une froideur extrême que l'on retrouve dans «American Psycho», «Matrix» ou encore «Momo».
16e place. Raymond «Red» Reddington dans «The Blacklist». Un criminel et ancien militaire recherché dans tout le pays se promène tranquillement dans le hall d'accueil du siège du FBI et propose son aide contre l'immunité. C'est ainsi que commence la série criminelle américaine «The Blacklist». On ne sait toujours rien des intentions de Raymond «Red» Reddington. Mais elles sont certainement loin d'être honorables. «Red est un mauvais gars», a confié James Spader au sujet de son personnage, particulièrement populaire aux États-Unis: «Ne vous faites pas d'illusions! Même s'il se montre gentil avec les vieilles dames.»
15e place: Clarissa von Anstetten dans «Verbotene Liebe». Isa Jank y a incarné la garce allemande par excellence pendant sept ans avant de quitter la série ARD en 2001. Passionnée, elle donnait du piquant à l'histoire et se plaisait à comploter et à manipuler la haute société de Düsseldorf. L'actrice a réintégré la série en 2011, reprenant le rôle de la comtesse Clarissa von Anstetten. Elle nous avait manqué. «Les crapules sont les personnages les plus divertissants», a déclaré avec justesse Isa Jank. Des propos qu'a également tenus son homologue masculin…
14e place: Hans-Joachim «Jo» Gerner dans «Gute Zeiten, schlechte Zeiten». Ce qu'était Clarissa von Anstetten dans «Verbotene Liebe», le professeur Hans Joachim «Jo» Gerner l'est toujours dans «Gute Zeiten, schlechte Zeiten» (RTL): la plus grande ordure de la télévision allemande. Wolfgang Bahro incarne diaboliquement bien l'intrigant avocat qui sait distribuer, mais également empocher: «Ce n'est pas pour rien que parfois on m'appelle le J.R. de la télévision allemande. Je trouve ça super. Les méchants sont toujours les rôles les plus attrayants.» Ce qui vaut pour ces caïds de la télévision allemande vaut également pour leurs modèles américains. Mais nous en parlerons plus tard…
13e place: l'homme à la cigarette dans «X-Files». Fumer tue! Et il arrive que la nicotine noircisse non seulement les poumons, mais également l'âme. En tout cas, dans la série culte «X-Files», l'homme à la cigarette (William B. Davis) est le plus sombre de tous les personnages: un spécialiste de la conspiration et un lobbyiste de la mort. Il aurait même participé aux meurtres de JFK et Martin Luther King. Malgré son cancer, l'homme à la cigarette a survécu et a fait son grand retour lors de la reprise de la série en 2016. Même s'il ressemblait alors davantage à un Robinson Crusoé qui se serait échoué sur une île volcanique.
12e place: Bob dans «Twin Peaks». Le visage le plus horrible la série culte américaine «Twin Peaks» n'appartient pas à un acteur expérimenté: Frank Silva travaillait en tant qu'accessoiriste pour la production lorsque dans un moment d'inattention, son visage est apparu dans un miroir. Un moment fantomatique qui a spontanément amené le réalisateur David Lynch à donner le rôle de Bob à Frank Silva: c'est ainsi que s'appelle l'esprit malfaisant qui hante les habitants de Twin Peaks et les incite à faire des choses terribles.
11e place: Henri VIII dans «Les Tudors». Ne pas perdre la tête, c'est tout ce qui compte! Voilà ce que se disaient probablement les sujets (et les femmes) d'Henri VIII lorsqu'ils faisaient face à leur monarque. Jonathan Rhys Meyers (scène avec Natalie Dormer) aurait répandu la même terreur sur le tournage de la série historique «Les Tudors». C'est avec une grande lubricité, l'obsession du pouvoir et un soupçon de folie que l'Irlandais excentrique, connu pour ses frasques alcoolisées et ses accès de colère, a incarné l'enfant terrible de la maison royale britannique (1491-1547), qui aimait envoyer ses épouses au couperet, pendant quatre saisons. Un jour, un journaliste lui a demandé s'il était heureux de pouvoir se défaire de ce rôle éprouvant après sa journée de tournage: «Je suis toujours Henri! Je ne quitte jamais mon rôle!» Il y a de quoi se poser des questions.
10e place: Bernd Stromberg dans «Stromberg». Avec sa petite barbe noire, son machisme insipide et son agaçant désespoir, il a longtemps été la plus grande crapule de la nation allemande: Bernd Stromberg, l'intrigant dur à cuire de la compagnie d'assurance Capitol. Pour beaucoup, la série «Stromberg» était le reflet des frustrations qu'ils vivaient au bureau au quotidien. «Je connais des personnes qui n'arrivent pas à regarder un épisode complet», a un jour déclaré l'acteur principal Christoph Maria Herbst au sujet de la série qui l'a rendu célèbre, une production interrompue en 2012: «Car entre une diarrhée et une poussée d'herpès, ils se disent: "Demain, je dois retourner au bureau, je n'en peux plus."»
9e place: Alfred Tetzlaff dans «Ein Herz und eine Seele». Dans les années 70, aucune série n'a été plus populaire en Allemagne que «Ein Herz und eine Seele», de Wolfgang Menge. Et c'est en grande partie grâce à lui: le petit bourge envieux Alfred Tetzlaff, qui déclamait en staccato des tirades réactionnaires contre les «bonnes femmes», les «socialistes» et les «émigrés» comme s'il s'agissait de feux d'artifice. À l'époque, l'approche critique et ironique de la série n'avait pas plu à tout le monde. Ainsi, l'acteur Heinz Schubert avait été qualifié d'«antisémite», d'«ennemi de la nation» ou encore de «bombe explosive de la droite contre le gouvernement». À l'époque, l'interprète d'«Ekel Alfred» avait déclaré: «Merci pour ces comparaisons. C'est la preuve que j'ai fait du bon travail.»
8e place: le docteur Gregory House dans «Dr. House». Un sauveur qui n'aime pas les gens. La série médicale «Dr House» (disponible en DVD) s'appuie sur une idée singulière, qui a pourtant conquis des millions de fans à travers le monde. Avec Gregory House, un médecin misanthrope de génie, Hugh Laurie a créé un drôle de personnage qui a écrit une page de l'histoire de la télévision. La série a pris fin en 2012, au bout de huit saisons.
7e place: «T-Bag» dans «Prison Break». Ce ne sont pas les individus louches qui manquent dans la série à haute tension «Prison Break». Pas étonnant quand on sait que la première et meilleure des saisons de la série se déroule presque exclusivement derrière les barreaux. Cependant, l'un d'entre eux s'est particulièrement démarqué: meurtrier, violeur, pédophile et raciste à l'esprit tordu, «T-Bag» était de loin le pire détenu de la prison. Robert Knepper a incarné ce monstre avec tant de passion et de drôlerie qu'il a réussi à en faire l'un des personnages préférés du public. L'acteur, un père de famille aimant en privé, a déclaré qu'un jour, des femmes particulièrement angoissées s'étaient mises à crier en l'apercevant.
6e place: M. Burns dans «Les Simpson». Le visage du capitalisme a les dents en avant et le teint jaunâtre. Cependant, la «jaunisse» n'a rien d'exceptionnel dans l'univers des héros de Springfield. Charles Montgomery Burns, en revanche, est loin d'être un personnage ordinaire: avec ses nombreux défauts physiques, ce milliardaire avare et avide est l'incarnation même de l'envie et de la malhonnêteté dans les «Simpson». Autrement dit, il est indispensable.
5e place: Le roi Joffrey dans «Game of Thrones». Au milieu de tous les types mal dégrossis qui commettent leurs méfaits dans la série fantastique «Game of Thrones», il fait l'effet d'un écolier. Mais ce ne sont que des apparences. Ne dit-on pas que la vraie méchanceté vient de l'intérieur? «Dans certaines scènes, je fais des choses horribles sans la moindre raison», a un jour déclaré l'acteur Jack Gleeson au sujet de son personnage profondément malveillant, le roi Joffrey. En voilà une observation particulièrement pertinente.
4e place: Alexis Colby dans «Dynastie». On l'appelait «la garce». Un titre honorifique que Joan Collins a clairement mérité. Ainsi, pendant huit ans, elle a joué le rôle d'une intrigante vengeresse et malveillante dans la série «Dynastie». Le nom complet de cette antihéroïne mal crêpée est presque aussi long que la liste de ses infamies: Alexis Morell Carrington Colby Dexter Rowan. En privé cependant, Joan Collins n'a rien d'une garce: «Je pense être loyale, honnête et je déteste les crétins!»
3e place: Frank Underwood dans «House of Cards». Kevin Spacey a incarné l'homme politique sans scrupule Frank Underwood, qui finira par être élu à la présidence des États-Unis, dans les cinq saisons d'«House of Cards». Suite aux révélations de l'automne dernier, huit membres de la série ont accusé l'acteur d'agressions sexuelles, et à son renvoi par Netflix, on ne peut s'empêcher de se demander si Kevin Spacey jouait véritablement un rôle de composition.
2e place: Walter White dans «Breaking Bad». Bryan Cranston a bien résumé la macabre fascination suscitée par «Breaking Bad». Dans le cadre d'une interview accordée à la fin de la série, un journaliste lui a demandé s'il croyait personnellement au mal: «Il existe à côté du bien, et il se cache en chacun de nous.» Son personnage, le professeur de chimie Walter White, est donc l'un d'entre nous. Un homme honnête qui, après un cancer, se métamorphose en baron de la drogue sans scrupule. Probablement la transformation la plus incroyable qu'un héros de série ait jamais subie.
1re place: J.R. Ewing dans «Dallas». Il fait partie des personnages les plus célèbres de la planète. Et s'il est devenu mondialement connu, c'est grâce à ses agissements de fripouille. Larry Hagman était J.R. Ewing, l’un des piliers de la série «Dallas». Elle a été diffusée pour la première fois en 1978 et ses 378 épisodes ont contribué à faire de J.R. l'ennemi public numéro un dans la tête des téléspectateurs de la planète entière. «Ce n'était pas une mauvaise personne», s'était un jour rappelé Larry Hagman, qui nous a quittés en 2012, alors qu'il évoquait le rôle de sa vie. «C'était un magnat du pétrole.» Pour nous, J.R. Ewing n'en reste pas moins la plus grande crapule télévisée de tous les temps.
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