"A shot of over the water bungalows in Bora BoraPlease, check out my growing collection of tropical theme images. Click on the pictures below."
le meridien bora bora; otemanu
TOPSHOTS
A cameraman floats in the water filming USA's Kelly Slater as he competes in the 2015 Billabong Pro Tahiti, World Surf league tour no.7, along the Teaupoo coast, western Tahiti on August 15, 2015. Australia's Mick Fanning made his first appearance in this competition since being attacked on July 19 by a shark in the Final of the J-Bay Open, off the coast of South Africa. AFP PHOTO/ GREGORY BOISSY
Cook Bay on Moorea with Mount Mauaroa, French Polynesia
Tahiti, future destination accessible à la mode ?
"A shot of over the water bungalows in Bora BoraPlease, check out my growing collection of tropical theme images. Click on the pictures below."
le meridien bora bora; otemanu
TOPSHOTS
A cameraman floats in the water filming USA's Kelly Slater as he competes in the 2015 Billabong Pro Tahiti, World Surf league tour no.7, along the Teaupoo coast, western Tahiti on August 15, 2015. Australia's Mick Fanning made his first appearance in this competition since being attacked on July 19 by a shark in the Final of the J-Bay Open, off the coast of South Africa. AFP PHOTO/ GREGORY BOISSY
Cook Bay on Moorea with Mount Mauaroa, French Polynesia
Après French Bee qui a inauguré son premier vol très long courrier vers Tahiti le 11 mai dernier, ce sera au tour de la compagnie américaine United de desservir la Polynésie française à compter du 30 octobre, à raison de trois vols hebdomadaires depuis San Francisco. Pendant ce temps, l'office du tourisme de Tahiti travaille pour mieux faire connaître son offre d'hébergements qui ne se résume plus aux bungalows de luxe sur pilotis. Et si un voyage en Polynésie française devenait réalité...
Preuve de l'engouement pour la destination, 198'959 arrivées internationales ont été comptabilisées en 2017, soit 3,4% de plus qu'en 2016, selon les chiffres de Tahiti et ses Iles. Les voyageurs séjournent en moyenne 10,8 jours. Idéalement situés, à huit heures de vol depuis la Californie, les touristes américains sont les premiers à découvrir la Polynésie française, avant les métropolitains eux-mêmes, puis les Japonais.
Comment se rendre en Polynésie française?
Tahiti, et sa presqu'île Tahiti Iti, constituent l'étape phare d'un voyage en Polynésie française, où atterrissent les compagnies internationales. Si le bungalow avec vue sur mer a longtemps participé au rêve d'un voyage en Polynésie, le faible nombre de transporteurs aériens - et les prix de leurs billets, expliquent surtout les raisons de considérer un tel projet comme inaccessible. Air France et Air Tahiti Nui relient historiquement la métropole à Tahiti. Les prix démarrent à 1125 euros pour un vol aller/retour avec la première et à 1.293 euros en basse saison avec la deuxième. Depuis le 11 mai, French Bee, filiale du groupe Dubreuil qui gère Air Caraïbes, casse les prix, avec l'aller depuis Paris-Orly à 509 euros. A ce tarif, vous ne disposez toutefois d'aucun bagage en soute.
Situé au milieu de l'Océan Pacifique, Tahiti est également relié à la Nouvelle-Calédonie avec AirCalin (5h15 de vol jusqu'à Nouméa), à Hawaïï avec Hawaiian Airlines (5h30 de vol jusqu'à Honolulu), à la Nouvelle-Zélande avec Air New Zealand (5h de vol jusqu'à Auckland), à l'Australie avec Qantas (6h45 de vol jusqu'à Sydney) et au Chili avec Latam Airlines (9h de vol jusqu'à Santiago).
L'offre d'hébergement en Polynésie française est-elle accessible?
En complément de l'offre hôtelière, la destination a développé une gamme de pensions de famille, représentées au sein de l'association "Hôtels de Famille de Tahiti et ses Iles". L'organisation a instauré son propre label pour garantir une expérience confortable et authentique aux voyageurs. Pour asseoir son sérieux, elle a noué un partenariat avec "Clévacances", label créé par le ministère du Tourisme en 1997, qui vérifie 200 critères de qualité. La gamme de logement est répartie en quatre catégories, représentées par des clés.
Les membres sont présents au gré des 118 îles des cinq archipels que compte la Polynésie française. Les adresses sont répertoriées sur le site web Ia-ora.com. A Tahiti, on peut trouver un hébergement à partir de 2500 francs Pacifique, soit environ 21 euros pour une nuit (à la pension Ti Miti). Même à ce prix, les voyageurs peuvent prêter le matériel de snorkeling pour espionner les poissons de la plage toute proche. A Rangiroa, à 1h30 de vol de Tahiti, on s'offre le rêve polynésien à partir de 6500 XPF, soit environ 55 euros. Les bungalows empruntent la même allure que ceux que l'on fantasme à Tevahine Dream, pour un prix de départ à 33'000 xpf, soit environ 277 euros pour deux personnes. A Bora-Bora, où les tourtereaux rêvent de poser un pied, le budget démarre à 8.500 xpf, soit environ 71 euros. A noter que bon nombre de pensions incluent dans ces tarifs la demi-pension. Seul hic : le wifi n'est pas toujours stable, ou inclus. C'est le prix à payer pour goûter au bout du monde...
Comment se déplacer en Polynésie française?
La compagnie aérienne locale, Air Tahiti, dessert les 48 îles et atolls de l'archipel. En anticipant, les internautes peuvent dénicher un aller vers Bora-Bora à 170 euros environ. La compagnie a également mis en place des "pass" pour établir son propre circuit multi-îles. Compter 400 euros pour visiter les îles Sous-le-Vent, depuis Moorea jusqu'à Maupiti. Le sésame le moins cher coûte 308 euros et permet de visiter Moorea, Huahine et Raiatea. Seule condition de ces formules avantageuses: les détenteurs doivent s'arrêter sur au moins deux îles du pass. Sinon, les budgets les plus serrés seront ravis de découvrir que Tahiti elle-même, qui constitue généralement une simple escale, regorge de sites culturels et de "spots" nautiques. Faut-il rappeler que la vague de Teahupoo attire les surfeurs du monde entier...
7 endroits à visiter en Croatie
7 endroits à visiter en Croatie
Le port de Split ne dort jamais...
Split n’est pas seulement la destination idéale pour ceux qui sont à la recherche de vacances au bord de la mer. À quelques minutes à pied du port les grands murs puissants du palais de Dioclétien émergent du sol. Accédons au palais et à un morceau d'histoire...
Sa forte muraille abrite la vielle ville de Split avec ses petites ruelles.
La cathédrale Saint-Domnius a été construite au 4e siècle à l'intérieur du Palais de Dioclétien et compte parmi les cathédrales les plus anciennes de l'Église catholique en Europe.
Vue de la promenade ouest sur la ville de Split qui rayonne dans une lumière rouge.
Vue à vol d'oiseau de Split.
Sur cette terrasse du F Marine, bar et restaurant, nous avons dégusté un poulpe grillé.
Bienvenue à Bol sur l'île de Brač.
Zlatni Rat, la célèbre plage de Brač, surnommée "la corne d'or" fait rêver et ne fait pas pour rien partie des plages les plus populaires de Croatie.
L'église St. Hieronymus brille dans des tons de dorés.
Bienvenue à Korčula, la ville qui porte le même nom que l'ìle.
Vue de la mer sur Zlatni Rat, très populaire pendant les mois d'été. Pour ce, nous conseillons de s'y rendre en basse saison, par exemple en septembre lorsqu'il y a moins de touristes et que les habitants de l'île ont repris le travail. La saison des baignades commence en mai et se termine fin septembre.
Pučišća se trouve sur la côte nord de l’île de Brač. La petite église St. Hieronymus dépasse les maisons blanches typiques - construites en pierre de Brač - qui marquent la ville.
Des ruelles et quelques marches nous mènent vers un restaurant situé un peu en hauteur, au-dessus du port que l’on ne découvre que par hasard ou après avoir demandé son chemin à un habitant de l'île. Sur la terrasse du «Konoba Lado», on peut goûter à des plats typiques comme des sardines grillées ou au fameux agneau de Brač.
Bol se trouve dans le sud de Brač. Prenons place sur le mur de la promenade où «Stina», la cave viticole, invite à prendre un verre avec vue sur la mer.
Promenade à l'ombre des pins sur la promenade de Bol.
Les oliviers marquent les îles croates. La röcolte a lieu fin octobre.
«Taverna Riva», ce restaurant bien fréquenté, propose des plats dalmatiens traditionnels ou modernes.
Les amateurs d’art devront prendre le temps de visiter «Branislav Dešković», la galerie d’art. Le palais renaissance et baroque qui abrite la galerie présente les œuvres d’art moderne d’artistes locaux.
Des souvenirs en pierre de Brač.
Korčula accueille ceux qui y parviennent par la mer en exhibant ses nombreux palmiers tout au long de la côte.
Korčula, île et ville, séduit par sa beauté intemporelle qui invite à se balader dans les ruelles de sa vieille ville médiévale.
Les amateurs de Culture peuvent visiter la cathédrale Sveti Marko bâtie au 15e siècle et qui – après un laborieux nettoyage – rayonne encore plus sous le soleil de la Croatie.
On y respire toujours l'esprit médiéval original.
Impossible de s'y perdre: le plan de Korčula ressemble à une arête de poisson.
Bienvenue à Komiža sur l'île de Vis.
Sur la côte sud de Vis, un endroit populaire nous coupe le souffle: Stiniva , une petite baie resplendissante qui se cache derrière de grandes murailles rocheuses.
Produits frais venus de la mer.
Sur la promenade charmante de Korčula, des petits restaurants ont dressé leurs tables.
L'île de Lastovo est un petit bijou pour les personnes qui aspirent au repos total. Figuiers, caroubiers, olivers et grenadiers, l'île nous enchante grâce à une nature dépaysante.
La charmante terrasse en bois du restaurant «Nonno Konoba» séduit tout de suite les promeneurs avec ses jolies tables.
Voici le port naturel Ubli à Lastovo. Tranquillité garantie!
Il existe 46 petites églises sur l’île.
On admire aussi les nombreuses cheminées, toutes différentes les unes des autres.
Eau cristalline et calme absolu dans ce port naturel.
Vue sur la baie Zaklopatica (Fer à cheval) à Lastovo.
«Šarić», une cave à vin située au pied de l’île.
Accueillants: trois bouteilles de vin décorent la sonnette d’une porte sur laquelle on peut lire «ring».
Nous recommandons aussi une randonnée jusqu’au point de vue «Kašćel». Le chemin vers le haut de la colline nous enchante grâce à une nature dépaysante.
Vue sur la mer depuis une ruelle dans la vielle ville Komiža, Vis.
Fassades typiques: dans les ruelles de Komiža, nous longeons les maisons aux pierres blanches et aux volets bleus ou verts.
Notre «tuyau restaurant»: le «Konoba Bako» qui se trouve dans une minuscule baie.
Au sud de lîle de Vis se trouve Ravnik, une île inhabitée, surtout connue pour sa «grotte verte » qui est une excursion très populaire.
Quelques pêcheurs au port de Komiža à la tombée de la nuit.
Vue sur Stari Grad sur l'île de Hvar. La ville fait partie des villes les plus anciennes d'Europe.
On tombe tôt ou tard sur Tvrdalj, le petit palais renaissance de Petar Hektorović, le célèbre poète croate du 16e siècle aussi appelé «le père de la litérature croate». Lors d’une journée chaude, rien de tel que de faire une petite pause dans le jardin rafraîchissant du bâtiment.
À cet endroit, Petar Hektorović avait réalisé son idée d‘un microcosmos, dans lequel toutes les céatures avaient leur place.
Le restaurant «Konoba Zvijezda Mora» qui, dans une ruelle perpendiculaire au port, nous fait craquer avec ses jolies tables en bois, joliment arrangées.
Marché aux puces au port de Stari Grad.
Retour à la page d'accueil